Aujourd’hui, dimanche 10 juillet, c’est l’adieu au migrant nigérian tué dans une rixe. Mais sur cette tragédie, exploitée par les médias mainstream, les politiciens bien-pensants et la sphère gauchiste « anti-fa » contre la droite anti-immigration, planent beaucoup de zones d’ombre.
Et si la vérité était tout autre que celle racontée par la femme du Nigérian ? Si c’était une autre affaire Mérik à l’italienne, destinée à culpabiliser, stigmatiser les opposants à l’invasion migratoire actuelle ?
Il y a bien des points similaires avec la triste fin du jeune « anti-fa » Clément Mérik, tué dans une rixe que lui et ses copains de l’ultra-gauche avaient recherché avec des « fafs ». Un coup de poing, une mauvaise chute, la mort au bout.
A Fermo, dans la province des Marches italiennes soumise à une invasion migratoire non-stop, le scénario n’est pas bien différent : un couple de migrants qui tourne de façon suspecte autour d’une voiture, un Italien hostile à l’immigration incontrôlée qui les apostrophe en les insultant, « Singe africaine », pour qu’ils s’en aillent, et le migrant qui, offensé, engage une bagarre. Un coup de poing, une mauvaise chute, la mort au bout pour Emmanuel le Nigérian.
Tout de suite les officines de la bien-pensance ont crié au racisme, au meurtre prémédité, à la haine des migrants. La femme du Nigérian, Chinyery, a raconté que son mari avait été passé à tabac, avait subi une « violence infinie ». Le prêtre Don Vinicio Albanesi, leur protecteur, celui qui fait de l’accueil des migrants sa priorité pastorale, à la tête d’œuvres, de fondations, d’organisations toutes destinées à recevoir et aider les clandestins qui affluent sans fin sur les côtes des Marches, a tout de suite repris cette thèse comme vraie et seule vraie.
Pourtant l’autopsie sur le mort et l’examen médico-légal sur l’Italien incarcéré, Amedeo Mancini , prouvent que les dires de Chinyery ne correspondent pas à la réalité : le Nigérian serait mort d’une fracture du crâne provoquée par une chute suite « au seul coup de poing » reçu, qui « n’était pas très fort ». La victime ne présente pas de signes évidents d’un passage à tabac puisque son corps est « presque totalement intègre » excepté un hématome sur le mollet et quelques coups de griffes.
L’Italien quant à lui, présente un « hématome très grave » aux côtes et d’autres sur le bras, qui correspondraient aux témoignages qui précisent que le Nigérian aurait envoyé une panneau de signalisation routière contre l’Italien. Par ailleurs sur son bras gauche apparaît une morsure que l’accusé dit avoir reçue de la femme.
Les témoins ont tous affirmé que ce sont les deux migrants qui ont débuté la bagarre. Aujourd’hui, l’un d’entre eux, Pisana Bachetti, subit des menaces :
« Ma vie est devenue un enfer. Et cela seulement pour avoir fait ce que chaque citoyen dans ma situation aurait fait : appeler la police parce qu’il y a une rixe. Je reçois des appels de toute l’Italie… dans lesquels on me traite de nazis. Je suis seulement une citoyenne de Fermo, je ne suis pas raciste. J’ai eu la malchance de me trouver en ce lieu et d’assister à une bagarre qui a entraîné la mort de ce pauvre jeune. J’ai seulement fait mon devoir et maintenant je vis un enfer (…) »
Comme elle l’ a fait précédemment, elle confirme ce qu’elle a dit au Parquet chargé de l’enquête :
« J’ai vu que le jeune de Fermo, avant de donner son coup de poing, a été littéralement assailli par la victime et sa femme. Ils ont frappé pour 4 ou 5 minutes et l’ont frappé avec le panneau de signalisation trouvé à côté. Quand j’ai assisté à cette scène j’ai appelé la police parce que j’avais peur pour la vie de l’Italien qui a réagi avec un coup de poing, malheureusement pour la victime, bien envoyé. Quelqu’un a essayé d’intervenir, mais il a été frappé à coup de chaussures par la femme du jeune de couleur. »
Mais cette version de l’histoire ne fait pas l’affaire des médias et des politiciens du système qui récupèrent ce drame pour soutenir leur idéologie immigrationiste pernicieuse et diffamer les mouvements de droite identitaire. Même logique et même instrumentalisation qu’au moment de l’affaire Mérik !
Aujourd’hui, dans un climat de stigmatisation de la droite opposée à l’invasion migratoire et de justice arbitraire et à sens unique, auront lieu les funérailles du Nigérian. En présence, normalement, de la présidente de la chambre des députés, la reine des féministes et militante acharnée pro-immigration, Laura Boldrini, ainsi que de l’actuelle ministre Maria Elena Boschi, parties en croisade toutes deux contre les méchants italiens racistes.
Voilà bien une instrumentalisation politicienne nauséabonde d’une triste mort par les tartuffes de service qui nous gouvernent ! Qui en faisant de l’accueil de toute la misère du monde une obligation sociale créent des tensions qui finissent en drame !
Francesco de Villasmundo
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