Macron, Veran and Co, et leurs copains bruxellois, ne cessent d’expliquer aux pauvres réfractaires aux nouvelles thérapies géniques, toujours en phase expérimentale, mises en place par les laboratoires américains Pfizer et Moderna, qu’il faut, pour le bien de tous, que tous les Français se vaccinent. C’est un impératif altruiste qui au demeurant a déjà rapporté quelques 33 milliards de dollars au seul Pfizer.
Pourtant les mêmes, Union Européenne et gouvernement français, ne sont pas prêt à donner des subventions et leur accord pour la mise sur le marché du vaccin traditionnel à virus entier inactivé développé par une entreprise biotechnique nantaise Valneva, 100% française.
Valneva ne comprend pas son ostracisation du marché des vaccins contre le Covid. Valneva, qui met également au point des vaccins contre le chikungunya (en phase 3) et la maladie de Lyme (en phase 2), commercialise déjà deux vaccins « de voyage » – contre l’encéphalite japonaise et le choléra, rappelle Entreprendre. S’agissant du Covid, le vaccin de Valneva est en étude clinique de phase 3. Ce qui fait de l’entreprise la seule en Europe à avoir atteint ce stade pour un vaccin à virus entier inactivé.
Face à ce rejet de son produit, Valneva a trouvé un partenaire en la Grande-Bretagne. Le quotidien Le Républicain Lorrain rapporte que Londres finance les études cliniques, a déjà commandé 190 millions de doses et ouvert une usine en Ecosse où le vaccin sera produit.
« Valneva fait état d’une étude clinique de phase 3 au Royaume-Uni, souligne également Le Républicain Lorrain, portant sur plus de 4000 participants, et comparant l’efficacité de son produit à celui d’AstraZeneca. Les premiers résultats sont attendus d’ici à septembre 2021. Les résultats des phases 1 et 2 ont montré que son produit, dénommé VLA2001, a été bien toléré et qu’aucun problème de sécurité n’a été identifié. Sur le plan de l’efficacité, « dans le groupe vacciné avec la plus forte dose du vaccin, le taux de séroconversion des immoglobulines G était de 100% et les titres d’anticorps neutralisants à un niveau identique ou supérieur à ceux généralement constatés dans les sérums provenant de personnes convalescentes. »
Déplorable de ne pas laisser le temps à certains de choisir n vaccin français à proteine recombinante. #NonAuPassDeLaHonte #NousSommesDesMillions https://t.co/IqsrUiLp0k
— Gaël (@GaelLudwikowki) August 6, 2021
L’Union Européenne a motivé son refus, auquel se soumet la France macronienne :
« Lorsque les entreprises souhaitent que leurs vaccins soient intégrés à notre portefeuille de vaccins, un certain ensemble de conditions doit être respecté [comme] une protection solide dans les domaines de la sécurité de la responsabilité civile, une efficacité du vaccin mais aussi des règles et des dispositions solides ou encore la livraison des vaccins » a déclaré le porte-parole de la Commission européenne, en avril 2021. De tels arguments dans le contexte actuel de validation des thérapies innovantes de Pfizer et Moderna sur lesquelles il n’y a aucun recul mais de nombreux effets secondaires graves, sont positivement bidons. Que des membres de l’Union Européenne et du gouvernement Macron aient des intérêts financiers dans les gros laboratoires pourrait bien être une des véritables raisons de ces choix ‘vaccinaux’ dont bon nombre ne veulent pourtant pas.
Faut-il rappeler « le gros coup qui a permis [à Macron] de devenir millionnaire ? » pour reprendre un titre de 2017 du journal du showbiz Gala qui continuait ainsi :
« C’est un gros coup lorsqu’il était banquier d’affaire chez Rothschild, qui a propulsé Emmanuel Macron sur le devant de la scène, et qui l’a rendu millionnaire. De quoi mettre sa famille à l’abri et faire des travaux dans la maison du Touquet. (…) En fait, Emmanuel Macron se fera connaître avec un gros coup, le seul de sa carrière. C’est aussi ce deal-là qui le rendra riche. A la fin de sa carrière bancaire, il réussit à nouer de bons contacts avec Peter Brabeck-Lemathe, le PDG de Nestlé. Il se voit donc confier par Rothschild la négociation du géant agro-alimentaire, qui souhaite racheter une branche de l’entreprise Pfizer, spécialisée dans le lait infantile. Une très grosse opération. Grâce à la médiation d’Emmanuel Macron, le deal est confirmé, et Nestlé débourse près de 9 milliards d’euros. C’est suite à cette opération réussie qu’Emmanuel Macron devient millionnaire. « En 18 mois, de 2011 au premier semestre de 2012, avant sa nomination comme secrétaire général adjoint de l’Elysée, il a gagné 2,4 millions d’euros chez Rothschild », a révélé BFMTV. »
Un gros coup qui a rapporté gros à Pfizer mais surtout à Macron. Retour d’ascenseur aujourd’hui de Macron à Pfizer ?
Francesca de Villasmundo
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