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Zelensky reçoit la fessée de sa vie, par Jacques Frantz

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Les images font le tour du monde. Pourtant une analyse politique sérieuse, au-delà des émotions, s’impose.

Justement les émotions quelles sont-elles ?

D’un côté vous avez ceux qui ont mangé du Zelensky matin midi et soir pendant trois ans qui jubilent, et de l’autre, vous avez les mondialistes qui ont été débarqués de l’avion à 8000 mètres sans parachute et qui voient le sol se rapprocher de plus en plus.

Le lecteur doit cependant être conscient que l’analyse a un point faible, c’est l’absence d’informations exhaustives.

Que se sont dit les protagonistes en privé, que contient exactement l’accord que Zelensky est venu signer… Voilà des informations qui font cruellement défaut pour une analyse en profondeur.

En revanche, il y a quelques leçons à tirer sur un certain nombre de réalités qui, tôt ou tard, viennent se rappeler au bon souvenir des dirigeants mis en place par la mafia mondialiste, bien rémunérés et bien fournis en substances illicites. La première réalité qui devrait à mon sens figurer dans tous les manuels de géopolitique, c’est que l’allié américain n’est pas fiable.

La deuxième réalité c’est que, les États-Unis ayant mené une guerre de proxy contre la Russie en Ukraine, il est normal que ce soient les États-Unis et la Russie qui négocient la fin des hostilités.

Il y en aura toujours pour me dire que les Ukrainiens ont quand même bien le droit au moins de participer à des négociations qui a priori les concernent. C’était avant qu’il fallait y penser. Il fallait y penser au moment de décider d’entrer en guerre contre la Russie pour défendre des intérêts étrangers. Il fallait y penser au moment de mettre la dernière main à l’accord conclu avec la Russie à Istanbul et ne surtout pas croire Boris Johnson quand il promettait la victoire. Zelensky a joué, Zelensky a perdu. Dommage pour les centaines de milliers de morts, dommage pour les Européens qu’on a saignés pour financer cette guerre, (les Américains, eux, s’y retrouveront toujours), dommage enfin pour ceux qui sont incapables de retenir, comme on l’a vu, les leçons de l’histoire.

Car ça se termine toujours comme ça avec les États-Unis.

Arrive un moment où ils laissent leurs alliés en rase campagne, abandonnés à leur triste sort. Et bien contents ceux contre qui, après les avoir soutenus, les États-Unis ne se retournent pas. On se souviendra de leur grand allié Saddam Hussein qui a fini au bout d’une corde.

Ce matin, j’ai eu la faiblesse d’écouter France-info. Décidément, rien a changé, Radio Paris ment.

Il se disait sur la radio d’État que Trump se comportait envers Zelensky comme un chef de la mafia. Quand on connaît le niveau de corruption de la clique qui a mis Zelensky au pouvoir et qui l’y maintient, il faut avoir un sens aigu de la gravité de la tragédie qui se déroule pour ne pas éclater de rire, ou une case en moins pour ne pas exploser d’indignation.

Une dernière pour la route.

Toujours sur France-info, j’ai entendu Nathalie Loiseau (défense de rire), s’indigner du fait que l’altercation avait eu lieu devant les caméras. Elle a oublié que Macron avait filmé des entretiens privés qui ont ensuite été diffusés à la télévision ?

Jacques Frantz

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