Quoi qu’on puisse penser du personnage incarné par François Hollande, sorte de bouffon de commedia dell’arte, à la fois incapable, endimanché, bedonnant et machiavélien, je reconnais une qualité à notre Sganarelle devenu Moi-Président, suite à un regrettable accident de braguette dans une chambre d’hôtel. Je dois dire qu’il est encore en mesure de m’étonner.
Nos esprits vibrent encore de la provocation du fameux rappeur Black M, grand vomisseur anti-français qui était censé clôturer la commémoration du centenaire de la bataille de Verdun. L’indignation publique avait réussi à faire capoter cet outrage. Kouffars de toutes les provinces françaises, unissez-vous !
Mais Moi-Président a plus d’un tour dans son sac-à-malices. Je passe sur le lapsus de notre Sganarelle national qui confond Berlin et Verdun. Je mets cela sur le compte de l’émotion d’avoir Frau Merkel à ses côtés. Soyons charitables… François Hollande a aussi tenté de nous faire croire que les combattants à Verdun s’appelaient Gustave ou Mohamed. Il ne manquait que le « tire-ailleurs » Alpha Diallo, alias le « grand-père » introuvable de Black M. J’ai abordé dans un autre papier la volonté perverse de négrifier notre roman national, pour mieux nous laver le cerveau et nous reformater dans le sens mondialisto-immigrationniste.
Passons aussi sur le sacrilège dément qui consiste à faire courir un troupeau d’idiots en baskets au milieu de tombes de soldats morts pour leur pays. Que d’efforts et de sacrifices ! Tout ça pour ça… Tout subir, même après la mort au combat.
Ce que je trouve intéressant de noter, c’est cette espèce de chorégraphie halloweenesque d’un géant en haut de forme américain, qui déambule au milieu des tombes et devant lequel le troupeau d’ahuris se couche en simulant la mort.
J’y vois tout un symbole et tout un programme. Mépris de l’occupant américain, suicide des occupés européens, mise en scène sataniste, tout y est.
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