La section Rhône-Alpes d’Égalité & Réconciliation recevra Martin Peltier à Grenoble le samedi 17 février 2024 à 15 h pour une conférence intitulée « Le wokisme, faux-nez de la révolution arc-en-ciel ».
Présentation de la conférence :
Ni wokisme, ni cosmopolitisme : la Révolution arc-en-ciel
Ce que nous vivons n’est pas fortuit, pas plus la disparition de la paysannerie que l’appauvrissement des Français ou les émeutes de banlieue, Il n’y a ni crise ni déclin inévitable, il y a une révolution concertée, révolution mondiale et mondialiste, totale et totalitaire, touchant l’économie, les lois, les mœurs, la culture la pensée, les us, les croyances.
C’est une révolution par le haut, par l’argent mais pas pour l’argent. Une révolution non aversive, maîtrisant l’ingénierie sociale et le temps long. Une révolution par la peur qui soumet les esprits à des dogmes faux, des « vérités à cours forcé », pour les couper de la réalité. Elle est spirituelle, elle a pour ambition de créer un homme nouveau dans un monde nouveau. Je l’ai dénoncée en octobre 2019 dans La Révolution arc-en-ciel et en mars 2020 dans L’Empire arc-en-ciel, annonçant avant le covid que l’un des moyens de cette révolution serait l’instrumentalisation des pandémies.
Je l’ai nommée révolution arc-en-ciel parce qu’elle a choisi de se désigner ainsi par ses drapeaux. Ils prétendent à tort représenter le Bien que symbolisait à l’origine l’arc-en-ciel : arc-en-ciel du pacifisme d’extrême gauche, arc-en-ciel de l’antiracisme représentant la nation arc-en-ciel de Mandela et Desmond Tutu, arc-en-ciel du Rainbow Warrior, navire amiral de l’écologisme, arc-en-ciel LGBTQ enfin. On constate que leur explication du monde est semblable, que leurs méthodes d’agitation sont communes, leurs bassins de militants poreux, leurs objectifs communs, d’ailleurs revendiqués par la « convergence des luttes ».
En somme la révolution arc-en-ciel est une réalité objective et subjective, et elle est opératoire.
Depuis, des livres sont parus, d’abord au Canada sous la plume de Mathieu Bock-Côté, puis au Royaume-Uni, sous celle de Douglas Murray, pour dénoncer le wokisme. Ils reprennent une partie de la critique de l’arc-en-ciel, en se focalisant sur l’islam, d’un point de vue néo-conservateur, sans concevoir l’unité de cette révolution polymorphe.Un bref tour d’horizon de cette révolution montre qu’elle n’est ni hyperlibérale, ni prévue par George Orwell, ni l’effet d’une dictature des minorités, ni le produit d’un « wokisme » qui serait en perte de vitesse à en croire les augures – c’est la révolution arc-en-ciel.
Martin Peltier
Informations importantes
– Entrée : 10 euros (7 euros pour les adhérents)
– L’adresse vous sera communiquée quelques heures avant la conférence
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Il n’y a qu’une Musique, la musique dite classique.
Tout le reste sont les borborygmes qui viennent du Diable.
Chez moi, pas de téléviseur, ni de radio.
De cette manière, le clapet du Diable est fermé !.
La Musique commence avec les troubadours, puis JS Bach,
et va jusqu’à Serge Rachmaninov compris.
Après … il n’y a que des borborygmes athées..
Ces borborygmes ont commencé, en France, avec jauni à l’idée, en 1962.
Ces borborygmes prenaient la suite des bêlements anti-musicaux
poussés par les biteules en Angleterre..
Tous les musiciens de l’époque savent que c’était voulu et organisé,
afin de préparer les cheveux longs de mai 58 … .
1 – Correction : les cheveux longs … de mai 68 bien sûr …
2 – Le degré de la décadence d’un Pays se mesure à la musique qu’on y entend
Jauni à l’idée n’était qu’un imitateur ;
il faudrait rechercher qui a financé les biteules, ses prédécesseurs. ;
Et avant, il faudrait savoir
qui a imposé la musique dite « de variétés » … à la radio ..
Et avant, il faudrait savoir
qui a imposé l’extinction des musiques de folklore
dans presque tous les pays.
3 – Il était une bergère … et ron et ron,… petit patapon
Il était une bergère …
qui gardait ses moutons … ton-ton … ..(bis) .
Elle fit un fromage … et ron et ron … petit patapon
Elle fit un fromage …
du lait de ses moutons … tonton … (bis)
Le chat qui la regarde … et ron et ron petit patapon
le chat qui la regarde …
d’un petit air fripon … ponpon … (bis)
Si tu y mets la patte … et ron et ron … petit patapon
Si tu y mets la patte …
tu auras du bâton … ton-ton (bis)
etc …
Je partage entièrement vos remarques. Déjà enfant je percevais ce combat de la musique de la radio contre les chants traditionnels – modernité contre tradition – et j’avais déjà choisi mon camp. Ce qui fait que je n’ai jamais eu de radio dans ma vie d’adulte, ni télé d’ailleurs.
A l’école nous chantions encore ces chants folkloriques que j’aimais beaucoup et qui me faisait rêver sur le passé.
Maintenant c’est fini les jeunes ne connaissent presque plus rien de notre beau patrimoine. J’ai vécu cette transition comme un déchirement. L’anti-musique moderne a progressivement tout envahi, les supermarchés, les restaurants, les cafés, les rues commerçantes à certaines périodes de l’’année, le cabinet dentaire, les attentes téléphoniques avec les administrations, les salles de sport, les manifestations politiques, certaines expositions et foires, et même l’église conciliaire. Dès que l’on sort de chez soi, que l’on se rend en ville, on y est confronté. J’ai tout fait pour éviter de faire subir ce bruit de fond à mes enfants quand ils étaient petits.
Mais qui, comme vous le soulignez, veux nous dépouiller de notre patrimoine musical ? Qui a intérêt à baigner les enfants dès leur plus jeune âge dans cette sordide mer sonore, les éloigner du beau ? On peut dire la même chose d’ailleurs pour ce qui concerne le domaine visuel et le goût !
Merci de votre soutien !
Je viens juste de rentrer pour en prendre connaissance.
Passer des troubadours à J.S Bach est quelque peu réducteur.
Oui, mais ce n’est pas ici le lieu d’expliquer davantage !
Merci pour ce très bon article.
Article interessant de mgr Williamson sur la musique.
https://stmarcelinitiative.com/beethovens-quarter-millennium/?lang=fr
Merci !
Et il y en encore d’autres sur le site tout aussi intéressants :
Il eut été judicieux de nous faire entendre quelques extraits.