L’inclusion : ce maître-mot de la dictature arc-en-ciel fait son entrée à l’actuel synode sur la jeunesse qui a lieu au Vatican.
Le cardinal-archevêque de Chicago, Mgr Blase Cupich, dont le nom apparaît en la mauvaise compagnie du cardinal McCarrick dans la première déclaration de Mgr Vigano, prévient : le Synode veut dire « quelque chose qui soit inclusif pour tous » en se pliant en cela aux desiderata des jeunes présents :
« Nous voulons nous assurer que l’on dise quelque chose qui soit inclusif pour tous. Que dira le document final aux homosexuels ? Je pense que l’entier document a quelque chose à dire à tous. »
Même axiome chez le cardinal John Ribat, archevêque de Port Moresby en Papouasie-Nouvelle Guinée :
« Que ce soit dans les cercles mineurs ou dans l’aula magna, on a parlé du fait de ne pas exclure, de donner la bienvenue à tous, de faire sentir tout le monde à son aise. Au milieu des difficultés dans lesquelles vivent les jeunes, l’Église doit être une maison et, comme telle, recevoir ».
Pour l’évêque Comensoli, de Melbourne, Australie, il faut accueillir les homosexuels car « ne sommes-nous pas tous pêcheurs ? A mes amis gay et lesbiennes je parle de l’amitié de Dieu et ensemble nous cherchons de comprendre comment avancer ».
Paroles ambiguës, comportement équivoque, de la part de ces prélats mondains : cette inclination à s’épancher sur le sort des invertis, de disserter sur un accueil qui se doit obligatoirement d’être bienveillant sans que jamais soit évoquée une contre-partie d’amendement de leur vie, participe à un dédouanement, voire une bénédiction, du style de vie des homosexuels.
Tous ces discours sulfureux laissent présager un document final plus qu’inclusif…
Francesca de Villasmundo
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