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Vaccinations : rififi au ministère de la Santé

L’excellente petite feuille « Rivages » éditée à Tours, attire l’attention sur la démission récente – le 10 mars 2016 – de Thomas Dietrich, haut fonctionnaire au ministère de la Santé. Dans une lettre à l’IGAS et à la Protection de la Santé Naturelle, il dénonce les magouilles et les pressions du ministre Marisol Touraine pour imposer à toute la population française – avec la complicité du Conseil National de l’Ordre des Médecins – le vaccin hexa-valent (6 maladies) destiné aux nourrissons, qui inclut l’hépatite B maladie vénérienne qui ne concerne guère les chères têtes blondes… Et d’avoir organisé avec les laboratoires fabricants, la pénurie du vaccin tétra-valent D.T polio, seul nécessaire, qui a fait depuis longtemps la preuve de son efficacité comme de son innocuité. La diphtérie, le tétanos et la polio sont des maladies graves qui ont pratiquement disparu grâce au vaccin.

Ce n’est pas le cas du vaccin hexa-valent accusé de favoriser les maladies neurologiques comme la sclérose en plaques. Déjà le professeur Joyeux avait tiré la sonnette d’alarme l’année dernière sur les dangers de ce vaccin, qui contient 6 souches de virus et des adjuvants comme l’aluminium, qui peuvent menacer le système immunitaire de l’enfant. Le Conseil de l’Ordre avait alors menacé de radiation – pas moins ! – le professeur Henri Joyeux pour ses propos de bon sens, mais il s’est calmé devant l’afflux des protestations : 900.000 signatures en quelques semaines.

Question à 2 sous : le vaccin hexa-valent coûte 7 fois plus cher que le bon vieux DT polio.

Docteur Luc Perrel

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