Rodrigo Duterte, a été élu lundi soir président des Philippines, il s’est imposé avec cinq millions de voix d’avance sur sa rivale, Grace Poe.
Maire de longue date de la troisième ville des Philippines pour l’importance de sa population, Davao, située dans l’île de Mindanao; île tristement célèbre pour ses terroristes musulmans d’Abou Sayyaf qui sévissent également dans les îles voisines de Jolo et Basilan. Ces islamistes appartiennent à la mouvance d’Al Qaïda comme le Front al-nosra en Syrie. Ils ont de nouveau fait parler d’eux dernièrement avec l’exécution d’un Canadien. Les Philippines sont également touchées par les exactions de terroristes communistes. On comprend que dans ces conditions le langage viril de Duterte ait pu rassurer une population éprouvée. A l’inverse de la doxa mondialiste, les Philippins ont prouvé qu’ils se moquent de l’exécution des criminels quand les victimes innocentes périssent par leur faute et sont en permanence sous la menace d’enlèvements et de rançon. Les Philippins très majoritairement chrétiens, ont donc largement approuvé les solutions radicales prônées par Rodrigo Duterte contre les gangsters et terroristes de tout poil. Un peuple qui, malgré la campagne anti-Duterte de l’ex-président Benigno Aquino, a conservé l’instinct de survie, le bonheur promis par les libéraux qui ont succédé au régime autoritaire de Ferdinand Marcos, n’ayant donné que la misère dans la corruption et une tolérance vis-à-vis des criminels qui n’a fait que conduire à une insécurité de plus en plus grande.
Rodrigo Duterte, surnommé inspecteur Harry, a fasciné les Philippins grâce à une campagne populiste et sécuritaire menée à coup de déclarations abruptes dans un langage de charretier, que les médias outrés comparent à celui de Donald Trump, le candidat américain. Donald Trump au langage pourtant incomparablement plus châtié. Duterte a également promis d’éliminer physiquement les hors-la-loi, par millier s’il le faut, ce qui n’a pas effrayé le peuple.
Rodrigo Duterte est âgé de de 71 ans, sa mère était musulmane mais son père était catholique, comme lui notable provincial (il était gouverneur de province) et avocat de profession. Le nouveau président a été procureur et a fait un rapide passage chez les communistes dans sa jeunesse, ayant fait ses études à l’université à Manille où le fondateur du terrorisme communiste des Philippines, Jose Maria Sison, a été son professeur et l’a brièvement influencé. Auparavant il avait fait ses études dans un lycée jésuite, ce qui ne l’a pas empêché, dans ce pays très majoritairement catholique, de traiter le pape de « fils de pute« , sans que cela n’entame le succès de son franc-parler. Duterte s’est présenté contre l’Establishment corrompu des quelques familles qui dans un langage poli, mettent le pays à sac depuis des dizaines d’années. Pour marquer sa différence il a fait campagne en vêtements ordinaires, loin du costume-cravate.
Mardi, à peine proclamé Président, Duterte est allé remercier ses parents sur leurs tombes où il a pleuré abondamment. Ses adversaires lui ont reproché les escadrons de la mort qui auraient fait 1400 morts, dont des enfants. Néanmoins c’est en promettant de reproduire dans l’archipel complet le modèle de Davao de tolérance zéro, qu’il a été plébiscité par les Philippins.
L’élection de Rodrigo Duterte, nouveau président des Philippines
emiliedefresne@medias-presse.info
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La mafia pédomane lance une nouvelle offensive actuellement (puisque tout s’accélère ces derniers temps), Libération devrait se mettre aux avant-postes.
Après le pédiatre Macel Rufo, qui n’hésite pas à déclarer, en toute impunité : « L’immense majorité des enfants « abusés » vont bien », voici le gynécologue Sylvain Mimoun qui vient de faire l’apologie de la pédophilie (via un satellite du Nouvel Obs) :
« Il y a quelque temps, un enfant qui avait un rapport sexuel, c’était considéré comme banal. Aujourd’hui, la société crée des barrières morales. On va vers un puritanisme de plus en plus fort. » (SIC !!)
On ne doit pas vivre dans la même société que M. Mimoun.
Bref, Libération c’est près de 10 millions d’euros de subventions que c’est nous qu’on paye, sans compter les avantages fiscaux de leurs « journalistes ».
Nous vivons dans un monde de plus en plus malade dont les sujets les plus atteints tentent de nous « vendre leur salade empoisonnée« comme des comportements normaux ou futuristes dont nous ne comprendrions pas encore la nature.
Tout ceci ne peut venir que d’une source dont on a peur, même dans l’Église, de dénoncer la réalité. Et cette source est diabolique. Les médecins, exorcistes, psychiatres et autres qui soignent en cabinet les victimes du malin sont quasi unanimes à reconnaître que
lorsque les symptômes suivants se rencontrent chez un patient ( odeurs nauséabondes, comportements antinaturels, manies irrationnelles, déformations physiques inexplicables, rictus inhumain, vomissements subits, propos aberrants, etc)choses que la science se sent impuissante à expliquer, la cause probable est préternaturelle, i.e. diabolique.
Le monde infernal (n’en déplaise aux sceptiques)est
bien présent sur notre terre. Mais, quand on sait comme le père Amorth l’a écrit qu’un évêque sur trois ne croit pas en Satan et que la sixième partie du document conciliaire Nostra aetate s’est cru obligé de rendre un quasi hommage à Satan (il faut le lire pour le savoir),il n’y a pas à se surprendre que les plus grandes incongruités se font jour sur la planète et qu’il y a des milliers d’adeptes dont l’intelligence s’est obscurcie qui s’en font les propagateurs. Comme Jésus, nos gouvernants dignes de ce nom devraient avoir le courage de dire non à ces aberrations et légiférer en conséquence pour leur abolition. « Retro Satana« . C.Pelchat
[…] avait déjà évoqué la publication par le journal Libération d’articles faisant la promotion de la pédophilie. Avec parmi les illustrations, cette « œuvre » du groupe Bazooka reprise de la revue Regards […]
[…] que grâce aux perfusions financières des subventions publiques, avait autrefois témoigné d’une complaisance ignoble pour les pédophiles. Un passé pas si lointain trop oublié de l’opinion publique. Et un présent toujours obsédé […]
[…] pleurer. L’histoire de ce journal est assortie de tant d’épisodes sordides (comme la promotion de la pédophilie) qu’il n’y a pas à verser une larme sur la disparition programmée du quotidien bobo. […]
[…] de quoi pleurer. L’histoire de ce journal est assortie de tant d’épisodes sordides (comme la promotion de la pédophilie) qu’il n’y a pas à verser une larme sur la disparition programmée du quotidien bobo. Ses […]