A noter toujours la même constatation: une immense majorité d’hommes jeunes en âge de combattre ou de travailler pour défendre leurs pays et leurs familles, mais qui fuient.
Quatre pays membres de l’Union restent fermement opposés à la politique des « quotas » prônée par Berlin, et par le président de la Commission européenne Jean-Claude Junker, pour le partage de tout immigrant qui veut bien venir. Face à leur détermination, les ministres allemand et luxembourgeois des Affaires étrangères se sont déplacés à Prague ce vendredi 11 septembre pour les détourner de leurs résolutions.
Une réunion, entièrement consacrée à la déferlante migratoire ne semble pas avoir changé les positions diamétralement opposées de part et d’autre. Mais les discussions vont se poursuivre et ne doutons pas que toutes les pressions possibles seront utilisées pour avoir raison de la résistance de ces quatre chefs de gouvernement exemplaires.
Franck-Walter Steinmeier, le ministre allemand des Affaires étrangères déclare que cette immigration sauvage et massive est « le plus grand défi de l’histoire de l’Europe ». Pour lui ce défi est sans doute une chance puisque les autorités allemandes sont demandeuses. L’Allemagne dans cette affaire est en train, avec son complice Jean-Claude Junker à la tête de la Commission européenne, d’imposer à l’ensemble des pays de la zone Schengen un afflux d’immigrés qu’ils ne veulent pas. Angela Merkel a mis tout le monde devant le fait accompli et il ne faut pas compter sur l’inconsistant François Hollande pour lui tenir tête, d’autant moins que de toute évidence il est convaincu d’avance. Le Ministre allemand a précisé que 40 000 nouveaux clandestins sont attendus en Allemagne rien que pour ce week-end. Son homologue et complice luxembourgeois, Jean Asselborn, dont le pays tient actuellement la présidence tournante de l’Union européenne, a réclamé davantage de solidarité pour les étrangers, sans se soucier d’une quelconque solidarité avec les Européens, qui ne comptent pour rien dans cette affaire.
Mais heureusement, pour le moment, les quatre pays, déjà cités, du groupe dit de « Visegrad », restent inébranlables. Ils demandent inlassablement un renforcement des frontières de l’espace Schengen d’urgence, tout en continuant de rejeter le principe des quotas. Car les dirigeants de ces pays sont convaincus que ces quotas ne résoudront rien.
En effet la libre circulation à l’intérieur de la zone Schengen rend incontrôlable les déplacements des gens qui y sont admis, quel que soit le pays qui les admet. De plus, avec la politique du regroupement familial et le droit du sol (nationalité française automatique à la naissance) il faut démultiplier le nombre réel de ceux qui vont s’installer en Europe et plus particulièrement en France, s’ils y sont admis. Sans omettre tous les clandestins qui continueront de rentrer par nos frontières poreuses tant que la situation ne sera pas rétablie en Syrie.
Trois mille six cents personnes sont entrées en Autriche depuis minuit la nuit dernière. Une autoroute envahie de clandestins a du interrompre son trafic. La compagnie de chemins de fer autrichienne a fermé ses liaisons avec la Hongrie, avant de les rouvrir; le Danemarrk en avait fait autant, mais il a rétabli le trafic lui aussi.
Tant que l’Union européenne ne se disloquera pas, le chaos se poursuivra au Moyen-Orient pour la plus grande satisfaction des oligarques cosmopolites mondialistes qui veulent pousser les salaires à la baisse, avec l’entière complicité des loges favorables au métissage et au déracinement des peuples.
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