attentat_niceEn période estivale, l’attentat de Nice a frappé des touristes de tout pays. Un Italien est décédé, trois sont encore hospitalisés et plus de 30 manquent à l’appel.

Francesco Storace, homme politique italien, secrétaire national de « La Destra » (La Droite), ancien membre du parti Alliance nationale après avoir été membre du Mouvement Social Italien, le pendant du Front National français, actuel conseiller régional de la région Lazio, a publié une réflexion sur Giornale d’Italia qui s’attaque à la bien-pensance actuelle, coupable de la prolifération sur le sol européen de « loups ».

« L’horreur de l’attentat de Nice gèle le sang (…) Il faut lancer de sérieuses réflexions : le bric-à-brac de la bien-pensance est entrain d’introduire la guerre chez nous. Une guerre anarchique, une guerre basée sur la terreur et sur la surprise. L’ennemi veut tuer tout de notre monde : notre liberté, avec la démocratie; le fait de pouvoir sortir dans un restaurant, d’aller danser, de regarder les feux d’artifices ou une partie de foot; c’est l’antichambre pour nous enfermer chez nous, nous faire plier.

Cet ennemi a un nom, précis et clair. C’est cette politique criminelle des portes ouvertes, ce sont ceux qui, au nom d’un sens de la pitié et de l’égalité abstrait, ouvrent en grand les entrées de notre pays et de l’Europe. C’est cette politique idiote et myope qui voit les différents service secrets européens ne pas collaborer ensemble, au nom d’une pensée débile d’autonomie. Le compte doit être présenté à la chancelière allemande, Angela Markel, avec ses portes ouvertes; au président français, François Hollande, pour l’exécrable état des services de sûreté transalpins.

Chez nous, les champions de la bien-pensance sont innombrables et cela ne vaut pas la peine de les citer. Mais tous ils ont dans les oreilles les déclarations contre le racisme à Fermo, ensuite démenties dans les faits, ces mêmes hauts représentants institutionnels qui s’étaient précipités à jacasser gardant alors le silence. Ou ceux qui régulièrement détruisent les forces de l’ordre chaque fois que cela est possible avec des coupes, des identifications, des armes et du matériel obsolètes (…)

Arrêtons avec l’idéologie du bon sauvage ! Devant nous il y a des loups. Qui ont démontré de ne pas connaître la pitié. Hier, la peur de l’immigration clandestine était celle de perdre son travail. Aujourd’hui, – après des dizaines d’années de portes ouvertes -, c’est celle de perdre la vie. Sans savoir pourquoi. »

Francesco de Villasmundo

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