Pierre Moscovici s’est fendu récemment d’une déclaration abjecte, prétendant que « l’Europe n’est pas chrétienne, n’a pas de racine chrétienne ». On se demande bien pourquoi il porte le prénom de l’apôtre Pierre, choisi par Jésus Christ, et premier pape de l’Eglise Catholique Romaine. Bienvenue en Absurdie socialo-mondialiste. Le fait d’être juif, sioniste, fils de déporté, ne le dispense pas de présenter des excuses publiques, au nom de la France, au nom des Français juifs et au nom de ses propres parents qui ont choisi ce prénom chrétien pour lui.
Personnellement, je n’ai aucune envie de prendre ce genre de déclarations à la légère. Car elles font partie du Grand Remplacement des Français et Européens de souche par du tout-venant ethnique africano-mondial. A l’effacement de la mémoire musicale française par le bruit anglo-américain, au pourrissement linguistique par le charabia frenglish, qu’adorent les publicistes, il faut ajouter un autre effacement mémoriel, insidieux et tout aussi grave.
Comme le souligne très bien Reynald Secher, grand connaisseur du génocide vendéen de 1793-1794, la deuxième lame du génocide est le mémoricide. Au meurtre du corps français par l’avortement, l’euthanasie et le Grand Remplacement, s’ajoute l’étouffement de l’âme française et l’enfouissement et la désarticulation de son histoire. Il faut que les Français perdent tous les points de repère qui pourraient les aider à se rappeler qui ils sont. Voilà le projet.Â
L’Education dite Nationale, comprenez plutôt : la Rééducation Antinationale, est un des vecteurs de l’enseignement de l’oubli de soi. Prenons l’exemple d’un sujet récent :
Ce sujet est totalement pervers sur le plan historique, puisqu’il laisse à penser que le prénom Karim, d’importation arabo-maghrébine récente (moins de 50 ans), existait déjà sous Louis XIV et dans l’Antiquité, sans précision mais qu’on suppose être l’Antiquité gréco-romaine. Ce sujet a évidemment pour but de brouiller l’idée que les Français ont d’eux-mêmes, de leur être, de leur chronologie et de leurs racines.
La volonté d’effacer l’histoire de l’Europe chrétienne de race blanche passe aussi par le cinéma et les séries télé, où des personnages historiques sont joués par des noirs ou des métis, accréditant ainsi l’idée absurde et anachronique que ces personnages historiques étaient dans les faits noirs ou métis.
Un premier exemple est Lancelot, joué par un acteur noir américain : Sinqua Walls, né le 6 avril 1985 en Louisiane, dans une série télé qui puise ses thèmes dans les contes de fée européens et diverses épopées médiévales comme le Roi Arthur. Sans rire, le site wikipédia anglais de la série nous informe que les personnages « ont perdu la mémoire suite à une malédiction puissante » ! (robbed of their real memories by a powerful curse) Il faut être naïf pour ne pas voir le processus d’effacement mémoriel mis en œuvre par cette série.
Un autre exemple est Sophie Okonedo, une actrice anglaise qui fut entre autres choses primée pour son interprétation de Shakespeare. C’est une métisse née à Londres de père nigérian et mère yiddish polonaise. Le site suivant la présente comme étant « originaire d’Angleterre » [sic]. Il est vrai qu’avec un père nigérian et une mère yiddish polonaise, elle est idéalement prédisposée pour être une « Anglaise » qui joue dans une armure d’époque shakespearienne… Enorme, non !?
On se rappelle que le sinologue juif américain, Martin Bernal, dans son livre Black Athena, voulait à tout prix que la Grèce antique n’ait été qu’une excroissance de la civilisation égyptienne, qui elle-même serait négro-africaine, d’où les deux mots du titre « Athéna noire ». Deux assertions intenables, aux confins du masochisme ethnoculturel et du délire pseudo-historique. J’ai désespérément cherché la moindre preuve sérieuse dans ses livres qui sont beaucoup plus une espèce de commentaire polémique et auto-glorificatoire sur ses propres hypothèses qu’un commencement de démonstration organisée et argumentée.
Mais il y a encore mieux. Une étudiante « belge » née à Kinshasa, Natou Pedro Sakombi, s’est inventé un petit délire historique où une miraculeuse influence des Noirs et de rois Noirs se serait exercée sur l’Europe. C’est juste gentil en apparence, mais c’est en pratique toxique. Car cela participe du lavage de cerveau des Européens de souche. Et si nous n’avons pas conscience de cette fabuleuse influence d’une Europe noire préexistant à l’Europe historique, eh bien, c’est parce que nous en avons effacé les preuves historiques. Génial, non !?
Citation : « Mon ouvrage, dont le titre est « Du Sang Bleu à l’Encre Noire », traite de la problématique de la falsification historique. J’y examine la manière dont les Noirs ont été exclus de l’histoire de l’Europe. J’y confronte plusieurs sources qui témoignent d’une présence noire africaine antérieure à une présence blanche sur le sol européen, mais aussi de l’existence d’une classe gouvernante noire en Europe. Tout porte à croire que ces sources, littéraires ou même artistiques , ont été occultées ou parfois falsifiées dans le but de dissimuler cette réalité qui est que les Noirs étaient les premiers habitants d’Europe et qu’il fut une époque où l’Europe était dirigée par une monarchie et une élite noire. »
Tout porte à croire ! Bigre. J’imagine que ceux qui contestent seront trainés devant la 17ème Chambre à Paris pour délit d’opinion et racisme.
Au moment où je venais de finir cet article, j’apprends que François Hollande a choisi une racaille black pour le centenaire de la Bataille de Verdun. Je ne l’avais pas prévu, mais c’est tout à fait cohérent avec le projet de négrification de l’histoire européenne, dont traite ce papier. Le rappeur Black M, ancien membre du groupe Sexion d’Assaut, donnera un concert gratuit pour la journée de commémoration du centenaire de la Bataille de Verdun. On rapporte que l’Elysée souhaitait présenter un « artiste populaire » [sic], lequel s’est fait remarquer, entre autres choses, en qualifiant la France de « pays de koufars ».
Notez bien le tweet suivant, typiquement belliciste et conquérant.
Quelques morceaux choisis de Black M
Finissons en rappelant les chants de ceux qui ont combattu pour que la France vive :
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p style= »text-align: justify; »>« Et Verdun, la victorieuse,

Pousse un cri que portent là -bas
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p style= »text-align: justify; »>Les échos des bords de la Meuse,

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p style= »text-align: justify; »>Halte là ! on ne passe pas…

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p style= »text-align: justify; »>Plus de morgue, plus d’arrogance,

<
p style= »text-align: justify; »>Fuyez barbares et laquais,

<
p style= »text-align: justify; »>C’est ici la porte de France,

Et vous ne passerez jamais. »
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