L’Usaid n’a pas que favorisé les renversements de régime dans les pays conservateurs, le wokisme partout, la féminisation de la société, mais elle a aussi soutenu la révolution arc-en-ciel bergoglienne au sein de l’Église conciliaire. Pour tendre à l’apostasie générale, prémisse du Nouvel Ordre Mondial
La révolution progressiste, wokiste, féministe, mondialiste promue par l’USAID a ses entrées à Sainte Marthe
La révolution progressiste, wokiste, féministe, mondialiste promue par l’USAID aux quatre coins du monde et que le DOGE est en train de révéler à la face de tous a eu ses entrées à la maison Sainte Marthe, la résidence déclassée du pape François, et des diocèses conciliaires, en premier lieu aux États-Unis. Ascension des femmes aux postes clés du Vatican bergoglien, écriture et promotion de l’encyclique Laudato Si, propagation de la culture gay et trans dans le monde catholique, en l’USAID, le pape François a trouvé un allié de poids, sonnant et trébuchant, pour mener sa révolution arc-en-ciel et vice-versa.
InfoCatolica a retracé hier 11 février 2025, dans ses colonnes, les efforts de l’USAID au sein de l’Eglise conciliaire :
« Le rapport « Stratégie intégrée du pays » pour le Vatican approuvé le 22 avril 2022 par l’administration Biden, vise le soutien économique américain aux initiatives écologiques en ligne avec l’encyclique Laudato Si, ainsi que la promotion de l’inclusion des femmes aux postes de direction au Vatican. »
Ascension des femmes aux postes clés du Vatican bergoglien
Parmi les priorités qui devaient être soutenues par cette aide américaine, outre la lutte contre la traite des êtres humains, l’on lit dans le rapport, qui n’est pas secret mais public, qu’y figuraient aussi, souligne InfoCatolica « la promotion de la liberté religieuse et le soutien à l’inclusion des femmes et des minorités dans les postes de direction au sein des institutions du Vatican ». En particulier, le rapport note « que bien que les femmes jouent un rôle clé dans des domaines tels que les soins de santé, l’éducation et le travail humanitaire au sein de l’Église catholique, elles se sont historiquement vu refuser l’accès aux postes d’autorité dans la hiérarchie ecclésiastique ».
InfoCatolica fait remarquer également que « le document souligne (…) que le pape François a promu une plus grande participation des femmes au Vatican et a procédé à quelques nominations importantes de femmes à la Curie romaine. Il a également déclaré qu’un effort a été fait pour diversifier le leadership au sein du Collège des cardinaux et d’autres départements du Vatican, avec une réduction de la prédominance européenne en faveur de représentants d’autres régions. Le rapport pointe toutefois un défi majeur : la rigidité du Vatican sur les questions de genre ».
Le document indique, continue le quotidien vaticaniste « que la structure de l’Église résiste encore à des changements plus profonds dans l’inclusion des femmes aux niveaux de prise de décision, ce qui pourrait créer des tensions dans la coopération avec les États-Unis dans ce domaine ».
Promotion de l’encyclique Laudato Si’ et du Green Deal
L’aide de l’USAID avait pour autre objectif de promouvoir des initiatives environnementales, en clair le Green Deal destructeur, conformes à l’encyclique du pape François Laudato Si’ « dont la lutte contre le changement climatique », ce qui ne sera plus une priorité des Etats-Unis avec Donald Trump.
Et parce que la vérité se cache dans les détails, le rapport remarque InfoCatolica souligne que dans le rapport il est écrit « que l’une des priorités des États-Unis est de tirer parti de l’influence du Vatican et de son vaste réseau d’organisations religieuses pour promouvoir la durabilité, la conservation des ressources naturelles et la transition vers une énergie propre. En collaboration avec le Saint-Siège et les organisations catholiques, le gouvernement américain a cherché à garantir un plus grand engagement du secteur privé et des gouvernements du monde entier pour atténuer l’impact environnemental ». L’on a là la raison de l’intérêt des démocrates américains pour le Vatican : se servir de l’importante aura de l’Église catholique dans le monde pour faire avancer le programme des mondialistes, tant le Net Zero que les autres aspects de la révolution arc-en-ciel, qui se retrouvent tous dans l’Agenda 2030 du WEF.
Soutien aux politiques d’immigration et d’accueil
Bien évidemment, le soutien aux politiques d’immigration et d’accueil est une autre condition de l’aide américaine. Les États-Unis ont ainsi, écrit InfoCatolica ont « cherché à renforcer le rôle du Vatican dans la médiation des crises internationales, en facilitant l’accès à l’aide humanitaire et en promouvant le respect des droits des réfugiés et des migrants ».
Si l’on met en parallèle de cet article, celui qui vient de sortir sur LifeSiteNews au sujet de l’aide accordé au Catholic Relief Service américain, le Secours catholique de l’autre côté de l’Atlantique, la tête nous tourne au vu des chiffres alloués pour la promotion des pires politiques de gauche, guère éloignées de l’idéologie marxiste. « Entre 2013 et l’exercice 2022, l’USAID a accordé au CRS un financement total colossal de 4,6 milliards de dollars, soit plus que toute autre organisation sur la planète » lit-on sur LSN. « Le CRS n’est pas vraiment une organisation « catholique » mais plutôt une entité « gouvernementale » qui embauche régulièrement des non-catholiques qui exécutent simplement les ordres de marche de l’USAID, même lorsqu’il s’agit de promouvoir la contraception » explique encore LSN.
L’objectif de l’USAID, du Deep state américain : « tirer parti de l’influence du Vatican et de son vaste réseau d’organisations religieuses » pour faire avancer la révolution arc-en-ciel
La formidable aide de l’USAID à la Rome bergoglienne et aux officines gauchistes qu’elle privilégie témoignent mieux que tout autre chose de l’effort, qui date depuis des décennies et des décennies, des progressistes américains, vrais mondialistes sans foi ni loi mais surtout hostiles au catholicisme, de changer en profondeur, selon une doxa totalement à l’opposé de la doctrine catholique, et en y mettant beaucoup d’argent, l’Église officielle pour ainsi changer le monde.
Avec l’avènement des papes conciliaires et tout particulièrement du plus révolutionnaire d’entre eux, le pape François, leurs efforts pour « tirer parti de l’influence du Vatican et de son vaste réseau d’organisations religieuses » pour faire avancer le progressisme arc-en-ciel sont couronnés de succès : l’ouverture au monde promue par le concile Vatican II est portée à sa logique extrême entre laïcisation, féminisation, immoralité, relativisme, et subjectivisme… pour atteindre ce qui est nécessaire pour établir un Nouvel Ordre Mondial, l’apostasie générale.
Francesca de Villasmundo
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