L’Angleterre qu’on nous dit férue de traditions ne cessera pas de nous surprendre. Après avoir renié sa foi catholique au XVIè siècle, après avoir admis une royauté qui fait circoncire ses princes par un rabbin, et qui joue les princes arabes, après les prêches enflammés de ses imams radicaux, voilà qu’elle fait de sa capitale, la plus grande ville d’Occident, une ville orientale prête à s’intégrer au dar-al-islam… Cela est-il réellement surprenant dans une ville qui abrite depuis des siècles la City des banksters ? Il faut cependant craindre très fort que cette étape-clef franchie dans le changement de civilisation en extrême-Europe, ne soit très vite imitée dans les autres capitales d’Europe de l’Ouest dont la France fait partie.
Qui est Sadiq-khan ?
Il a été élu à la majorité relative de 44% contre 36% à son adversaire, bénéficiant d’un fort taux d’abstention et d’une submersion migratoire musulmane depuis des décennies. Il s’agit d’un fils d’immigré pakistanais dont le père a eu le privilège de trouver un emploi en Angleterre, le privilège d’habiter dans un appartement social à loyer modéré et le privilège de l’instruction gratuite pour ses enfants, tout ce qu’il n’aurait pas eu en restant au Pakistan, et tout ce que n’ont pas forcément tous les britanniques, même pauvres. Et c’est au nom de tous ces privilèges que l’homme a fait pleurer Margot dans sa chaumière londonienne. Et voilà le fils d’immigré devenu avocat spécialiste, nous dit-on, des droits de l’homme.
Sadiq-Kahn a joué aux Londoniens la musique bien connue que Bernard Tapie avait joué à Marseille il y a quelques années avec son ascension sociale fulgurante qui faisait briller d’envie les yeux des jeunes musulmans. Cette musique Sadiq le Pakistanais l’a joué d’autant plus fort qu’il a bénéficié de la formidable caisse de résonance des médias mainstream médusés qui ont pris plaisir à caricaturer son adversaire, au physique beaucoup trop british, malgré ses origines juives, dont la fortune est héréditaire. Or Londres c’est comme Paris le domaine des Bourgeois-bohémiens, les fameux bobos cosmopolites, dont le seul catéchisme est le mondialisme métissé. Ces Londoniens fortunés, musulmans, juifs ou athées se sont donc joint aux premières, deuxièmes, troisièmes et quatrièmes générations d’immigrés musulmans des banlieues. Le pakistanais ne s’est pas contenté de jouer du violon sur son ascension sociale, il en a aussi joué sur son origine religieuse musulmane; il savait qu’elle ne gênerait pas la City ni les bobos et qu’elle ravirait les multitudes musulmanes de Londres.
Il n’y a pas d’islam modéré
Si durant sa campagne Sadiq-Kahn a proclamé son islam modéré, il a pourtant montré une attitude très différente auparavant. « En 2004, il a par exemple participé, en tant que candidat à la députation pour le Labour, à une conférence avec cinq extrémistes islamistes, organisée par Friends of Al-Aqsa, un groupe pro-palestinien qui a publié des travaux du révisionniste (selon les termes du Guardian) Paul Eisen. A cet événement, les femmes devaient emprunter une entrée distincte des hommes! La même année, président des affaires juridiques du Muslim Council of Britain, il a participé à la défense de l’intellectuel musulman Dr Yusuf Al-Qaradawi et nié le fait que celui-ci soit un extrémiste. Il est pourtant l’auteur d’un livre, The Lawful and Prohibited in Islam, où il justifie la violence domestique à l’égard des femmes et soutient les opérations martyres contre les Israéliens. » Selon Le Figaro d’hier. Mais ne sait-on pas que la takkiya est la permission pour les musulmans de mentir aux « infidèles » ?
« il représente une voix assez commune à gauche, poursuit Alexandre Deveccio du Figaro, surtout dans ce que j’appelle «la gauche du ressentiment» (…) qui consiste à expliquer les attitudes des extrémistes et des terroristes par la seule et unique faute de l’Occident. Ainsi en 2006, élu député, Khan était l’un des signataires d’une lettre au Guardian qui attribuait la responsabilité des attentats terroristes – comme celui du 7 juillet 2005 à Londres – à la politique étrangère britannique, notamment son soutient à Israël. » La responsabilité occidentale est hélas à déplorer, mais elle n’exonère en rien celle de l’islam qui n’a pas attendu Israël pour massacrer et envahir le monde, dés le VIIè siècle, étendant sans cesse le dar-el-islam, c’est-à-dire la terre d’Islam sur laquelle le chrétien devient un dhimmi, citoyen de seconde zone ou un esclave.
Des barbares venus du Pakistan violer des petites blanches en Angleterre
Les 44% très relatifs en fonction de la forte abstention, de Londoniens qui ont élu Sadiq-Khan, ont eu beau jeu face à la passivité de la population d’origine qui pourtant aurait du être secouée par « deux séries d’affaires retentissantes, qui, depuis 2014, ont bouleversé le pays: d’abord celle du «Trojan Horse» en 2014 et 2015, où furent découvertes des tentatives concertées de mettre en œuvre, dans plusieurs écoles de Birmingham, une philosophie et des pratiques islamistes ou salafistes.
Pire, on a mis a jour dans les dernières années de nombreux cas d’abus sexuels sur mineurs, perpétrés par des «gangs» dont les membres étaient d’origine musulmane. Ce fut le cas à Rotherham entre 1997 and 2013, où 1400 jeunes filles ont été violées. Cinq hommes d’origine Pakistanaise ont été condamnés. On a découvert des horreurs similaires à Rochdale, Derby et Telford. Le cas le plus récent est celui d’Oxford, où un groupe de sept hommes, entre 2006 et 2012, a exploité sexuellement 300 mineures, avec une violence parfois épouvantable. »
« La multiplicité des cas est frappante. Surtout, tous les membres des gangs étaient à chaque fois d’origine musulmane, et les jeunes filles – âgées parfois de 12 ans – blanches. » Nous explique le journaliste du Figaro qui ajoute avec une ingénuité à faire hurler: « C’est pourquoi depuis 2014, date où les premiers rapports officiels ont été publiés, on s’interroge sur une éventuelle motivation ethnique des agresseurs. »…
Complicités…
Ces affaires barbares que MPI avait relatée, ont pu prendre cette envergure parce que la police britannique avait tout simplement tardé au maximum à les instruire… Dhimmitude ou ordre supérieur ? Le résultat a été l’abandon aux barbares principalement pakistanais, de jeunes et très jeunes filles blanches et seulement blanches.
Lorsque sonne le glas il est trop tard pour réagir. pour le moment les échos du glas qui nous parviennent sont encore en terre étrangère, il est plus que temps de s’unir face au danger mortel du grand changement de civilisation qui nous assiège, alors que le cheval de Troie est déjà avancé dans nos murs. En cette fête de Jeanne d’Arc, nous combattrons et Dieu donnera la victoire.
emiliedefresne@medias-presse.info
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