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Avec Amélie Oudéa-Castéra  nous faisons les fonds de tiroirs !

Non qu’il faille espérer quelque amélioration du système éducatif émanant de quelque ministre de l’éducation que ce soit dans la mesure où l’état catastrophique de l’Ecole de nos enfants est le résultat d’un processus de destruction de l’instruction scolaire arrivé à son terme et qu’ainsi, que ce soit Oudéa-Castéra ou une autre potiche, le ministre n’est là que pour gérer le bourbier et nous laisser croire, à travers discours et mascarades, que tout est fait pour restaurer le système !

En réalité, il faut bien se mettre dans la tête que rien ne s’améliora pour l’Ecole de nos enfants : d’ailleurs, beaucoup de professeurs l’ont bien compris et pour cause !

Ils ont déjà quitté ce vieux rafiot tout rouillé en train de couler, et ils ne reviendront jamais, écœurés par l’effondrement du système et l’incapacité  pour eux, de dispenser un enseignement qui corresponde à leur formation et à leur rôle : il ne leur est plus demandé que d’être des « accompagnateurs de projets » sans consistance, d’exercer un métier qui n’est plus le leur et qui ne correspond absolument pas à une institution préparant nos jeunes à  tenir leur place dans la société par leur savoir et leur compétences.

Ces professeurs sont de plus en plus remplacés (quand ils le sont) par des assistants d’éducation sans formation, sans diplômes, mais tout à fait adaptés à cette métamorphose de l’institution scolaire en lieu de vie et d’endoctrinement aux valeurs dites de la république où il n’est plus question d’enseigner les lettres, l’histoire, la géographie…et tutti quanti…tout cela, c’est bel et bien fini !

Mensonges et faux semblants, outils de gouvernement

Et quand Macron nous parle d’uniformes, il faut savoir que cette pratique a déjà cours depuis longtemps dans les internats d’excellence réservés aux élèves issus de l’immigration.

En ce qui concerne les « cérémonies de remise de diplômes », c’est la même chose et elles vont s’ajouter dans les « cités de haute qualité éducative » où sont scolarisés, en collège, environ  350 000 élèves, également issus de l’immigration (étant bien précisé « sans mixité sociale » !

Car Macron « oublie » tout simplement de dire que deux systèmes éducatifs parallèles fonctionnent depuis des années : un pour nos enfants, basé sur la disparition des cours, le remplacement par des activités et l’endoctrinement aux valeurs dites de la république et une école d’excellence réservée à plus d’un million d’élèves issus de l’immigration.

Il se garde bien de faire ces précisions et, comme le dit très justement le sociologue, Michel Maffesoli, comme ceux qui nous gouvernent sont déconnectés de ce que les Français attendent, ils font du théâtre !

En d’autres termes, ils nous mentent !

Et quand les syndicats pressent Mme Oudéa-Castéra de démissionner  au prétexte qu’elle aurait menti sur les raisons qui l’ont amené à choisir l’enseignement privé – et par n’importe lequel – c’est à hurler de rire, pour ne pas avoir à en pleurer !

Il mentent tous ! Ils ne font que cela !  y compris les syndicats qui n’ont pas levé le petit doigt lors de la mascarade du Covid qui a soumis professeurs et élèves à des conditions de vie inacceptables !

En réalité, si l’on devait démissionner les menteurs qui nous gouvernent, il faudrait liquider tout le gouvernement : cela pourrait être une bonne idée, mais nous n’en avons hélas ! pas les moyens.

Le « bon scolaire » s’impose !

Il faut placer le fond du problème ailleurs : qu’Amélie Oudéa-Castéra – A.O.C. pour les intimes (Appellation d’Origine Contrôlée – Young leader depuis 2018) scolarise ses enfants dans le privé n’est pas choquant en soi, au nom de la liberté scolaire.

Mais le cas Oudéa-Castéra « tombe à pic » pour pointer du doigt le fait que ceux qui sont responsables de l’indigence du système éducatif infligé à nos enfants en épargnent les leurs, alors qu’au contraire ils devraient être sanctionnés pour haute trahison, dans la mesure où ils pratiquent par surcroit la discrimination positive au bénéfice des populations immigrées.

Elle est où ? l’égalité républicaine dont ceux qui nous gouvernent nous rebattent les oreilles pour nous faire avaler les aberrations qui accompagnent « égalité des sexes » et « égalité des peuples » ?

Il est plus qu’urgent que le « bon scolaire » soit attribué pour chaque enfant afin que les parents puissent scolariser leur progéniture dans l’établissement de leur choix et qu’ils ne soient pas bridés comme ils le sont aujourd’hui, par le manque de moyens financiers alors que ce sont eux, précisément, qui financent, par leurs impôts, la politique éducative qui détruit leurs enfants et au bout du compte, qui détruit la France !

Ce « bon scolaire » s’impose de plein droit : c’est cela qu’il faut EXIGER, c’est de cela que les syndicats devraient se préoccuper pour l’avenir de nos enfants et celui de la France !

Nous pouvons hélas ! supputer que ce soit beaucoup leur demander !

Claude MEUNIER-BERTHELOT, diplômée en droit de l’université Panthéan-Assas, auteur d’une dizaine d’ouvrages (1) à son actif, tous sont consacrés à l’Education nationale et au système éducatif français.

(1) C’est l’identité française qu’on assassine » Editions Livres en Famille 15.00 € /   « Cette révolution scolaire qui tue la France » Librairie Française 11.50 €

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Alissia
Alissia
il y a 8 années

Vieille folle ! Peuple allemand, réveille toi !

pamino
pamino
il y a 8 années

‹ « la femme politique la plus dangereuse en Europe», la chancelière allemande Angela Mekel. ›
Après un premier décryptage : ‹ tene Mekel ›. Mais il n’est pas facile de décrypter un oracle.

pamino
pamino
il y a 8 années

[4] ‹ Littéralement « Saluons Dieu » (bonjour), très usité en Autriche et en Allemagne du Sud. ›
Très usité, oui, mais l’analyse de la forme et en conséquence sa traduction sont erronées, car il s’agit d’une apocopation de l’‹e› finale du présent du subjonctif à la 3e personne au singulier ‹ grüße dich/euch Gott ! › ‘que Dieu te/vous salue [sc. au Ciel à ta/votre mort] !’ : Dieu n’est pas l’objet mais le sujet du verbe, lequel n’est pas impératif mais optatif. La forme familière de l’expression est ‹griaß di!› oder ‹griaß di Gott!› (sg.) / ‹griaß eich!› oder ‹griaß eich Gott!› (pl.); la forme polie est ‹grüß Gott!› en omettant le pronom à l’accusatif. Il y a aussi une variante superpolie, p. ex. ‹griaß Gott Hean Pfarrer!› ‘que Dieu salue M. le curé[ à sa mort]!’, ou ‹Herrn› se trouve forcément à l’accusatif. On ne dit pas ‹grüß Gott!› à des personnes qu’on tutoie (voir en haut). Par contre, on entend au téléphone : ‘Ici l’abattoir municipal, grüß Gott!’
Il en est de même avec les formules pour prendre congé :
Pfiat di Gott! / Pfiat Di! (Behüte dich [Gott]! ‘que Dieu (te) préserve !’
Pfiat-t-eich Gott! / Pfiat-t-eich! (Behüte euch [Gott]! ‘que Dieu vous préserve !’, vrai pluriel)
Pfia Gott! (Behüte Gott ‘que Dieu préserve!’, forme polie sg./pl.)
Pour compléter : je connaissais dans un village bavarois très catholique une vieille Prussienne, naturellement de la persuasion du Dr Martinus mais plus chrétienne que lui, que Dieu ait son âme, qui s’efforçait de répondre aux ‹Griaß Gott!› de l’un ou l’autre de ses voisins avec *‹Grüße Sie Gott!›, laquelle forme hyperpolie (‘que Dieu Les salue !’), vu les circonstances un peu particulières, ceux-ci ont tolérée ; je ne l’ai jamais entendue ni vue ailleurs.

Hildegard
Hildegard
il y a 8 années
Répondre  pamino

Mille mercis pour cette explication érudit !

Claire
Claire
il y a 8 années

Markel , elle fait partie de l’élite globalisée , DONC elle désire cette invasion .

François
François
il y a 8 années

La Turquie ne peut pas être prête à intégrer l’Union européenne, pour la bonne raison qu’elle n’a jamais fait partie de l’Europe, ni par sa géographie, ni par son histoire, ni par sa religion, ni par sa civilisation. En revanche elle occupe toujours un territoire européen qu’il lui faudra rendre et qui s’appelle la Thrace orientale.

Cette partie annexée par la Turquie, appelée la Thrace orientale, ne constitue que 3% du territoire que revendique la Turquie. C’est-à-dire que 97% de son territoire est asiatique.

Si Union européenne, veut bien dire union européenne, la Turquie n’a aucune place en Europe, ni aujourd’hui ni jamais.

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