Les premiers ministres de Hongrie, Pologne, Tchéquie et Slovaquie lors du sommet qui les a réuni à Prague où ils se sont mis d’accord contre l’immigration, contre les quotas, et contre le droit pour l’Allemagne et la France de leur faire la morale. (Quatrième vidéo ci-dessous)

– 1ère vidéo: le point d’actualité sur l’immigration aujourd’hui en Hongrie

– 2ème vidéo: Le camp de réfugié de Hongrie sous haute surveillance

– 3ème vidéo: Interview de Viktor Orban, premier ministre de Hongrie sur l’immigration

– 4ème vidéo :  Décisions des 4 premiers ministres de l’Union opposés à l’immigration sauvage et interview de Dariusz Grabowski ancien euro-député polonais.

– Article sur la situation aujourd’hui aux marches de l’UE

Crise des migrants: le point avec Yves Magat depuis le camps de Röszke (Hongrie) Il y a 3 heures
On notera le coup de pied de l’âne de ce journaliste qui clos ce point d’actualité à propos de l’envoie de l’armée aux frontières par Viktor Orban: « juste pour faire plaisir à ses électeurs xénophobes »Des électeurs qui en tout cas n’ont pas à leur tête des traîtres comme ceux qui sont à la tête de la France.
On notera également « que comme au Danemark les migrants ne veulent pas se laisser enregistrer ».
Camp d’immigrés sous haute surveillance en Hongrie.

Interview sous-titrée en français du premier ministre de Hongrie: « Les immigrés qui arrivent en Hongrie sont des migrants économiques » déclare Viktor Orban.
« Si ces gens demandent l’asile et que leurs critères correspondent nous leur garantissons l’asile. Mais ces gens-là ne sont pas des réfugiés politiques, ils cherchent une vie meilleure., »  déclare-t-il.

Dans cette vidéo: après l’énumération des décisions des quatre premiers ministres à l’issue de leur rencontre, interview de l’ancien eurodéputé, Dariusz Grabowski, de la Ligue Polonaise de la Famille (Liga Polskich Rodzin, LPR), qui s’exprime en un excellent français.

Accueil des migrants en Europe: les pays de l’Est préparent leur riposte en un sommet qui a réuni à Prague les premiers ministres de la Hongrie, de la Pologne, de la Tchéquie et de la Slovaquie. Ces quatre pays sont hostiles à tout quotas d’immigrants. Pour eux il faut avant tout sécuriser les frontières de l’Union. Ils ne veulent pas non plus qu’on leur fasse la morale. Des chefs de gouvernement qui ont mis l’Allemagne devant ses responsabilités. La Pologne a déjà accueilli 5000 ressortissants d’Ukraine qui fuient la guerre, dont personne ne s’occupe. « Pourquoi la Pologne devrait être responsable des agissements des grandes puissances au Moyen Orient ? Ces gens sont des immigrés économiques. » « La Pologne accepterait des réfugiés chrétiens, ce sont les chrétiens qui ont des problèmes religieux, pas les musulmans. » déclare Dariusz Grabowski, de la Ligue de la Famille (Liga Polskich Rodzin, LPR), dans cette interview, pour la Pologne.

Situation aujourd’hui en Europe centrale

Aux frontières de la Hongrie, la situation s’était bien calmée depuis que plus de 12 000 migrants avaient été bloqués dans les gares et pris en charge par l’Autriche, les 5 et 6 septembre.

Or voilà que l’Autriche, elle aussi se retrouve débordée. Aujourd’hui La compagnie nationale des chemins de fer autrichiens (ÖBB) a annoncé suspendre pour une durée indéterminée ses liaisons avec la Hongrie. En raison de la « congestion massive » de son réseau face à l’afflux de migrants désireux de se rendre en Allemagne, les chemins de fer autrichiens demandent aux « bénévoles et les compagnies d’autocars » à « cesser de conduire de nouveaux voyageurs dans les gares de son réseau ». « Le grand afflux de personnes combiné au nombre important de gens attendant d’ores et déjà dans les gares pour poursuivre leur voyage excède les capacités ferroviaires disponibles », écrit-elle.

Alors que dimanche dernier, à la frontière serbo-hongroise « il ne restait qu’une trentaine de personnes à la gare de Nickelsdorf, côté autrichien, attendant le train pour Vienne. Et à Budapest, la gare de Keleti s’est encore vidée : ils n’étaient plus qu’une vingtaine de petits groupes, ce lundi matin, installés par terre ou sous des tentes. » (Source)

En l’espace de quelques heures le flux d’immigrants a repris de l’ampleur aux frontières serbo-hongroise et austro-hongroise après un creux ayant suivi le transit en Allemagne autour du week-end de dizaines de milliers de migrants qui étaient bloqués en Hongrie.

La vague de migrants qui marchent sur les routes d’Europe continue de grossir, avec un nombre record de passages signalés jeudi entre la Serbie et la Hongrie dont la frontière devrait être hermétiquement fermée par l’armée d’ici quelques jours. 

Cinq mille migrants sont arrivés au cours des dernières 24 heures à la frontière entre la Serbie et la Hongrie, un record, a rapporté jeudi la télévision d’État serbe (RTS).

La quasi-totalité des migrants transitant par la Hongrie et l’Autriche souhaitent se rendre en Allemagne, qui leur a fait un signal fort d’encouragement, alors que maintenant ce pays veut faire porter le poids de son inconséquence sur l’ensemble des pays membres de l’Union européenne. Certains pays ont refusé net son injonction de quotas de répartition, par l’entremise des instances européennes, mais malheureusement la République, toujours complice de l’anti-France les a accepté et mis en application avec à l’appui, une propagande à la Goebels, sur toutes les chaines de télévision et dans les gros médias à la botte du mondialisme, allant jusqu’à instrumentaliser des sondages invérifiables présentés comme des référendums. Le seul véritable sondage vérifiable serait un référendum, mais les autorités de la République maçonnique se gardent bien d’en parler.

Refus des quotas, construction d’un mur et armée aux frontières

Lundi 7 septembre, Viktor Orban avait estimé prématuré de débattre de quotas de répartition de réfugiés au sein de l’Union tant que le flux de migrants ne seraient pas contrôlés.

Aujourd’hui la Hongrie a déployé son armée à sa frontière avec la Serbie. Les soldats n’auront pas besoin de tirer sur les migrants, mais ceux qui essaieront de passer seront arrêtés et poursuivis, a déclaré le Premier ministre Viktor Orban dans une interview à la radio autrichienne. La Hongrie poursuit également la construction d’une clôture de barbelés.

Aujourd’hui le porte-parole du gouvernement hongrois Zoltan Kovacs, se plaint en outre que l’Union européenne n’accorde qu’une aide dérisoire à son pays pour régler la crise des immigrés.

Selon M.Kovacs, il s’agit de « sommes qui, comme on dit chez nous, ne peuvent pas même être comparables à l’argent qui est dépensé par la Hongrie ».
Cette année, la Hongrie a reçu 2,5 millions d’euros de la part de fonds européens. En août dernier, en pleine crise migratoire, le pays a demandé huit millions d’euros aux autorités européennes, mais n’a reçu que quatre millions. De plus, la construction du mur à la frontière serbe-hongroise est entièrement à la charge du pays, puisque l’UE l’a dénoncé.

M.Kovacs a souligné que les dépenses hongroises liées à la crise ont coûté 128,2 millions d’euros cette année, et 96,1 millions d’euros l’année précédente, alors que le représentant de la Commission européenne Alexandre Vinterstein, a reconnu que l’UE n’avait accordé que quatre millions d’euros à la Hongrie et cinq millions d’euros à l’Autriche ponctionnés sur le fonds de soutien de l’asile, de la migration et de l’intégration », pour couvrir cette crise migratoire sans précédent qui est le résultat d’un appel d’air de l’Allemagne qui a déclaré d’emblée être prête à accueillir 800 000 immigrés. La France en ayant admis un premier quota de 10 000, porté maintenant à 24 000, fait exactement la même chose; car cela prouve qu’elle est prête à réviser ses quotas à la hausse.

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