« Il s’agit de l’acte isolé d’une personne fragile. Nous regrettons que certains se soient emparés de ce fait divers pour en faire ce qu’il n’est pas. Aucune parole, aucun geste de menace n’a été proféré« , indique le diocèse dans le Figaro, ajoutant que les statues « se sont fracturées en tombant » et « ne représentent pas de valeur patrimoniale« .
Le guyanais à l’origine du vandalisme sera jugé le 24 février prochain.
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