Quelques jours à peine après son retour de Suède où il a béni le protestantisme et nié la responsabilité primordiale de la révolution luthérienne dans les terribles guerres de religions, le pape François renoue avec le dialogue inter-religieux et l’idéologie d’un Dieu de Miséricorde unique sous vocables multiples !
Le Pape François a reçu ce jeudi matin, 3 novembre, dans la salle Clémentine du Vatican, 200 personnes de plusieurs religions, dans le cadre d’une rencontre organisée par le Conseil pontifical pour le Dialogue interreligieux et le Conseil pontifical pour la Promotion de l’Unité des chrétiens. Une audience interreligieuse au cours de laquelle le Pape a exprimé sa vision particulière sur le sens de la miséricorde, qui est, selon lui, familier à toutes les traditions religieuses.
« Le thème de la miséricorde est familier à de nombreuses traditions religieuses et culturelles, a expliqué le Saint-Père, où la compassion et la non-violence sont essentielles et indiquent le chemin de la vie. »
Envoûté par sa vision anthropocentrique de la religion, intéressé par les seuls péchés sociétaux, il définit, sur fond de prédication gauchiste, cette miséricorde multi-confessionnelle comme un acte humain naturaliste et matérialiste :
« celui de s’agenouiller avec compassion et tendresse vers l’humanité faible et nécessiteuse, mais aussi se faire proche de ceux qui vivent des situations de maladie, de handicap, de pauvreté, d’injustice, ceux qui subissent les conséquences des conflits et des migrations. »
De l’âme, il n’en a cure !
Assujetti à l’idéologie d’un seul Dieu unique des religions, et pas très catholique, connus sous des noms différents, et à la croyance que toutes les religions sont bonnes et louables, « miséricordieuses », porteuses de salut temporel pour le croyant, le pape argentin a de nouveau appelé à l’union des religions et à la condamnation des actes terroristes « au nom de Dieu », sans jamais, bien entendu, désigné l’islamisme :
« Que jamais plus les religions, à cause du comportement de certains de leurs fidèles, ne transmettent un message déformé, dissonant de celui de la miséricorde. Malheureusement, il ne se passe pas un seul jour sans violences, conflits, rapts, attaques terroristes, victimes et destructions. Et il est terrible que pour justifier de tels actes barbares il soit parfois invoqué le nom d’une religion ou de Dieu lui-même.
Que soient clairement condamnés ces comportements iniques, a dit François, qui profanent le nom de Dieu et souillent la recherche religieuse de l’homme. Que soient au contraire encouragées, où que ce soit, la rencontre pacifique entre les croyants, ainsi qu’une réelle liberté religieuse.
« Que les religions soient sources de vie, qu’elles portent la tendresse miséricordieuse de Dieu à l’humanité blessée et nécessiteuse; qu’elles soient des portes d’espérance, qui aident à dépasser les murs érigés par l’orgueil et la peur. »
La vision bergoglienne de la miséricorde, c’est un pseudo-humanisme chrétien, revêtu des guenilles du marxisme, coiffé par un œcuménisme apostat, drapé dans un théisme mondialiste ! Une singerie de la vraie miséricorde catholique !
Francesca de Villasmundo
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