« Pape » du concept de réchauffement climatique, le dogme auquel l’humanité entière doit souscrire, il est intervenu, dans le cadre d’un colloque organisé au Vatican par l’Académie pontificale des Sciences le 15 novembre dernier, pour lancer « les dix commandements du changement climatique ».
Jeffrey Sachs, qui se définit lui-même comme « un leader global dans le développement durable », est selon le New York Times « probablement le plus important économiste du monde » et, dans la liste du Times, parmi les 100 leaders les plus influents. Pareillement Sachs est un partisan du contrôle de la population par l’avortement légal. Autorité au sein des Nations Unies, il est en totale symbiose avec la pensée écologiste bergoglienne et l’encyclique Laudato Si. Régulièrement il rend hommage au pape François pour son rôle en faveur des thèses réchauffistes.
Ce gourou de la pensée unique en matière de climat, qui a présenté les nouveaux dix commandements au sein des palais apostoliques, n’agit pas seul mais appartient à un vaste et puissant réseaux de pouvoir international qui exerce une pression très forte sur les nations. Avec l’aide de la justice, prête à condamner les gouvernements ou institutions climato-sceptiques. Avec l’aide de lobbyistes mondialistes comme Georges Soros. Les résultats sont déjà visibles : la guerre déclenchée simultanément et notamment dans les pays européens contre les moteurs diesel avec des restrictions de circulation et l’annonce de leur mise au ban dans la prochaine décennie en est un exemple éclatant. Même discours pour la consommation de viande : la criminalisation du beefsteak est déjà un fait.
L’adhésion par les hiérarques du Vatican à ce message catastrophique n’est cependant pas nouveau. En 2011, sous le pontificat de Benoît XVI, le Cardinal Peter Turkson, président du Conseil pontifical « Justice et Paix », publiait déjà un document intitulé : Vers une réforme des systèmes monétaires et financiers internationaux dans le cadre d’une autorité publique mondiale dans lequel le Vatican lançait un appel pour la création d’une autorité financière politique, environnementale et mondiale qui s’établirait en vertu de l’Organisation des Nations Unies.
Dans son encyclique Caritas in Veritate le pape Benoît XVI tenait un discours similaire en souhaitant la réalisation une « autorité politique mondiale » pour « gérer l’économie mondiale; relancer les économies touchées par la crise; prévenir toute détérioration de la crise actuelle et de plus grands déséquilibres ; réaliser le désarmement intégral, la sécurité alimentaire et la paix; assurer la protection de l’environnement et réglementer la migration » .
Le parti réchauffiste a trouvé un allié de poids en la Rome post-conciliaire et ce depuis de longues années. L’Église conciliaire, après avoir balayé la Tradition, sa doctrine millénaire, ses sacrements et les dogmes catholiques qui faisaient sa foi catholique, remplit le vide ainsi créé en embrassant pleinement les supercheries, voire superstitions, climatiques, et ses nouvelles tables de la loi. Voici venir le temps de la croyance climato-officielle universelle édifiée par des milieux occultes pour réaliser un gouvernement mondial centralisé avec la collaboration des papes conciliaires…
Francesca de Villasmundo
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