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Vincent Peillon et Aurélie Filipetti parmi les rédacteurs du livre de la Licra destiné à l’Education nationale

On est passé du Racisme expliqué à ma fille de T. Benjelloun à un livre de la Licra vendu 10€, payé par vos impôts car il va bien entendu inonder les CDI et biblios de toute la France.

Le boulot a été confié à Antoine Spire, vice-président de la Licra et à Mano Siri, présidente de la Commission Culture de la Licra. Comme ça, on est tranquille.

La liste des contributeurs finit d’assurer l’orientation : Aït-Mohamed Salima, militante de la Licra, Daniel Farhi, ancien rabbin, Aurélie Filipetti, ministre de la Culture, Vincent Peillon, ancien ministre de l’Education Nationale, Elisabeth Ronzier, vice-présidente de SOS Homophobies, Louis-Georges Tin, président du CRAN,…

Le pdf est offert gracieusement à tous les enseignants, qui seront chargés de répandre la bonne parole.

Présentation : Depuis des années les militants de la Licra interviennent dans les établissements scolaires de toute la France dans le cadre de l’éducation à la citoyenneté. À raison de 800 à 900 classes par an et plus de 20 000 élèves rencontrés chaque année, ils sont confrontés tous les jours aux approximations, aux déformations, voire aux manipulations. De même, lors des débats publics, lors de nos Universités d’Automne au Havre ou à l’occasion des rencontres que nous organisons, nous sommes confrontés à la difficulté de mal nommer les choses. C’est pour aider à clarifier les échanges et les idées, que nous avons souhaité produire un tel ouvrage. D’Amour et Antiracisme à Vérité et Vie, les 100 mots de ce petit dictionnaire visent par de brèves définitions à aider jeunes et moins jeunes à ajuster leur vocabulaire au monde contemporain. Trop souvent des mots sont lancés sans que celui qui les prononce n’en maîtrise toujours les tenants et les aboutissants ; les mots qui composent ce petit dictionnaire sont ceux qui désignent religions et ethnies, violence et différence mais aussi identités et combats antiracistes.

Les définitions sont l’œuvre d’une trentaine d’auteurs parmi lesquels Vincent Peillon et Aurélie Filipetti ministres de la République mais aussi certains de nos plus grands intellectuels : Henri Atlan ou Boris Cyrulnik, Mireille Delmas-Marty ou Jacqueline Costa-Lascoux. Ils ont tous tenu à forger ce petit outil conçu dans l’esprit de la réflexion d’Albert Camus : mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde. Ce livre a été conçu par un collectif de militants de la Licra sous la responsabilité d’Antoine Spire et Mano Siri avec la collaboration de Salima Aït-Mohamed. Qu’ils en soient tous remerciés. (sic!)

On remarquera au passage que la bonne parole de la Licra transgresse totalement la thématique du racisme ou de l’antisémitisme; au fil des articles on notera une propagande éhontée par exemple pour la théorie du genre et “l’orientation sexuelle” considérées comme “allant de soi”…

Article “homme / Femme” p 75:

“Il n’y a pas de déterminisme génétique, parce qu’on est homme, à la violence, au goût pour le combat et à la domination, pas plus qu’il y en aurait un à la douceur et à la soumission parce qu’on est, physiquement parlant, femme. Cela ne relève pas de l’hérédité biologique. Le genre d’homme ou de femme que nous devenons est à la fois une forme de choix– nous nous construisons nous-mêmes de par ce que nous pensons, décidons, et faisons – et l’acceptation plus ou moins consciente d’un héritage et d’un déterminisme culturel. ’un héritage et d’un déterminisme culturel.” (sic!)

Article “Homosexualité” p 77:

L’homosexualité est une orientation sexuelle et consiste à être attiré sentimentalement et sexuellement par une personne du même sexe que soi. L’homosexualité concerne autant les hommes, gays, que les femmes, lesbiennes. Si l’orientation sexuelle d’une personne peut varier au cours de son existence, en fonction des évènements de la vie, elle n’est pas un choix. On ne choisit pas d’être homosexuel, de la même manière que l’on ne choisit pas d’être hétérosexuel. En revanche, en fonction d’un environnement plus ou moins tolérant, plus ou moins acceptant, une personne homosexuelle peut choisir de vivre son orientation sexuelle ou au contraire se forcer à la cacher ou même à la nier. (sic!)

Article “sexualité” p 136

La sexualité est mue par le désir que l’on éprouve pour l’autre, quel qu’il soit : elle peut supposer l’amour mais pas nécessairement. Elle n’a plus pour finalité immédiate la reproduction humaine même si elle peut y conduire quand l’acte sexuel a lieu entre un homme et une femme. En général la sexualité comble un manque et participe de l’équilibre et du bonheur de l’être humain. Evidemment des hommes et des femmes peuvent vivre sans activité sexuelle par contrainte ou par choix et certains tentent de sublimer leur désir dans d’autres activités symboliques ou physiques. Il n’y a pas de sexualité naturelle ni contre-nature. (sic!)

Bien entendu, on peut aussi y trouver une attaque en règle du christianisme, notamment, et surtout de l’Eglise !

Article “Bible” p. 28

Les chrétiens ont eu longtemps l’habitude de parler du nouveau testament à propos des évangiles, de l’apocalypse et des épîtres de Paul. C’était laisser croire qu’une nouvelle alliance se serait substituée à l’ancienne (ce fut la théologie catholique pendant des siècles, abandonnée à Vatican II) alors que la Bible est un tout dont les lectures sont plurielles. (sic!) Encore une thématique douteuse qui “interprête” selon ses vœux les textes de Vatican II qui n’ont jamais remis en cause la Nouvelle Alliance!

Les article du “prêtre” Lefort valent le détour !

Article “Incroyants” p. 83

Le phénomène de l’incroyance, né en Europe au XVIe siècle en même temps que le protestantisme, conteste le magistère de l’Église après le règne meurtrier des Borgia. Les abus de l’Église sont pour beaucoup dans la naissance es abus de l’Église sont pour beaucoup dans la naissance de l’incroyance. Comment adhérer à l’idée d’un Dieu bon et tout-puissant quand ceux qui le représentent sur terre sont des criminels comme les papes de la Renaissance ? (sic!)

Article “chrétiens et christianisme” p. 29 (Cet article se présente sous la forme de la vision uniquement talmudique de l’existence de Jésus. On se demande d’ailleurs bien la raison d’un article portant uniquement sur l’existence de Jésus dans cette thématique vouée à l’antiracisme! )

Ce qu’on y lit, proprement scandaleux, reprend mot à mot la thématique éculée du talmud soulignant bien sûr, contrairement à ce qui est spécifié dans les Evangiles (notamment la Passion selon St Matthieu, à savoir que Jésus a été arrêté par les milices des prêtres et traduit devant le tribunal juif… et que les Romains s’en sont lavé les mains laissant les juifs régler leurs problèmes juridico-théologiques entre eux) que ce sont les Romains qui ont arrêté et fait exécuter Jésus… Argumentation fallacieuse qui contredit en outre formellement les fameux versets censurés du talmud où “ils” se flattent d’avoir “pendu Jésus” le veille de la Pâques, notamment les fameux Sanhédrin 43 a et 67 a!

Il y a deux mille ans, un juif, nommé Yeshua beni Youssef beni Myriam que nous appelons aujourd’hui Jésus, a parcouru le royaume de Judée et les villes étrangères du nord en prêchant l’amour, la paix et la fraternité, et en critiquant la loi juive. Originaire de Nazareth, il a principalement vécu sa vie publique au bord du lac de Tibériade se glissant dans la peau d’un prophète juif. Les foules l’admiraient en raison des miracles et des guérisons qu’on lui attribuait. Mais le fait qu’il remette en cause certains aspects de la pratique rituelle, et qu’il parle au nom de Dieu comme s’il était Dieu, lui ont valu une forte inimitié de la part des autorités religieuses. Cela explique pourquoi il a été mis à mort à Jérusalem lors de la Pâques juive par les occupants romains qui le considéraient comme un dangereux agitateur. La surprise, c’est que quelques jours après ses amis, que l’on appelle aussi ses disciples, ont tout abandonné pour parcourir le monde en proclamant, au risque d’être eux-mêmes exécutés: « Nous l’avons vu, il est vivant ! » (Resic!)

Ce qui est aussi honteux que “subtil”, c’est que pour donner plus de “force” à leurs arguments (qui serviront à “évangéliser” plus de 20000 élèves formatés à la catéchèse feuj) tous les articles “religieux” sont signés du nom d’un prêtre (?) catholique – fort oublié aujourd’hui heureusement – pédophile notoire qui sort de 8 ans de prison pour – lors de ses missions dites humanitaires, il est aussi médecin – avoir “osculter” des petits sénégalais très au delà de la pratique diagnostique habituelle… http://www.jeuneafrique.com/Article/LIN19065lhommsemmoh0/ http://www.la-croix.com/Actualite/France/Huit-ans-de-prison-pour-le-P.-Lefort-_NG_-2005-06-27-589349

Article “Croyants” p. 38

Le croyant est celui qui dit : « je crois. » Aucune religion religion ne devrait dire : « Je suis sûr ! » Le doute est nécessaire à toute foi adulte. Tout le monde, même les agnostiques, même les athées croit en quelque chose qui ne peut pas être vérifié par la science ou les faits. Si le croyant peut dire : « Je crois », c’est parce que des personnes auxquelles il fait confiance lui ont parlé de révélations divines, invérifiables certes, mais qui correspondent profondément avec ce qu’il vit, avec ce qu’il éprouve lui-même « Dieu, personne ne l’a jamais vu », nous dit la Bible. Même Moïse ne voit passer qu’un nuage de lumière qu’il assimile à la gloire de Dieu. Mais ce que le croyant croit voir, ce sont les traces de Dieu : La Nature, la Beauté, l’Esthétique, la Justice et l’Amour. Si plusieurs croyants professent les mêmes affirmations alors se forme une religion, mais la religion n’est pas la foi, car la foi est personnelle et différente pour chaque individu. Celui qui par opportunisme s’attache à une religion sans avoir une foi personnelle est dans l’imposture. Avant l’avènement du christianisme il y avait des centaines, voire des milliers de religions et c’était le signe d’une appartenance à un groupe, à un peuple, à une nation. Aujourd’hui, il n’y a plus que deux religions : celle de ceux qui cherchent et celle de ceux qui croient savoir ; ces derniers sont dangereux, car, souvent, ils veulent imposer leur croyance.

Quelle profession de foi pour un prêtre!!! Curieusement, ni suspendu, ni réduit à l’état laïc, Le “père” François Lefort sévit encore comme curé de la paroisse de Saint-Pal-en-Chalencon (Haute Loire) où il s’emploie à une illusoire demande en réhabilitation! C’est un manipulateur et un illusionniste, selon Laurent Bécaria, directeur des Editions des Arènes, qui n’a pas hésité à écrire: « Le mensonge est au père Lefort, ce que l’essence est à la voiture ». On peut s’étonner que cet individu au passé aussi lourd puisse être considéré comme un modèle et un théologien de premier ordre… Mais il est vrai que certains versets jamais contestés par les talmudistes sont pour le moins “équivoques” concernant la pédophilie… Ceci peut expliquer cela…

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