Emma Bonino n’est pas une personnalité quelconque du paysage politique italien et européen. Elle sévit sur la scène mondiale du pouvoir depuis des décennies. Elle a été, au nom du progrès, de tous les combats d’avant-garde gauchistes, de toutes les décompositions sociales et désagrégations morales. Elle est une figure de proue du féminisme extrémiste, une pasionaria de toutes les déviances sexuelles au nom de la liberté totale, une partisane de l’atomisation des identités pour une humanité brassée, une collaboratrice acharnée de la culture de mort…
Sa pensée idéologique matérialiste et athée illustre à merveille la haine du christianisme, de la civilisation européenne et chrétienne, qui fait rage dans les temples occultes et autres sombres engeances tout dévoués à la subversion permanente dans le but de créer un nouvel Homme affranchi de toutes contraintes, de toutes règles, de toutes dépendances. Un Homme nouveau, un Individu Roi et Dieu pour des lendemains qui chantent, selon les délires du messianisme marxiste.
Pour Emma Bonino, le leader radical-chic anti-prohibitionniste, tout fut et est bon pour aboutir à ce meilleur des mondes libertaire : même les flots de sang des milliers et milliers d’avortements que cette « faiseuse d’anges » s’est vantée d’avoir pratiqués avec une pompe à vélo ! Aujourd’hui elle soutient le mariage des duos homosexuels, l’immigration-invasion, l’utérus en location, l’adoption d’enfants par des couples de même sexe…
Emma Bonino, qui n’a pas changé d’idées, c’est le symbole de la corruption morale, de la décadence des mœurs, du renversement des valeurs, de la société arc-en-ciel et métisse, et de la fin de toute rectitude…
Et le pape François, qui la considère « parmi les grands de l’Italie d’aujourd’hui » (sic), l’a reçue hier, mardi 8 novembre 2016, au Vatican, pour parler « migrants, accueil et intégration », annonce la Salle de presse du Vatican ! L’anti-prohibitionniste qui a prohibé à des enfants d’être accueillis dans la vie, qui les a exclus de toute intégration, qui les a tués dans le ventre de leur mère, est venu bavarder amicalement avec Jorge Maria Bergoglio, sous les crucifix romains, des clandestins débarqués à point nommé sur nos côtes européennes pour prendre la place de tous ces bambins avortés qui manquent à l’appel…
Oui, il est des rencontres qui scandalisent et font frémir !
Francesca de Villasmundo
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