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Alors que Donald Trump entend bousculer le calendrier mondialiste, pour la première fois, deux piliers de l’Union européenne se sont déclaré fin novembre résolues à agir au besoin contre Washington. Les déclarations de ces deux femmes font de l’Union européenne le dernier bastion d’un obscur pouvoir mondial. Il s’agit d’abord de  la mise en garde d’Angela Merkel à Donald Trump dés la proclamation de son élection, des termes qu’elle réitèrera lors de sa candidature à un nouveau mandat de chancelière. Il s’agit ensuite de la déclaration de Federica Mogherini, chef de la diplomatie de l’Union, sur la reconduite des sanctions contre la Russie. 

Au sein de l’Union, Angela Merkel martèle la doxa de ce pouvoir de l’ombre. 

les « valeurs communes »

Les « félicitations » de la Chancelière à Donald Trump lors de son élection à la présidence des États-unis, n’étaient en fait qu’un avertissement glacial et rempli de menaces:

« Celui qui dirige ce grand pays, compte tenu de sa puissance économique considérable, de son potentiel militaire et de son rayonnement particulier, a une responsabilité vis-à-vis du reste du monde »

Autrement dit, « la puissance économique considérable », et le « potentiel militaire » des Etats-unis ne seraient pas le bien du peuple américain remis librement entre les mains du président de son choix, mais plutôt seraient au service d’une autorité que Madame Merkel ne nomme pas, mais dont elle s’affirme comme la représentante par-dessus les électeurs américains et du haut duquel elle tance Donald Trump. 

Voici la citation tirée du Monde, un journal peu suspect de souverainisme:

« Sa brève allocution – une minute et vingt secondes au total – avait surtout valeur de mise en garde. « Celui qui dirige ce grand pays, compte tenu de sa puissance économique considérable, de son potentiel militaire et de son rayonnement particulier, a une responsabilité vis-à-vis du reste du monde », a déclaré la chancelière, avant de rappeler les « valeurs communes » à l’Allemagne et aux Etats-Unis : « La démocratie, la liberté, le respect du droit et de la dignité humaine, quels que soient l’origine, la couleur de peau, la religion, le sexe, l’orientation sexuelle ou les opinions politiques. »  Le Monde

Dans cette brève allocution, chaque mot est capital, et elle les reprend l’un après l’autre lors de sa candidature à un quatrième mandat à la tête de la chancellerie. Se référent au « cœur de son programme », elle réitère comme un leit motiv:

« la démocratie, la liberté, le respect du droit et de la dignité de chacun, et ce quels que soient son origine, sa couleur de peau, sa religion, son sexe, son orientation sexuelle ou ses opinions politiques ». Les termes sont rigoureusement ceux qu’elle avait employés, mercredi 9 novembre, après la victoire Donald Trump à l’élection présidentielle américaine. » (C’est une citation du Monde )

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Le programme d’un pouvoir occulte tout dévoué à Satan :

Les termes repris par la Chancelière lors de sa candidature sont les mêmes, mais vis-à-vis de Donald Trump ils étaient plus précis: Au nouveau président elle parle du « respect du droit et de la dignité humaine », alors qu’en présentant sa candidature elle préfère: « le respect du droit et de la dignité de chacun ». Il s’agit dans tous les cas des Droits de l’homme, qui ont pris la place des Dix Commandements, et qui depuis 1789 régissent l’Occident contre les Droits de Dieu.

Analyse des termes de cette profession de foi mondialiste:

  • « le respect du droit et de la dignité humaine, et ce, quels que soient son origine, sa couleur de peau ». C’est bien sûr une référence aux Droits de l’homme, c’est l’obligation d’accepter pour les nations,  la perte de leur identité, la contestation du droit des peuples à revendiquer leur civilisation propre, leur origine, c’est le melting pot inventé aux USA et répandu, en quelques décennies, en Europe. C’est le brassage des races et donc l’immigration, de préférence musulmane pour mieux noyer la civilisation chrétienne.  
  • « Le respect du droit et de la dignité humaine, et ce, quels que soient sa religion », Pour Angela Merkel  qui s’adresse au monde occidental, c’est encore l’interdiction pour les nations de revendiquer leur racines chrétiennes, l’obligation pour les chrétiens de faire disparaître de leurs traditions et espaces publiques tout ce qui se rapporte au christianisme.  
  • « le respect du droit et de la dignité humaine, et ce, quels que soient son sexe, son orientation sexuelle« : Nous sommes là au cœur de la politique de mort qui est aussi diamétralement anti-chrétienne, c’est le catéchisme LGBT obligatoire avec l’avortement, le mariage homosexuel et demain l’euthanasie et tout son cortège macabre à tous les niveaux. 
  • « le respect du droit et de la dignité humaine, et ce, quels que soient ses opinions politiques ». C’est clair pour Angela Merkel, il n’y a pas de liberté d’opinion politique pour ceux qui ne rentrent pas dans le moule des opinions mondialistes qu’elle énumère avec autant de constance, que ce soit dans sa mise-en-garde contre Donald Trump comme dans son programme électoral. Fervente chienne de garde d’un pouvoir occulte tout dévoué à Satan.

L’Attentat du marché de Noël de Berlin, un mauvais signal pour Angela Merkel

En cet après-midi de mardi, comment ne pas évoquer l’attentat de Berlin ? Les autorités allemandes rétro-pédalent sur les caractéristiques du responsable de la tuerie du marché de Noël de Berlin, tout comme en 2014 les autorités françaises rechignaient à qualifier d’attentats islamiques, les nombreux attentats contre les marchés de Noël (exemple) qui avaient fait des victimes partout en France et dont nous n’avons plus entendu parler depuis. Et pour l’attentat de Berlin, le suspect remis en liberté et l’auteur en fuite… Serait-ce une nouvelle tentative de dissimulation comme cela avait été le cas pour les viols de masse d’allemandes lors de la Saint-Sylvestre ?

Au moment où Angela Merkel commençait à remonter dans les sondages après sa candidature à la chancellerie, cet attentat manifestement islamique -avec le meurtre du chauffeur polonais- sur le symbole chrétien que sont les marchés de Noël, devrait rappeler aux électeurs à la mémoire courte, que c’est elle qui est à l’origine des vagues déferlantes d’immigrés musulmans dans l’Union et plus particulièrement en Allemagne où elle les a appelé à venir.

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Après l’élection de Trump, l’Union se désolidarise des USA:

C’est ce qu’a déclaré Federica Mogherini, elle aussi, à Foreign Policy -la revue politique américaine- à propos du renouvellement des sanctions économiques contre la Russie. La conjonction de démarquage entre les deux femmes, par rapport aux USA,  sur des sujets très différents est frappante:

Interrogée sur les sanctions contre la Russie, pour le cas ou Donald Trump ne les poursuivraient pas, Federica Moghérini répond:   «  les décisions du Conseil  Européen ne sont pas liées à des dynamiques géolpolitiques ». Ce qui est une position d’une très grande nouveauté, alors que jusque-là l’Union européenne semblait plutôt n’obéir qu’aux pressions de Washington. Foreign Policy

Elle a confirmé que l’Union européenne était disposée à prolonger les sanctions de six mois, lesquelles restent en vigueur jusqu’à fin janvier 2017.
Il est vrai que la responsable de la diplomatie de l’Union n’a donné son avis à Foreign Policy qu’après qu’Angela Merkel et François Hollande aient affirmé, de leur côté, courant novembre, vouloir le renouvellement des sanctions, alors que la question n’était pas du tout d’actualité puisqu’elle ne viendra en discussion qu’en fin  Janvier. Pourquoi tant de précipitation à vouloir se dissocier du pouvoir américain ? Mais, bien sûr, pour multiplier les avertissements en direction de Donald Trump qui a déclaré son intention de lever les sanctions, de se rapprocher de la Russie dans sa lutte anti-terroriste et de vouloir faire cesser l’immigration sauvage. Autant d’atteintes au programme mondialiste édicté par Angela Merkel.

Les masques tombent

Ainsi donc les masques tombent en Union européenne et sur son leadership qu’est l’Allemagne au travers de sa grande prêtresse Angela Merkel. Il apparaît à présent évident que les sanctions n’ont pas été accordées sous pressions américaines, mais sous la pression du pouvoir mondialiste occulte dont Obama, Angela Merkel, François Hollande et Federica Mogherini ne sont que les fidèles serviteurs…  Un pouvoir occulte qui n’avait pas anticipé suffisamment la victoire d’un Donald Trump qui semble décidément étranger au sérail mondialiste.

Cette volonté de renouveler les sanctions contre la Russie alors que tous les milieux d’affaire des pays membres y sont opposés, alors que ces sanctions économiques contre la Russie sont en réalité, avant tout des sanctions que l’Union impose à ses propres peuples, -et particulièrement à la France dont l’agriculture familiale est mortellement atteinte-, cela n’intéresse pas Madame Mogherini, ni Angela Merkel, ni François Hollande, qui de toute évidence roulent pour d’autres intérêts que pour ceux des peuples européens.

Mais alors pour qui roulent les puissants de l’Union européenne ?  Si ce n’est ni pour les peuples de l’Union, ni pour les États-unis, ne serait-ce pas pour un pouvoir occulte, innommable, concentré entre les mains des banksters de New-york et autres gros consortiums apatrides, zélés serviteurs de Mammon, dont les Obama, Clinton, Merkel, Hollande ou Mogherini ne sont que les courroies de transmission ? 

Lire aussi: 4000 djihadistes de l’Etat islamique ont déjà infiltré le flot des clandestins en UE

emiliedefresne@medias-presse.info

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