Comme pour d’autres faits du même genre, ce viol collectif commis notamment par des « réfugiés » a mis longtemps avant d’être porté à la connaissance de l’opinion publique.
Les faits datent de novembre 2015 et se déroulent à Ostende. Une jeune fille de 17 ans a été sauvagement violée par plusieurs individus. Et ils sont fiers de leur acte !
Lors de leur audition, l’un d’eux déclare que la victime « n’a pas à se plaindre », car « les femmes doivent obéir aux hommes ».
Les violeurs ont été retrouvés de façon inattendue. Cela commence avec un professeur de l’institut technique d’Ostende qui a averti la police qu’un élève s’était fait remarquer avec une photo de lui en treillis militaire et portant une mitraillette. Lors de l’enquête, les autorités ont découvert une vidéo sordide sur son téléphone portable: accompagné de six autres garçons, on le voit violer une fille apparemment inconsciente.
Les auteurs de ce viol collectif rient, dansent et chantent en arabe.
Parmi les auteurs de faits, deux jeunes ont officiellement la nationalité belge. Cinq autres sont Irakiens, et au moins d’eux d’entre eux sont en demande d’asile. Ils ont entre 14 et 25 ans. Seul le plus âgé nie le viol, tandis que les six autres reconnaissent qu’ils ont tous eu des rapports sexuels avec la jeune fille.
Lors de leur interrogatoire, certains considéraient qu’un viol collectif était une chose tout à fait normale.
Johan Vande Lanotte, le bourgmestre socialiste de la ville d’Ostende, a immédiatement demandé d’éviter les amalgames…
Et la séquence du journal télévisé montre comment on insiste lourdement sur la présence de Belges (sans préciser leur véritable origine) parmi les violeurs.
Ostende: une fille de 17 abs aurait été abusée par des réfugiés irakiens en novembre
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