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Dhimmitude & totalitarisme : De Louis Chagnon à Philippe Isnard, deux professeurs d’Histoire persécutés pour non-conformisme

Quelques observations à propos de la lettre du professeur d’Histoire Louis Chagnon persécuté par la République pour avoir dit une vérité historique sur Mahomet:

Malheureusement cette histoire est souvent présentée comme exclusivement antijuive parce que la censure islamiste concernait le rappel du massacre de Juifs par Mahomet. L’affaire doit pourtant être considérée dans une dimension plus vaste. Que serait-il arrivé à ce professeur, si au lieu de parler du massacre de Juifs il avait évoqué les innombrables massacres de chrétiens effectués par l’Islam depuis sa création ? Des jeunes identitaires qui protestaient contre la construction d’une immense mosquée à Poitiers n’ont-ils pas été condamnés pour avoir rappelé que Charles Martel a arrêté les arabes à Poitiers? Aujourd’hui l’Islam est enseigné obligatoirement en classe de cinquième dans les collèges laïcs de la République, cela fait partie des programmes imposés: les quatre piliers de l’Islam etc… Ils sauront tout sur l’édulcoration de l’Islam et rien sur les travers de Mahomet et cela ne fera que favoriser l’islamisme au détriment du christianisme… Nous sommes en plein régime de dhimmitude obligatoire!

Depuis les débuts des persécutions du professeur Louis Chagnon jusqu’à aujourd’hui avec leur conclusion, l’actualité a changé la donne. Entre-temps Louis Chagnon a du répondre à de nombreux procès et en intenter d’autres avec grande détermination et moult dépenses. La justice, dans cette affaire, est même allée jusqu’à admettre que le djihad est un acte légal de religion!

Ces rebonds judiciaires ont fait passer le temps et modifier le langage des ministres de la République. Le 14 août 2014 le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, ne déclarait-il pas encore sur RTL: « Ce n’est pas un délit de prôner le djihad! ». Entre le mois d’août dernier et maintenant il n’ y a que six mois de temps mais de nombreux attentats islamistes en France même commis par ceux-là mêmes que le ministre de l’Intérieur encourageait au djihad; la nature islamiste de ces attentats, d’abord niée par les autorités publiques, a finalement été reconnue faute de pouvoir continuer à nier ce qui crevait les yeux de tout le monde. Mais oui c’est au nom de l’islam que les attentats sont commis en France et en Europe, au nom du Coran que des chrétiens sont égorgés, au nom de l’islam et donc du Coran que des lycéennes et autres femmes et fillettes sont réduites en esclavage, que d’autres personnes sont crucifiées, enterrées vivantes etc. Y compris en grand nombre des musulmans eux-mêmes jugés trop peu soumis aux lois de la charia, par les barbus.

Dans la lignée du verdict de la justice française reconnaissant le droit au djihad (la guerre sainte musulmane) de s’exercer sans tomber sous le coup de la loi, nous avons les propos de la ministre de la Justice, socialiste républicaine et laïque: Christiane Taubira, à propos de l’esclavage musulman; Christiane Taubira auteur de la loi sur l’esclavage ne déclarait-elle pas dans un article du 4 mai 2006 à l’Express  : « Il ne faut pas trop évoquer la traite négrière arabo-musulmane pour que les jeunes arabes ne portent pas sur leur dos tout le poids des méfaits des Arabes.«   Par contre il fallait instituer la repentance des autochtones contre la traite négrière, sans aucun souci de la réalité historique, ni aucun souci de ce que les jeunes autochtones auraient à porter, bien au contraire, on leur mettait sur le dos bien au-delà de la réalité historique. Mais rien n’est trop lourd à porter pour l’autochtone blanc. Et contre les autochtones on peut distiller la haine sans retenue ni crainte d’attentats.

Loi liberticide « Pleven » de 1972, et les suivantes jusqu’aux lois Taubira

Le lobby juif en France est très puissant, et protégé par une loi spécifique, la loi Pleven. La loi Pleven votée le 1er juillet 1972 a fait pas mal de petits depuis: dont la Loi Gayssot et les lois Taubira qui se succèdent. Tandis que les Français de souche européo-chrétienne sont systématiquement discriminés dans leur propre pays et ne bénéficient d’aucune protection particulière. Bien au contraire Manuel Valls -qui pense que « l’Islam est une chance pour la France »-, en déclarant, par exemple, tout dernièrement, suite aux attentats islamistes de Paris, que les musulmans subissent un véritable apartheid et sont dans des ghettos, a fait retomber implicitement la faute de ces attentats sur la population autochtone de France, ce qui est un comble! D’ailleurs pour « récompenser » les prétendus victimes d’apartheid dans les prétendus ghettos, il s’est empressé d’allouer des fonds publics pour ces populations majoritairement musulmanes, de même qu’il a fait augmenter le nombre d « aumôniers » musulmans dans les prisons…

Philippe Isnard, Professeur d’Histoire, viré de l’Education nationale…

Dans un autre registre, il suffit de se rappeler les injustices flagrantes  advenues à un autre professeur de l’Education Nationale, sous le ministère de Luc Chatel, sous Nicolas Sarkozy, je veux évoquer l’affaire  Philippe Isnard. Celui-ci, professeur d’Histoire-géographie à Manosque, en Provence, avait porté à la réflexion de ses élèves de quatrième, en cours d' »Éducation Civique Juridique et Sociale »  des arguments pour et contre l’avortement, selon le cahier des charges de sa profession. Dont la diffusion d’une vidéo montrant les tourments qu’un enfant à naître subit en étant avorté de force par la médecine.

Philippe Isnard n’avait pas abordé une vérité concernant les Juifs mais une vérité à propos du plus faible des êtres humains, celui qui est encore en gestation dans le ventre de sa mère. Il a lui aussi écrit un livre sur ses démêlés avec l’Education nationale. Mais non contente de l’avoir viré, l’administration l’a en plus poursuivi de sa haine.

Voici ce qu’il en disait lui-même le 11 décembre 2012:

Lors de ma révocation, je n’ai pas pu m’exprimer dans les médias qui ne m’ont pas accordé de droit de réponse. Ce livre [le combat du Mammouth, mon combat pour la vérité] est donc d’abord un témoignage de résistance au totalitarisme culturel qui règne dans notre pays. Je voulais que la population, qui a été manipulée, ait accès à la réalité des faits. En particulier le soutien massif que m’ont apporté les élèves. Par exemple, dans la classe ou j’avais initié ce débat, tous les élèves ont rédigé, d’eux-mêmes, une pétition de soutien, qu’ils ont tous signée.
Je voulais aussi montrer, par des extraits des documents officiels, le terrorisme intellectuel qui règne dans l’Éducation nationale. Par exemple des extraits du rapport de la cellule de soutien psychologique, boudée par les élèves. Ou encore mes notations et appréciations au long de ma carrière, qui sont toutes élogieuses.
Surtout, je veux montrer que, si nous ne résistons pas à un état qui est désormais clairement totalitaire, les actes de répression et de privations de libertés contre ceux qui ne pensent pas comme lui seront de plus en plus nombreux. Les élèves d’un collège se sont ainsi vu interdire de se signer lors de la visite d’une cathédrale, sous peine de sanctions!

(…)

J’ai été révoqué, mesure réservée d’habitude à des criminels pédophiles. (…)
L’Éducation nationale a même écrit à la direction diocésaine de l’enseignement catholique de Nice pour les intimider et empêcher mon recrutement. Je suis donc de fait interdit d’enseignement en France. Les directions diocésaines catholiques, à ce jour, n’ont pas eu le courage de me recruter, bien qu’elles en aient juridiquement le droit. Cela en dit long d’ailleurs sur la soumission de l’enseignement catholique à l’État français, puisque ses dirigeants n’osent même plus utiliser les lois de la République, qui permettent en l’occurrence mon recrutement dans les écoles sous contrat avec l’État. En effet, je ne suis révoqué que de l’enseignement public. (…) (Source)

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