On savait qu’en France, l’extrême gauche allant des antifa à Mélenchon soutient l’islamisme. Il suffit de se souvenir de la candidate voilée du NPA, des liens entre les mairies communistes et certaines organisations salafistes, des dérapages de l’entourage de Mélenchon ou de Laurent et du fait que les antifas – tellement acharnés contre les catholiques – n’ont jamais manifesté contre l’islamisme, bien au contraire…

On sait maintenant qu’une partie non négligeable des antifas soutiennent également Daech et Al-Qaida. On s’en serait un peu douté… Un rapport du FBI remis à son directeur intérimaire Andrew George McCabe le 11 juillet 2017, publié dans le livre d’Edward J. Klein All Out War : the plot to destroy Trump sorti aujourd’hui et cité par le quotidien britannique The Daily Mail dans son numéro du 29 octobre, déclare notamment que les terroristes islamistes recrutent chez les gauchistes anti-Trump. Ce qui est logique tant l’islamisme est similaire dans sa structure au communisme comme l’avais magistralement démontré Jules Monnerot et tant ils ont commun un potentiel inexigible de haine et de fanatisme (ainsi que de nombreuses complicités dans les structures étatiques).

Le rapport du FBI déclare notamment : « Il y a des preuves accablantes qui montrent clairement qu’il existe des liens croissants entre les « antifas » américains anti-Trump et l’Etat islamique, ainsi que plusieurs groupes islamistes (…) C’est le plus grand défi pour les forces de l’ordre depuis le Weather Underground et le Black Panther Party » (Blacks Panther qui étaient instrumentalisées et financées par le KGB comme l’a prouvé l’ouverture des archives soviétiques). L’été dernier, le FBI a dépêché un groupe de travail en Europe pour surveiller les manifestations massives organisées par des groupes radicaux, comme le contingent allemand Antifaschistische Aktion, pour protester contre la présence du président Trump à la réunion du G20 en Allemagne. Il y a découvert ceci : « Le groupe de travail a couvert la réunion du G20 à Hambourg, a étudié les informations fournies par les autorités locales et en a déduit que des groupes anarchistes d’extrême-gauche s’étaient rendus en Allemagne et avaient pris part aux violences. Il y a aussi des preuves de rencontres entre ces individus et des associés de l’Etat islamique. Il y a un besoin urgent de surveiller de près ces individus identifiés. »

Les agents envoyés par le FBI ont porté une attention particulière à un groupe d’anarchistes d’Oakland, la ville de la banlieue de San Francisco célèbre pour son club de baseball et voisine des campus de l’Université de Californie et de Berkeley, théâtre de plusieurs manifestations violentes. « Trois responsables clés du groupe d’Oakland auraient rencontré à Hambourg un leader d’Al-Qaïda. Des informateurs ont déclaré que ces terroristes islamistes fournissaient des armes et des explosifs aux « antifas » de Oakland ». L’un des gauchistes a d’ailleurs été repéré en Syrie où il avait des rencontres prévues avec des membres de Daech.

L’ancien directeur du FBI, James Bryan Comey en était arrivé à des conclusions similaires, tout en soulignant l’apathie dans cette affaire de l’ancien Président Barack Hussein Obama :

« Les Américains communiquent avec l’Etat islamique et les autres organisations terroristes par des sites internet et ils utilisent ces sites pour télécharger des recettes pour fabriquer des armes (fait confirmé par les services secrets allemands). Puisque l’Administration Trump a démontré sa détermination à détruire l’Etat islamique, l’alliance entre les gauchistes américains et ISIS s’est considérablement resserrée. Les discutions sur Internet entre les Américains et les islamistes est astronomique. Le FBI essaie vraiment de rattraper la balle au bond car l’Administration Obama a refusé de donner au Bureau les moyens dont il avait besoin pour infiltrer et surveiller les groupes extrémistes sur les campus. La moindre mention des connexions entre l’islam radical – une phrase que les partisans d’Obama n’utilisaient jamais par ailleurs – et les extrémistes américains avait suscité des ricanements. Loretta Elzabeth Lynch [ancienne Procureur Générale et par ailleurs mélanoderme…] aurait pété un joint si elle avait entendu que le FBI surveillait les prétendus « organisations politiques » des universités. Tout a changé sous l’Administration Trump. Tout le monde est inquiet par le fait que les mouvements de résistances, avec leurs efforts pour éliminer Trump par tous les moyens possibles, ont créé un terreau fertile pour permettre à Daech et Al-Qaida d’établir une tête de pont en Amérique ».

C’est pour cela que les Antifa doivent être surveillés sans relâche, que ce soit par l’Etat ou – si ce dernier faillit à sa mission – par des structures citoyennes. Il faut notamment disposer d’information précises et fiables sur l’infiltration de cette cinquième colonne islamiste dans les « grandes écoles » et les universités (tant au niveau des enseignants que des élèves), mais aussi dans tous les rouages de l’Etat, y compris la justice et la propagande. Comme on disait dans le pays de mes ancêtres en 1944 (mais hélas pas en 1991…) : « A chacun son traître ! »

Hristo XIEP

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