Le nouveau Premier ministre n’est pas un « bon »
gay car son homosexualité est « non subversive ».
Une activiste « non binaire », déclare sur son compte TikTok : « C’est une homosexualité complètement cachée, avec aucune revendication. Il faut bien comprendre que les homophobes qui grouillent à la droite et l’extrême droite sont très très ok d’une homosexualité à la Gabriel Attal ! »
En somme, le Premier ministre fait honte aux militants LGBT les plus radicalisés qui affirment que son homosexualité serait exploitée politiquement par le gouvernement pour légitimer une politique « raciste, liberticide et antidémocratique ».
Au nom des luttes intersectionnelles des déconstructeurs chers à Sandrine Rousseau, le rejet des « gays blancs » au nom de la lutte contre l’homophobie inclusive existe bien, comme existe le racisme anti-blancs qui fleurit dans les zones occupées de France.
Avis donc au petit Gabriel trop blanc et pas assez gay : quoique vous fassiez, rappelez-vous que si un pur trouve toujours un plus pur qui l’épure, un radicalisé trouvera toujours un plus radicalisé qui voudra sa perte.
Paul DEROGIS
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