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Virus corona et virus racial, deux faces d’une même médaille 

Traduction: Les ANTIFA scandent :
“George Soros, où est mon argent?”
Peut-on encore douter que ces gens soient payés par lui ?
Un virus peut en chasser ou en cacher un autre. 
L’opération Covid-19 commençait à s’effilocher de partout.
Les mesures de santé publique étaient critiquées comme trop pénibles et injustifiées.
De nombreux chercheurs, médecins et même des responsables de la santé publique dénonçaient une fausse pandémie, guère plus létale que la grippe saisonnière et en tout cas sans rapport avec les restrictions imposées, renforçant le sentiment d’une manipulation politique.
La mayonnaise Covid ne prenait plus. Il fallait vite trouver autre chose, avec les élections américaines qui approchaient à grand pas. 
 
George Soros n’avait-il pas dit en janvier à Davos que nous vivions des “temps de révolution  et de profonde transformation” et qu’il était désormais plus facile “d’influer sur les événements que de les prédire” ?
 
Une bavure policière providentielle, ou sciemment orchestrée comme le suggère cette vidéo, fut le détonateur d’émeutes, incendies, pillage et actes de violence, partout en Amérique et ailleurs dans le monde.
Les manifestations quotidiennes contre la “haine raciale” vite prirent le pas sur les anciennes protestations contre le confinement du Covid.
Des mouvements massifs de rue où des dizaines de milliers de gens s’entassaient les uns contre les autres, se sont tenues pendant deux semaines consécutives, là où hier encore des sanctions allant jusqu’à l’emprisonnement auraient été imposées pour des regroupements d’une dizaine de personnes.
 
CNN, dont tous les programmes sans exception étaient, ces trois derniers mois, dédiés au comptage alarmiste des morts du Covid, a fait défiler ses experts pour raconter sans se démonter que ces manifestations, loin d’être une entorse à la réglementation sanitaire, s’inscrivaient en fait dans le cadre de la lutte anti-Covid, car permettant de corriger les disparités raciales que le confinement avait creusées,  notamment au sein de l’univers carcéral. Elles étaient donc une “mesure de santé publique” au même titre que le confinement.
 
Le 2 juin, le magazine Slate  publia un manifeste de soutien aux manifestations de masse, qu’il décrivit comme “une tentative de régler l’énorme problème sanitaireque constituait le racisme”. Un lien dans l’article conduisait vers une lettre ouverte, signée par 1.288 professionnels de la santé publique, d’experts en maladies infectieuses et de « parties prenantes communautaires”, qui affirmait avec aplomb que « la suprématie blanche” était un facteur de mortalité antérieur au Covid-19 et qu’elle y contribuait”,
Les signataires se refusaient à condamner les manifestations en cours comme facteur aggravant de la transmission du coronavirus.
Ils demandaient même de ne pas les disperser sous prétexte de restrictions liées au Covid.
Quant au Dr Anthony Fauci, visage de la réponse publique à l’épidémie de coronavirus aux États-Unis, il s’était refusé à condamner la violation des règles de confinement résultant des protestations et émeutes, en répondant avec fourberie à côté de la question posée.
 
La plandémie avait visiblement fait son temps. Elle s’était du jour au lendemain métamorphosée en épidémie raciale. Pour plus de plausibilité, on avait même réussi à dénicher une sorte de lien entre le virus et le “suprémacisme blanc”, entre les opérations #1 et #2.
Le passage d’une opération à l’autre s’était fait comme au théâtre, où l’alternance des tableaux permet de changer de scène.
Couvrir une opération par une autre est courant dans le domaine des opérations secrètes.  Les fausses attaques du 11 septembre 2001 ont permis par exemple de justifier l’invasion de l’Irak au nom de la “guerre contre la terreur”. En retour, le terrorisme généré par cette guerre a bétonné le faux récit du 11 septembre.
Il existe différentes variations sur le thème central d’une opération qui en couvre une autre. Parfois, la deuxième opération est mise en place pour justifier ou expliquer la première. Parfois, elle l’étouffe tout simplement.
Quoi qu’il en soit, les opérations de couverture fonctionnent. Elles sont utilisées. Elles interpellent, suscitent la peur, détournent l’attention d’une opération qui s’essouffle ou qui est sur le point d’être dévoilée.
 
Cela fait longtemps que Soros finance l’anarchie aux États-Unis au moyen de 187 de ses ONGs,  qui font un travail de sape systématique de la société américaine, au moyen de l’immigration incontrôlée, de l’amnistie pour les étrangers en situation irrégulière, du vote des détenus, de l’encouragement au communautarisme… Pour ne rien dire d’ANTIFA que Soros contrôle aussi et déploie sporadiquement, comme lors de l’élection présidentielle de 2016, puis trois mois plus tard, au moment de l’investiture de Donald Trump. 
ANTIFA est une organisation terroriste qui paie une racaille appâtée par l’argent facile, la fait venir en bus dans les villes de tout le pays et l’arme de bâtons, de cocktails Molotov et de briques avec ordre de saccager. Elle verse à ses membres des primes quand ils incendient des bâtiments ou quand ils amènent de nouvelles recrues.
Certains ont admis sur vidéo travailler pour les groupes de George Soros et être payés pour détruire et recruter, comme dans le cas de ce mercenaire  qui explique la marche à suivre.
Bien évidemment, Soros et sa fondation ont nié payer pour organiser le chaos, professant rejeter la violence. Le problème est que Politifact est, elle aussi, financée par Soros.
 
Comme Soros l’a reconnu lui-même, l’élection de Trump puis ses succès dans le redressement de l’économie américaine, ont déjoué ses plans. Mais cette fois-ci, il croyait que son heure avait sonné.
L’économie, a-t-il dit, est le plus grand atout de Donald Trump, mais elle est aussi son talon d’Achille. C’est là qu’il conviendra de le piquer pour l’empêcher de “rendre à l’Amérique sa grandeur passée”, selon son slogan de campagne : “Make America Great Again”, ou MAGA.  
 
S’exprimant à Davos le 23 janvier dernier, c’est-à-dire trois semaines après l’apparition de l’épidémie de Wuhan mais avant son surclassement en pandémie par l’OMS, ce qui n’est pas anodin, Soros a déclaré:
“Nous vivons un moment de transformation historique. La survie des sociétés ouvertes est menacée. 
 Dans les temps de révolution, l’éventail des possibilités est bien plus large qu’en temps normal. Il devient plus facile d’influencer les événements que de comprendre ce qui se passe.
Les plus grandes puissances, les États-Unis, la Chine et la Russie, sont restées aux mains de dictateurs ou de dictateurs en puissance. Le nationalisme, loin d’être freiné, a continué à progresser.
L’équipe économique de Trump a réussi à chauffer à bloc une économie déjà florissante. La bourse, qui célèbre déjà les succès militaires de Trump, grimpe pour atteindre de nouveaux sommets. Mais une économie surchauffée ne peut être maintenue en ébullition trop longtemps.
Si tout cela s’était produit à l’approche des élections, sa réélection aurait été assurée. Mais son problème est que les élections ne sont que dans 10 mois et que dans une situation révolutionnaire, 10 mois c’est toute une vie. Il y a tellement de révoltes dans le monde qu’il serait trop long d’examiner chaque cas individuellement. Compte tenu des troubles mondiaux, il n’est pas exagéré de dire que 2020 et les prochaines années détermineront non seulement le sort de Xi et Trump, mais aussi celui du monde”.
 
Soros a dans les géants du tech, Google, Facebook, Twitter, YouTube, Vimeo, Apple, Wikipedia, des alliés naturels car du même bord idéologique, dans leur soutien professé pour une “société ouverte”, multiculturelle et cosmopolite, propice au commerce transfrontières des milliardaires de gauche, avec un saupoudrage d’humanitarisme et de droits-de-l’hommisme pour mieux camoufler leurs desseins prédateurs. Ils ont aussi tous en commun une même détestation du nationalisme et du “populisme” incarnés par Trump, qui est donc leur bête noire.
Le PDG de Twitter, Jack Dorsey, censure ouvertement ceux qui veulent faire respecter l’ordre public aux États-Unis. Sur le compte officiel de Twitter, Dorsey a rempli l’en-tête avec #BlackLivesMatter et a continué à célébrer leur activisme, alors même qu’ils menaçaient la sécurité et la propriété individuelles, vandalisaient les monuments publics et incendiaient des bâtiments. Twitter s’est même récemment mêlé de censurer le Président des Etats-Unis, allant jusqu’à supprimer ses tweets qui appelaient au respect de la loi pendant les émeutes raciales.
 
Face à la multiplication des actes de vandalisme, le Président a placé ANTIFA sur la liste des organisations terroristes, chose qui avait excité encore plus les casseurs amenés par bus entiers depuis d’autres Etats pour semer le chaos. Une police militarisée avait alors été déployée aux abords de la Maison Blanche, bunkerisée depuis vendredi dernier pour résister aux assaults des émeutiers. Trump parla de déployer la Garde nationale, comme l’y autorisait l’ “Insurrection Act”, si les Gouverneurs des États à majorité démocrate ne faisaient pas leur travail et ne se décidaient à renforcer leurs effectifs de police pour défendre la sécurité et l’ordre public. Les Démocrates hurlèrent à la dictature militaire. Même les libertaires comme John Whitehead, avocat défenseur des libertés civiles et des droits de l’homme, mirent en garde contre le danger de dérives militaristes anticonstitutionnelles.
Trump n’est toutefois pas tombé dans le piège tendu la gauche, qui multipliait les provocations pour l’acculer à faire tirer sur les émeutiers par la Garde nationale, ce qui lui aurait valu d’être appelé un tyran sanguinaire. Il a réussi à obtenir des Gouverneurs qu’ils montent au créneau pour sécuriser leurs Etats avant que la situation ne dégénère.
Le maire démocrate de New York, Bill de Blasio, continuait à nier tout problème alors même que la racaille pillait et saccageait les commerces de Manhattan et menaçait de mettre le feu au quartier des diamantaires s’il n’était pas fait droit à ses revendications de démanteler la police de l’Etat de New York, la NYPD . 
Mais de Blasio finit par obéir aux injonctions de Mario Cuomo, Gouverneur de l’Etat de New York, qui l’avertit qu’à défaut,  il allait le faire muter et remplacer dans ses fonctions de maire par la Garde nationale. De Blasio se décida finalement à renforcer la protection policière de la métropole où les gens restaient tapis chez eux, trop apeurés pour se rendre au travail. Avait-il été secoué en voyant la police lui ramener sa fille Chiara, arrêtée au cours des protestations, et en découvrant qu’elle était une ANTIFA?
L’ampleur des marches de protestation qui continuent de sillonner le pays de part en part, quoiqu’avec plus de calme, ne doit surtout pas faire croire que les Noirs dans leur ensemble sont tous dupes de la manipulation.  
Candace Owens est l’une des nombreuses voix issues de la communauté afro-américaine à dénoncer la récupération des Noirs par la gauche radicale qui, pour elle, est l’ennemi numéro 1. Elle a déclaré haut et fort qu’elle ne soutenait pas George Floyd, qu’elle décrit comme un criminel récidiviste ayant commis quantité d’attentats violents, comme de menacer une femme enceinte en braquant sur elle son pistolet. Floyd avait écopé de cinq ans de prison for pour ce cambriolage à main armée.
Pourtant, dit-elle, les médias à la solde ne disent rien de négatif sur George Floyd, car il devait être transformé en héros culturel pour légitimer les émeutes de masse qui se sont déroulées dans tout le pays. La presse dissimule notamment le fait que Floyd était sous l’emprise de deux drogues différentes (dont le fentanyl) au moment de son arrestation, ce qui devrait au moins susciter quelques interrogations.
Tout en expliquant qu’elle n’excuse en aucune façon les actions des agents qui ont arrêté George Floyd, Candace Owens déclare ne pas non plus être solidaire de sa communauté qui fait de ses plus vils criminels des héros, par le biais de mensonges et de propagande médiatiques. Aucune autre communauté ethnique ne le fait, dit-elle, et cette pratique doit cesser.
L’Amérique noire a beaucoup de vrais héros qui sont des gens honnêtes, travailleurs et respectueux de la loi. Pourquoi, se demande-t-elle, ne pas les honorer au lieu de glorifier la lie de l’humanité ?
Owens ajoute qu’elle s’est retenue pendant plusieurs jour de diffuser une vidéo, qui peut être visionnée ici,  en raison de la forte charge émotionnelle générée par le meurtre de George Floyd et les émeutes qui ont suivi.
Un graphique retweeté par elle démontre le poids réel de la vie des Noirs, du “black lives matter”. Le sujet est médiatisé tous les quatre ans et ses deux pics ont coïncidé avec 2016 et 2020, deux années d’élection présidentielle. Elle avoue être mystifiée de voir ses congénères tomber chaque fois si facilement dans le panneau. 

Tous les Afro-Américains ne sont cependant pas aveuglés, comme l’indique ce tweet d’un certain J. McCant:
“Je refuse de ne m’intéresser à la mort des Noirs que lorsque les médias me le demandent. Je crois que ce genre de chose arrive presque tous les jours à quelqu’un, quelle que soit sa race, quelque part en Amérique. Les médias choisissent de le dénoncer quand ça leur chante. Je ne vais pas me laisser berner.”
 
Un autre, de DarqFry, tente d’alerter ses frères :
“Réveillez-vous, vous n’avez rien compris ! Le Président se fiche de votre couleur de peau, c’est aux  mondialistes qu’il en veut, au NOM!” 
 
Pour Owens, ce qui se passe n’est rien d’autre qu’une manoeuvre de l’Etat profond qui prend les Noirs en otage pour imposer son agenda mortifère de gouvernement mondial.
“Oubliez l’hydroxychloroquine ou les vaccins de Bill Gates, s’exclame-t-elle. Apparemment, le SEUL remède au coronavirus est une guerre raciale fabriquée par les médias !”

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