C’est la nouvelle photo-choc de la propagande immigrationiste, diffusée par l’ONG Sea-Watch, pour faire pleurer dans les chaumières et culpabiliser l’Europe, pas assez accueillante ni prompte à aider les milliers et milliers d’immigrés qui arrivent, par la voie méditerranéenne, en vagues ininterrompues.
En septembre 2015, le monde entier avait pleuré sur la photo du petit Aylan, mort noyé au cours d’un voyage de l’espoir qui avait mal fini. Son père, le passeur au gouvernail qui s’en est sorti, n’avait pas pensé à lui donner son propre gilet de sauvetage. Les médias mainstream avaient d’ailleurs occulté sciemment ce détail, afin de mieux rendre l’humanité entière coupable de ces drames qui ont lieu régulièrement en Méditerranée.
Ces derniers jours, la Méditerranée a englouti dans ses eaux bleues et salées de nouveaux aspirants à la recherche d’une vie meilleure sur le continent européen. Cet enfant mort noyé, photographié, fait partie des victimes retrouvées le long des côtes libyennes par l’ONG Sea Watch.
« Il ressemblait à une poupée, confie le sauveteur, très ému. Il avait les bras tendus. »
« Si nous ne voulons pas voir ces images, nous devons arrêter d’en fabriquer, explique dans un communique l’ONG Sea Watch. Dans le sillage de ces événements désastreux, il devient évident pour les organisations qui œuvrent sur le terrain que les appels des politiciens européens pour éviter de nouveaux morts en mer ne sont autres que des paroles. »
En un mot, il faudrait peut-être faire venir tous ces immigrés-clandestins attirés par le matérialisme et le consumérisme européens, une vie qu’ils croient dorée, par charters entiers. Cela éviterait les morts… Mais en quoi les citoyens européens sont-il responsables de ces corps sans vie que rejette la Méditerranée ?
Des morts d’enfants, il y en a tous les jours. En Irak, depuis des années et des années, à cause du chaos déclenché par les américains. En Syrie, à cause de la politique interventionniste et déstabilisatrice de l’oncle Sam, au Moyen-Orient.
Plus grave : en Europe tous les jours est pratiqué un avortement toutes les 11 secondes, soit 327 avortements par heure, soit 7 846 avortements par jour. Avortements de masse dont la plupart des gens se contrefichent éperdument mais qui pleureront sur cette image larmoyante et culpabilisante. Avortement à grande échelle, qui favorise le Grand Remplacement des peuples européens par des peuples étrangers à la race, la culture et à la civilisation européennes.
La mort d’un enfant est toujours un drame, personne ne le nie. Mais instrumentaliser, afin de culpabiliser les peuples européens, la mort d’un enfant décédé à cause de mafias criminelles de passeurs, de ses parents qui l’ont entraîné dans ce voyage du désespoir, des politiques guerrières internationales à la solde des Américains et des lobbies économiques immigrationistes est un scandale !
De toute façon, si les pleureuses du système ne veulent plus de mort en Méditerranée, il existe une seule et unique solution dans le monde qui a porté ses fruits : la politique australienne de refoulement systématique de tout bateau de migrants. C’est l’anéantissement du trafic d’êtres humains, des réseaux criminels, et c’est la fin de ces voyages à haut risque.
Ce serait la fin aussi du Grand Remplacement que veulent nous imposer, coûte que coûte, les oligarques mondialistes. Les traversées de la mort continueront donc en Méditerranée. Et, comme toute révolution, le Grand Remplacement aura donc ses victimes, petit Aylan et autres bambins noyés. Offrandes immolées sur l’autel du multi-culturalisme, du « vivre-ensemble », du pluralisme ethnique sur un même territoire, tous éléments indispensables à l’éclosion d’une nouvelle humanité régénérée, rêve prométhéen de tout bon révolutionnaire haineux de son passé !
Francesca de Villasmundo
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !