On sait qu’en duel singulier, les antifas sont des minables. A un contre un, le flocon de neige finit mal. Les antifas ont déjà tué par le passé, mais ce ne furent pas des actes très glorieux : abattre un chauffeur de taxi sans défense (Audrey Maupin et Florence Rey), mitrailler un conseil municipal (Richard Durn) ou assassiner deux étudiants sans défense (nos camarades Manolis Kapelonis et Giorgos Fountoulis en Grèce)… La violence terroriste antifa s’est accru aux Etats-Unis, avec comme point d’orgue la tentative de meurtre d’élus républicains par un partisan de Bernard Sanders – James Thomas Hodgkinson – le 14 juin 2017, blessant grièvement le n°3 de la Chambre des Représentants, Stephen « Steven » Joseph Scalise, député de Louisiane. Nous avons vu dans un précédent article les liens des antifas avec Daech…
Le 9 décembre 2017, dans le cadre des troubles sécessionnistes en Catalogne, une vermine antifa a encore tué à Cartagena. Pour la première fois, en un contre un. Enfin, en un contre un selon la déontologie antifa si prisée par les blattes courageusement anonymes de La Horde : c’est-à-dire une attaque avec une barre de fer et dans le dos contre un homme aux mains nues. Le tueur antifa s’appelle Rodrigo Lanza, un Chilien de 33 ans déjà connu des services de police pour avoir rendu tétraplégique un policier municipal de Barcelone en le lapidant. Il avait pour cela écopé de 9 ans de prison en 2006. Le tueur était membre d’un collectif qui occupe l’ancienne prison de « Torrero ». Collectif qui, á plusieurs reprises, a reçu l’appui de la ville de Saragosse en lui faisant de la publicité pour ses activités. Notons que sa gauchiste de mère soutient son fils bec et ongles. Eh oui, ce sont des gens comme ça que le général Augusto Pinochet Ugarte combattait… La victime s’appelle Victor Lainez, espagnol de 55 ans, originaire de Terrassa et ancien militaire dans la Légion espagnole.
Les faits sont accablants : le samedi en question, Victor Lainez eut le malheur de vouloir prendre un verre dans un bar fréquenté par une clientèle gauchiste et situé à une centaine de mètres de chez lui. Il a le malheur de porter des bretelles au couleur de l’Espagne. Sa route croise celle de Lanza et de trois autres militants d’extrême gauche, un mâle et deux femelles. Ces derniers, remarquant ses bretelles, l’insultent. Lainez passe son chemin, et Lanza l’attaque dans le dos, le frappant à la tête avec une barre de fer. Une fois tombé sur la chaussée, les agresseurs présumés lui auraient encore donné des coups de pied dans la tête avant de prendre la fuite en courant, avec la lâcheté qui caractérise les antifas, aussi courageux derrière leur écran quand ils sont anonymes, mais trouillards patentés et pleurnichards sur le terrain. Victor Lainez succombera 5 jours plus tard à l’hôpital. Le jour de son décès, le 14 décembre, nos camarades du Comité de Liaison et d’Aide Nationaliste publiaient un communiqué dont voici un extrait :
« Une fois n’est pas coutume, il semble les autorités régionales aient pris conscience de l’ampleur du problème. En effet, jamais l’extrême gauche n’a été aussi violente au cours de ces 10 dernières années, amenant le délégué du gouvernement de la région de Murcia à qualifier ces actes criminels de « terroristes ». Il était temps ! Est-il nécessaire de rappeler les agressions dont ont été victimes trois militants nationalistes lors de la dernière « marche des fiertés » (sic) dans l’indifférence générale ? Quand les autorités se décideront-elles à agir contre cette vermine avec la fermeté dont ils font preuve quand il faut s’attaquer aux nationalistes ? Nous affirmons notre soutien indéfectible à nos camarades Espagnols confrontés à la répression toujours plus féroce d’un pouvoir moribond qui cautionne les violences d’ultra gauche mais n’hésite pas à emprisonner les authentiques défenseurs de l’Espagne éternelle, avec la complicité tacite des médiats nationaux, bruyamment silencieux lorsqu’il s’agit de protéger les derniers remparts d’un Système à l’agonie. Honneur à Victor Lainez, honneur à nos camarades de la Blanquerna, honneur aux martyrs de l’Espagne Nouvelle ! »
Aucune ligne dans la presse aux ordres en France, que ce soit Le Monde, Le Figaro ou Libé. A comparer avec l’hystérie de l’affaire Méric (où la aussi les gauchos furent les agresseurs) ou à celle qui avait suivi la mort du rappeur antifa Pavlos Fyssas, lui aussi lors d’une rixe dans un bar provoquée par une divergence entre supporters de football et que les médias s’empressèrent de transformer en « crime politique ». À l’époque, Le Monde avait publié en moins de 48h un article titré La Grèce sous le choc de la violence d’Aube Dorée. S’en était suivie alors en Grèce une campagne de haine qui amènera peu après à l’assassinat des deux jeunes nationalistes grecs évoqué en début d’article…
Chacun sait que les antifas ne sont que les sbires de la haute finance apatride, des vigiles de la matrice. Comme je l’ai dit souvent, les règles de chevalerie ne s’appliquent qu’entre chevaliers. Quand on se bat contre les babarottes, c’est une autre guerre, nécessitant d’autres solutions…
Hristo XIEP
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