Les premiers ministres de Hongrie, Pologne, Tchéquie et Slovaquie lors du sommet qui les a réuni à Prague où ils se sont mis d’accord contre l’immigration, contre les quotas, et contre le droit pour l’Allemagne et la France de leur faire la morale. (Quatrième vidéo ci-dessous)
– 1ère vidéo: le point d’actualité sur l’immigration aujourd’hui en Hongrie
– 2ème vidéo: Le camp de réfugié de Hongrie sous haute surveillance
– 3ème vidéo: Interview de Viktor Orban, premier ministre de Hongrie sur l’immigration
– 4ème vidéo : Décisions des 4 premiers ministres de l’Union opposés à l’immigration sauvage et interview de Dariusz Grabowski ancien euro-député polonais.
– Article sur la situation aujourd’hui aux marches de l’UE
Dans cette vidéo: après l’énumération des décisions des quatre premiers ministres à l’issue de leur rencontre, interview de l’ancien eurodéputé, Dariusz Grabowski, de la Ligue Polonaise de la Famille (Liga Polskich Rodzin, LPR), qui s’exprime en un excellent français.
Accueil des migrants en Europe: les pays de l’Est préparent leur riposte en un sommet qui a réuni à Prague les premiers ministres de la Hongrie, de la Pologne, de la Tchéquie et de la Slovaquie. Ces quatre pays sont hostiles à tout quotas d’immigrants. Pour eux il faut avant tout sécuriser les frontières de l’Union. Ils ne veulent pas non plus qu’on leur fasse la morale. Des chefs de gouvernement qui ont mis l’Allemagne devant ses responsabilités. La Pologne a déjà accueilli 5000 ressortissants d’Ukraine qui fuient la guerre, dont personne ne s’occupe. « Pourquoi la Pologne devrait être responsable des agissements des grandes puissances au Moyen Orient ? Ces gens sont des immigrés économiques. » « La Pologne accepterait des réfugiés chrétiens, ce sont les chrétiens qui ont des problèmes religieux, pas les musulmans. » déclare Dariusz Grabowski, de la Ligue de la Famille (Liga Polskich Rodzin, LPR), dans cette interview, pour la Pologne.
Situation aujourd’hui en Europe centrale
Aux frontières de la Hongrie, la situation s’était bien calmée depuis que plus de 12 000 migrants avaient été bloqués dans les gares et pris en charge par l’Autriche, les 5 et 6 septembre.
Or voilà que l’Autriche, elle aussi se retrouve débordée. Aujourd’hui La compagnie nationale des chemins de fer autrichiens (ÖBB) a annoncé suspendre pour une durée indéterminée ses liaisons avec la Hongrie. En raison de la « congestion massive » de son réseau face à l’afflux de migrants désireux de se rendre en Allemagne, les chemins de fer autrichiens demandent aux « bénévoles et les compagnies d’autocars » à « cesser de conduire de nouveaux voyageurs dans les gares de son réseau ». « Le grand afflux de personnes combiné au nombre important de gens attendant d’ores et déjà dans les gares pour poursuivre leur voyage excède les capacités ferroviaires disponibles », écrit-elle.
Alors que dimanche dernier, à la frontière serbo-hongroise « il ne restait qu’une trentaine de personnes à la gare de Nickelsdorf, côté autrichien, attendant le train pour Vienne. Et à Budapest, la gare de Keleti s’est encore vidée : ils n’étaient plus qu’une vingtaine de petits groupes, ce lundi matin, installés par terre ou sous des tentes. » (Source)
En l’espace de quelques heures le flux d’immigrants a repris de l’ampleur aux frontières serbo-hongroise et austro-hongroise après un creux ayant suivi le transit en Allemagne autour du week-end de dizaines de milliers de migrants qui étaient bloqués en Hongrie.
La vague de migrants qui marchent sur les routes d’Europe continue de grossir, avec un nombre record de passages signalés jeudi entre la Serbie et la Hongrie dont la frontière devrait être hermétiquement fermée par l’armée d’ici quelques jours.
Cinq mille migrants sont arrivés au cours des dernières 24 heures à la frontière entre la Serbie et la Hongrie, un record, a rapporté jeudi la télévision d’État serbe (RTS).
La quasi-totalité des migrants transitant par la Hongrie et l’Autriche souhaitent se rendre en Allemagne, qui leur a fait un signal fort d’encouragement, alors que maintenant ce pays veut faire porter le poids de son inconséquence sur l’ensemble des pays membres de l’Union européenne. Certains pays ont refusé net son injonction de quotas de répartition, par l’entremise des instances européennes, mais malheureusement la République, toujours complice de l’anti-France les a accepté et mis en application avec à l’appui, une propagande à la Goebels, sur toutes les chaines de télévision et dans les gros médias à la botte du mondialisme, allant jusqu’à instrumentaliser des sondages invérifiables présentés comme des référendums. Le seul véritable sondage vérifiable serait un référendum, mais les autorités de la République maçonnique se gardent bien d’en parler.
Refus des quotas, construction d’un mur et armée aux frontières
Lundi 7 septembre, Viktor Orban avait estimé prématuré de débattre de quotas de répartition de réfugiés au sein de l’Union tant que le flux de migrants ne seraient pas contrôlés.
Aujourd’hui la Hongrie a déployé son armée à sa frontière avec la Serbie. Les soldats n’auront pas besoin de tirer sur les migrants, mais ceux qui essaieront de passer seront arrêtés et poursuivis, a déclaré le Premier ministre Viktor Orban dans une interview à la radio autrichienne. La Hongrie poursuit également la construction d’une clôture de barbelés.
Aujourd’hui le porte-parole du gouvernement hongrois Zoltan Kovacs, se plaint en outre que l’Union européenne n’accorde qu’une aide dérisoire à son pays pour régler la crise des immigrés.
Selon M.Kovacs, il s’agit de « sommes qui, comme on dit chez nous, ne peuvent pas même être comparables à l’argent qui est dépensé par la Hongrie ».
Cette année, la Hongrie a reçu 2,5 millions d’euros de la part de fonds européens. En août dernier, en pleine crise migratoire, le pays a demandé huit millions d’euros aux autorités européennes, mais n’a reçu que quatre millions. De plus, la construction du mur à la frontière serbe-hongroise est entièrement à la charge du pays, puisque l’UE l’a dénoncé.
M.Kovacs a souligné que les dépenses hongroises liées à la crise ont coûté 128,2 millions d’euros cette année, et 96,1 millions d’euros l’année précédente, alors que le représentant de la Commission européenne Alexandre Vinterstein, a reconnu que l’UE n’avait accordé que quatre millions d’euros à la Hongrie et cinq millions d’euros à l’Autriche ponctionnés sur le fonds de soutien de l’asile, de la migration et de l’intégration », pour couvrir cette crise migratoire sans précédent qui est le résultat d’un appel d’air de l’Allemagne qui a déclaré d’emblée être prête à accueillir 800 000 immigrés. La France en ayant admis un premier quota de 10 000, porté maintenant à 24 000, fait exactement la même chose; car cela prouve qu’elle est prête à réviser ses quotas à la hausse.
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chacun sait que le petit être vivant dans le ventre de la mère , va être tué.
prétendre qu’il serait un légume qui donne autorisation de l’euthanasier sans son consentement est une excuse.
des légumes , il y en a plein les hôpitaux psy et bien vivants.
il faut essentiellement de la prévention sans tabous et une bonne éducation des parents et des jeunes pour éviter de tels drames de tuer des enfants qui grandissent avant de pouvoir se défendre eux-mêmes.
A une époque où il existe de plus en plus d’associations pour protéger les espèces animales, et où on vous donne, pour des raisons écologiques et sentimentales, mauvaise conscience si vous ne les soutenez pas, paradoxalement on a aucun état d »âme pour encourager le meurtre des enfants à naître que l’on considère d’une façon mensongère grotesque, pour vous rassurer,que comme des légumes n’ayant aucune importance ni signification sociale.Sans pour autant mépriser,très loin de là,le monde animal que le Bon-Dieu a créé et que Saint François d’Assise a magnifié dans les ‘Fioretti », Notre Seigneur Jésus-Christ a rappelé que l’être-humain a une valeur infinie par rapport aux espèces animales les plus supérieures: »Ne valez-vous pas bien mieux que l’un de ceux-là », en parlant des oiseaux de ciel qui ne sèment ni ne moissonnent, ou en parlant du pain qu’il ne fallait pas jeter aux petits chiens. L’homme a donc été créé à l’image de Dieu,à l’image de Dieu vivant, et donc la vie humaine est sacrée. Quiconque attente à la vie humaine, attente aussi en partie à la vie de Dieu, qui ne meurt pas, bien-sûr, étant donné qu’il est éternel, mais l’offense d’une façon exceptionnellement grave jusqu’à commettre la faute qui va crier vengeance vers le ciel et qui va se répercuter dans l’éternité. C’est encore plus grave quand il s’agit de l’enfant à naître, car il est encore pur hormis la tâche originelle qui ne peut qu’être effacée après la naissance par le baptême, sans lequel il ne pourra jouir de la contemplation divine éternelle après sa mort naturelle s’il fait son salut.Non seulement on tue physiquement avec l’IVG, mais on tue aussi spirituellement cet enfant qui est véritable être, sans lui demander son avis, bien-sûr, puisqu’il n’est pas en demeure de juger, et sans demander l’avis en vraie connaissance de cause de sa Maman que l’on trompe, ce qui est abject.
C’est là que l’on réalise que la pratique de l’abominable IVG_le terme employé n’est pas suffisant pour en qualifier l’ignominie_est un procédé intrinsèquement diabolique. Il ne s’agit pas tant, loin sans s’en faut, de satisfaire à une impulsion égoïste qui consisterait à se débarrasser de l’enfant à naître parce que l’on ne pourrait pas subvenir à son éducation, que l’on ne pourrait plus satisfaire à des loisirs ou partir en vacances, que de répondre à une obligation de « valeurs » ou de « principes ». Mais que sont ces « valeurs » ou ces « principes » qui retentissent de façon toute nouvelle dans les discours ambiants? Ne sont-il pas une nouvelle forme de religion, une nouvelle religion autant dire? C’est là que le planning familial intervient pour nous faire comprendre que s’opposer à l’avortement constitue un délit de moralité. Mais alors quelle moralité? Ce ne peut être celle de Dieu et de son Eglise, mais celle de Satan, car la Foi nous dit qu’il n’existe pas de troisième voie ou voie intermédiaire.Il y la voie du chemin de la vérité et de la vie qui est celle du ciel éternel, et celle de la perdition qui mène aux tourments éternels de l’enfer avec la peine du Dam. Ceux qui prétendent ne vouloir ni de l’une ni de l’autre voie (pour éviter les extrêmes), prendront inéluctablement à un moment ou un autre de leur vie celle de la perdition, et cette attitude porte le nom de libéralisme. Que de libéraux, dans le monde politique approuvent l’IVG sans approfondir les conséquences éternelles de leur engagement.Et les thuriféraires du planning familial qui vont jusqu’à inciter à faire voter des lois interdisant de parler contre l’IVG! Ces gens là sont des « pseudo-religieux » dévoués pleinement à Satan et accomplissent sa volonté de tuer, car Satan a besoin de sang pour se glorifier car il n’a pas de Verbe incarné comme le Dieu de la Sainte-Trinité. Il a ses démons tueurs, Gog,qui exercent directement l’IVG et ses démons menteurs Magog, les plannings familiaux et les politiciens véreux ou lâches qui édulcorent l’acte jusqu’à l’élever au rang de vertu.
L’avortement, n’ayons pas peur de le dire, constitue les sacrifices humains des temps modernes à la « religion des droits de l’Homme », et ceux qui y participent activement ou idéologiquement sont tout aussi atroces que les indigènes des brousses africaines, des sierras d’Amérique du Sud, des Indonésiens et Polynésiens qui pratiquaient les sacrifices rituels humains jusqu’à l’anthropophagie pour certains jusqu’à une époque encore avancée du XIXème siècle (ch: Traité du St Esprit de Mgr Gaume, 2ème volume). D’ailleurs, les trafics de fétus pour des produits cosmétiques ou pharmaceutiques dans des buts financiers juteux peuvent relever d’une certaine forme d’anthropophagie.
L’hypocrisie est immense et témoigne d’une totale perte de la Foi.
Les témoignages bouleversants de ces jeunes femmes qui ont été trompées, montrent à quel point cette cette pratique intrinsèquement abjecte de l’IVG est loin de n’apporter que des conséquences naturelles funestes. Toutes parlent de cheminement vers la perdition: drogue, tabagisme, mendicité,remords insurmontables, tentation de suicide et suicide finalement.Elles décrivent leur vie après cette acte comme si elles remontaient de l’enfer, c’est comme si elle décrivaient déjà ce que serait la peine du Dam (privation éternelle de contempler Dieu face à face, qui est une souffrance encore plus grande que les souffrances physiques incomparablement plus intenses que celles endurées sur Terre).
Pardonnons à ces jeunes femmes d’avoir discuté avec le diable, elle n’avaient pas alors pleine connaissance de ce quelles ont voulu malgré elles et qu’elles ont laissé faire en elles-même.Prions pour qu’elle se convertissent à la Vérité qui est tout amour est pleinement la vraie vie.
Oui, très émouvants témoignages qui décrivent bien la pression ahurissante des organismes en question (planning familial) et même de la famille et des amis. On pourrait rétorquer à ceux qui disent que » les enfants n’appartiennent pas à leurs parents » qu’il y a là une incohérence flagrante avec » mon corps m’appartient « . Puisque les enfants, selon eux, les prétendus droits de l’hommiste progressistes, n’appartiennent pas à leurs parents et à la mère en particulier (dans ce cas de figure où c’est elle qui prend la décision, même dans la douleur), alors de quel droit encourager un acte sans tenir compte de cette vie en devenir qui…n’appartient donc qu’à elle-même ?
Je crois que le nombre ahurissant des IVG auquel il conviendrait d’ajouter la maltraitance intra-utero (1 mère sur 4 fume enceinte du premier au dernier jour de sa grossesse et une deux boit) pose globalement la question d’un gynocentrisme femeliste préjudiciable à nos sociétés (hors toute conation morale ou religieuse)
Dois-je y ajouter divorces et garde d’enfant lui conférant une toute puissance dont on mesure les effets dévastateurs ?
L’avortement c’est la mutilation du corps des femmes, la déresponsabilisation et l’infantilisation des garçons et des hommes et c’est faire assumer aux filles et femmes seules les conséquences d’une mauvaise éducation et du mépris envers les femmes.
L’avortement est le drame engendré par le machisme de notre monde. Comme pour la prostitution, tant que le sentiment d’impunité des hommes sur les conséquences de leur sexualité débridée, leur mépris des femmes et leur absence totale d’altruisme durera, les femmes vivront des souffrances extrêmes. Elles devront choisir entre le sacrifice de leur vie et le sacrifice des enfants à naître, avortement ou non.
Tant que les mentalités ne changeront pas, l’avortement ne pourra pas être aboli.
Pour arrêter les avortements, il faut d’abord changer les mentalités.
Les opposants à l’avortement parlent du droit de l’enfant à naître, de l’importance de la famille… mais ne revendiquent pas la dignité de la femme ! Même dans les églises, les temples et les mosquées, personne ne soulève le problème de fond parce que personne ne veut s’attaquer à la responsabilité de notre société machiste envers les souffrances continuelles que vivent les femmes.
On ne peut pas demander la pénalisation de l’avortement avant que les hommes cessent d’agresser les femmes.
L’avortement c’est égal à la prostitution. Pour la prostitution c’est bien que l’homme ait été enfin rendu responsable par la loi. Il faudrait faire de même pour l’IVG contraint c’est à dire pénaliser l’homme qui aura mis enceinte une femme et qui l’oblige à avorter car c’est souvent le cas.
Il y a aussi l’autre revers de la médaille. la loi ne reconnaît à l’homme aucun pouvoir sur sa propre paternité. La femme a le contrôle total ; elle peut choisir d’avorter ou d’enfanter librement sans le consentement du géniteur.
Sur ce plan la femme a plus de pouvoir que l’homme. C’est normal car c’est elle qui subit l’acte de l’avortement. Cet acte n’est pas banal. Avant une relation non protégée il faut que le couple en discute et soit décidé le cas échéant à garder l’enfant. S’il y a trahison effectivement il y a problème.
Un homme et une femme doivent parler de l’éventualité d’une grossesse avant de prendre le risque d’une conception, en précisant bien, le cas échéant son opposition à l’avortement. De cette manière les choses sont claires avant la conception et ça évite bien des souffrances autant dans le couple que dans le corps de la femme. Si on ne veut pas d’enfant, on s’arrange, avec son ou sa partenaire, pour ne pas en concevoir.Et s’il y a divergence d’opinion, vaut mieux régler ce problème avant de se permettre des rapports physiques.