« Des historiens juifs contre l’élection de Donald Trump » titrait le Jewish Journal, le 15 novembre dernier, qui ouvre ses colonnes à un appel contre Trump lancé par des universitaires juifs : « C’est notre devoir, explique ces 250 professeurs, de résister à la dégradation des droits humains provoquée par la campagne de Trump. »
Ces universitaires juifs de l’histoire de l’Holocauste sont en première file pour protester contre l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis. Experts mémoriels des heures les plus sombres de notre histoire mondiale, victimes inégalables du racisme et de l’anti-sémitisme, peuple nomade et migrant par excellence, ils ont signé une pétition pour condamner « le langage discriminatoire et chargé de haine et les menaces « du candidat républicain durant la campagne électorale pour la Maison Blanche.
« Les États-Unis furent fondés sur les idéaux de liberté et de justice, lit-on dans l’appel. La campagne de Trump a été marquée par des expressions sans précédent de haine raciale, ethnique, religieuse et envers l’orientation de genre. »
« C’est notre devoir, continuent ces consciences morales mondiales, de résister à la dégradation des droits humains implicite dans la rhétorique de Trump. Lui-même s’est refusé à dénoncer les expressions et les images qui nous ont blessés parce qu’elles étaient manifestement antisémites, et il les a même retwitté. En se refusant à cela, sa campagne a dédouané les antisémites qui louchent vers les théories conspirationnistes concernant la domination du monde de la part des juifs. »
Fer de lance de la reconnaissance de toutes les déviances sexuelles, défenseurs de toutes les minorités ethniques, protecteurs de toutes les migrations, ils se posent en messie libérateur casher d’un peuple américain soumis au joug tyrannique d’un big-mac américain !
Francesca de Villasmundo
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Il faut virer toute cette pourriture
C’est la crise chez les journalopes aussi ; ils n’ont plus qu’à se mettre sous la main des « acteurs-raclures de pellame… » en recherche de passage à la télé.
Il faut ajouter, au sujet de Manuel Abramowicz, qu’il a été reconnu coupable de port public de faux nom par le tribunal correctionnel de Bruxelles en mai 2014… Il s’agit d’un individu dont les méthodes de travail ont été condamnées par l’Association des Journalistes Professionnels à plusieurs reprises…
Le 11 mars, le Conseil de déontologie (CDJ) estimait « non fondée » la plainte d’un journaliste contre le site Résistances.be. Les responsables de ce site ont diffusé à ce propos un communiqué trompeur et préjudiciable au journaliste. Choquée par ce procédé, l’AJP entend apporter les corrections qui s’imposent.
Le litige concernait un texte de Résistances.be publié en septembre 2014 sous le titre « Les erreurs déontologiques du journaliste Pascal Lorent ». Le site revenait sur des articles et un commentaire critique que le journaliste du Soir avait publié en 2009 à propos du faux profil créé sur Facebook par résistances.be, et qui avait abouti à piéger un militant du FN.
Outre un droit de réponse publié par Résistances.be, Pascal Lorent avait déposé plainte devant le CDJ estimant que ses qualités professionnelles avaient été injustement mises en cause.
Le CDJ a estimé cette plainte non fondée, considérant que le site avait le droit d’émettre son point de vue et de critiquer les articles du plaignant. Le texte incriminé exprimait une opinion ; son contenu n’enfreignait ni l’exigence de recherche de la vérité ni l’exigence de confraternité, jugeait le CDJ.
Mais l’instance de déontologie avait pris soin de préciser dans son avis que celui-ci portait exclusivement sur le texte de Résistances.be s’en prenant au journaliste. Cet avis, soulignait le CDJ, « ne contient aucune appréciation ni sur les articles publiés dans Le Soir en juillet 2009 ni sur les méthodes de recherche d’informations utilisées par Résistances.be ».
Cette précision n’a pas empêché le site antifasciste d’écrire l’inverse et d’affirmer que « le CDJ confirme que Résistances.be respecte scrupuleusement la déontologie journalistique et démontre ainsi le sérieux de son travail de journalisme d’investigation ». On rappellera à ce propos que la technique du faux profil sur Facebook avait été condamnée (avec suspension du prononcé) par le tribunal correctionnel de Bruxelles le 20 mai 2014 (Lire le dossier du mensuel Journalistes de juin 2014).
Outre l’instrumentalisation abusive d’un avis du CDJ – instance cofondée par l’AJP – par une partie en cause, l’AJP ne peut admettre que cette partie jette publiquement, et pour la seconde fois, le doute sur l’honneur et la compétence professionnelle d’un journaliste auquel aucun reproche de cette nature n’a été adressé par le CDJ.
http://www.ajp.be/un-communique-trompeur-de-resistances-be/
L’AJP rappelle que «rendu le 20 mai, le jugement a fait la part des choses (…). Mais, pour l’essentiel, il a dit qu’une investigation journalistique et la liberté d’expression ne justifiaient pas, dans le cas d’espèce, le port d’une fausse identité sur Facebook. En cela, le tribunal rejoignait clairement la déontologie journalistique pour laquelle les «moyens déloyaux» dont la provocation, ne sont envisageables qu’à certaines conditions, non réunies ici.
La condamnation de Résistances.be (avec suspension du prononcé) pour cette prévention remet en quelque sorte les pendules à l’heure à propos d’une méthode discutable dans son principe qui consistait, dans ce dossier, à piéger une personne pour la dénoncer ensuite à l’opinion publique. Ses auteurs répétaient en effet qu’ils avaient agi en pleine conformité avec la déontologie.»
http://www.ajp.be/telechargements/dossiers/160_dossier.pdf
Que ces ordures continuent dans leur traîtrise. Ils oublient que, demain, ils seront égorgés comme tous les non musulmans.Je crois que comme des lopettes ils s’empresseront de se convertir à la religion de paix pour sauver leur peau. Ce ne sont pas des gars sur qui on pourra compter pour sauver la France, qui, je crois, est aussi leur pays.L’ont-ils oublié depuis longtemps?