Ce sommet, qui se se terminera par un discours du pape, a été promu surtout par trois maires, ceux de Madrid, Barcelone et Paris, Manuela Carmena, Ada Colau et la socialiste française Anne Hidalgo, celle qui a autorisé un parc de nudiste ouvert en plein Paris et a nettement accru la puissance, par des aides et des subventions publiques, des lobbies Lgbt à Paris.
De nombreux maires, tous sur la même longueur d’ondes pro-immigration, de différents pays du Vieux continent ont donc fait le déplacement pour discuter de comment recevoir toujours plus d’immigrés irréguliers à la recherche d’un confort matériel et économique, abusivement appelés « réfugiés ». Bruxelles elle-même, par la voix du commissaire européen à l’immigration Dimitris Avramopoulos, a admis que « 80% des « réfugiés » arrivés en Italie par la Méditerranée sont des « irréguliers » qui n’ont absolument pas droit à l’asile politique.
Mais de tels constats laissent de marbre nos bien-pensants réunis sous l’égide du Vatican et avec la bénédiction du pape François. A cette réunion conformiste au possible, consensuelle à l’extrême, se sont retrouvés les maires de Lampedusa et de Lesbos, îles submergées par l’afflux de « migrants », ainsi que celui de Tripoli en Libye, ville de départ pour ces voyageurs sans billet de retour, et celui de Vintimille, ville frontalière avec la France, devenue ville occupée.
Les maires des grandes capitales et villes européennes étaient présents aussi, d’Allemagne, de Lettonie, d’Irlande, du Danemark, de France et autres contrées envahies, pour demander un accroissement de pouvoirs afin de pouvoir fournir plus d’aides sociales et du travail à ces nouveaux arrivants extra-communautaires. Des SDF qui peuplent leur ville, il n’en fut point question. Leur amour, leur compassion, leur larmes vont aux plus lointains, aux plus éloignés, à ceux qui n’ont aucunement droit au statut de concitoyens. Solidarité à échelle variable selon que vous serez européen ou non-européen !
Il fut bien entendu question « des inacceptables » propositions de la présidente du Front National qui a affirmé jeudi dernier vouloir mettre fin à la gratuité de la scolarité des enfants des clandestins et aux aides sociales. Tout le contraire de ce que propose cette bande de maires alignés sur la pensée unique mondialiste qui travaille à la submersion et la disparition des peuples européens.
C’est le tout nouveau maire de Rome, Virginia Raggi, du mouvement populiste M5S, qui a ouvert ce sommet dont le dessein est de légitimer cette invasion migratoire :
« Rome veut faire sa part dans l’accueil de ces personnes. Nous avons tous un devoir moral de solidarité envers nos frères et nos sœurs réfugiés. L’immigration est une ressource pour notre cité.» a-t-elle affirmé en reprenant ce slogan éculé qui n’est qu’une vision maléfique de l’esprit.
Elle a profité ensuite de l’occasion pour annoncer fièrement l’ouverture d’un nouveau centre d’accueil de « milliers » de places dans la capitale italienne pour ces irréguliers alors que les sans abris et les mal-logés autochtones sont légions ! D’ailleurs, cette semaine passée tout un quartier s’est opposé, fermement, au relogement d’une famille de marocains dans une habitation sociale confisquée à un Italien pauvre, sans travail, y habitant avec son frère handicapé et son fils au chômage. Comme excuse pour déloger ce Romain, les services sociaux ont expliqué que cet Italien s’y était installé de façon illégale ! Parce que les clandestins qui débarquent sont peut-être, eux, en situation régulière ! Cette situation ubuesque, aberrante, a provoqué ce scandaleux commentaire de madame Raggi lors de ce sommet au Vatican :
« Des attitudes de fermeture vers l’autre, comme celles auxquelles j’ai malheureusement assisté ces derniers jours dans ma ville, offensent notre dignité de personne. »
De quoi pleurer devant tant de mauvaise foi et de mépris pour les Italiens manifestés sous les ors des palais vaticanesques, devant un parterre d’ecclésiastiques et de maires confis d’admiration…
Tout fut du même acabit durant cette première journée de ce sommet pour les réfugiés décidé par le Vatican. La conclusion inévitable à ces sempiternels larmoiements en faveur des populations invasives fut ce cri de ralliement proféré par le maire de Lampedusa, Giusi Nicolini : notre continent est soit l’Europe de l’accueil et de la démocratie soit il n’est simplement pas l’Europe.
Si par Europe ces mufles entendent cet appareil dictatorial qu’est l’Union Européenne, ouverte comme une prostituée babylonienne à tous les envahisseurs, on leur donne volontiers raison. Ils n’ont semblent-ils, en revanche, pas compris que bien des Européens n’en veulent pas, ou plus, de cette Europe-là. Ce qu’ils veulent sauver c’est l’Europe des patries, des nations, sa civilisation gréco-latine, germaine et chrétienne, c’est leur culture propre et leur spécificité populaire au sein du continent européen, toute choses qui ne peuvent qu’être brisées et anéanties par le métissage mondial. C’est plus prosaïquement aussi, leur travail, leur famille, leur maison, leur sécurité et leur mode de vie qu’ils veulent préserver face à cette invasion migratoire éléphantesque.
Ce dont ils ne veulent pas, c’est du Grand Remplacement même si c’est le pape qui en fait la promotion !
Francesca de Villasmundo
Http://www.ilgiornale.it/news/politica/italia-nel-mirino-ue-irregolare-l80-dei-migranti-1340501.html
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