«Il n’y a qu’un seul Dieu, et il est Dieu pour tous et pour cela il est important que chacun apparaisse égal devant lui. J’ai toujours dit que nous devons aider un hindou à devenir un meilleur hindou, un musulman à devenir un meilleur musulman et un catholique à devenir un meilleur catholique. Nous croyons que notre travail doit être un exemple pour les gens.»
«Certains l’appellent Ishwar, certains l’appellent Allah, certains tout simplement Dieu, mais nous devons reconnaître que c’est Lui qui nous a fait faire de plus grandes choses : aimer et être aimé. Ce qui importe est que nous aimons. Nous ne pouvons pas aimer sans la prière, et ainsi de quelque religion que nous sommes, nous devons prier ensemble.»
Ainsi s’exprimait Mère Teresa, la missionnaire de Calcutta, prix Nobel de la paix. C’est une des « lumières » de la religion post-Vatican II. Elle va être canonisée prochainement.
Hier jeudi 17 décembre, jour de son anniversaire, le pape François a ratifié la reconnaissance du miracle attribué à la religieuse de Calcutta et est disposé à promulguer le décret de canonisation. Certainement, ce sera durant cette année de la Miséricorde, que le pape met sous le signe des plus pauvres, que celle qu’on nomme «l’apôtre des plus démunis» sera canonisée, probablement le 4 septembre. La date sera rendue publique durant le prochain consistoire.
Fondatrice des Missionnaires de la charité, Mère Teresa fit de sa congrégation un lieu de rencontre de toutes les religions, une congrégation interreligieuse qui accueille des «religieuses» d’autres confessions et les incite à participer à des cultes païens et démoniaques comme il en existe tellement de Inde. Elle fut un promoteur zélé de l’indifférentisme religieux à tel point que jamais elle n’essayait d’apporter les secours de la religion catholique à un mourant d’une autre religion «par respect».
Certes Mère Teresa se dévoua inlassablement au service des plus pauvres si nombreux en Inde et n’hésita pas même parfois à risquer sa vie. Le don qu’elle fit d’elle-même aux autres fut réellement héroïque et sans doute peu ont su montrer à cette époque matérialiste autant de dévouement et d’abnégation.
A côté de cette héroïcité naturelle, on ne peut que regretter l’influence mortifère du concile Vatican II sur la vie de Mère Térésa. Car il faut bien le dire, « aider un hindou à devenir un meilleur hindou, un musulman à devenir un meilleur musulman et un catholique à devenir un meilleur catholique », c’est promouvoir un relativisme destructeur et refuser d’apporter l’aide primordiale que toute âme demande à savoir la soif du Vrai Dieu, cette charité héroïque qui place les droits de Dieu avant les droits des hommes, vraie charité que déteste le monde.
La disparition de Mère Teresa, en 1997, suscita dans le monde entier une grande émotion : l’Inde lui réserva des funérailles d’État qui attirèrent une foule immense et des grands du monde entier. Le ministre des Nations-Unis d’alors, Javier Pérez de Cuélhar, déclara qu’elle était «la paix dans le monde» et le premier ministre pakistanais fit cet éloge funèbre : «sa longue vie de dévotion pour soigner les pauvres, des malades et des plus démunis a été un des plus grands exemples de service à notre humanité.» Les louanges furent unanimes de la part de tous les bien-pensants de la planète et venant de toutes les religions.
Ces louanges marquent une admiration bien compréhensible, mais pour autant il faut bien reconnaitre que ce sont des louanges d’une bien pensance qui s’adresse à une action naturelle qui restera stérile dans le temps. La marque des grands saints fut certes de servir les hommes, de les secourir dans leurs misères humaines, mais elle fut avant toute chose d’apporter à ces âmes les secours du seul vrai Dieu, sauvant ainsi leurs âmes, et les amenant à une vraie conversion seule apte à apaiser la société. Et « aider un hindou à devenir un meilleur hindou, un musulman à devenir un meilleur musulman » ne correspond certainement pas à ce qui fait une sainte catholique.
Avec la «canonisation» de Mère Teresa, c’est encore le concile Vatican II que l’on canonise et toutes ses aberrations doctrinales qui font perdre la Foi !
Francesca de Villasmundo
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Hélas ! si ces mêmes « saints » pouvaient nous dire où ils se trouvent réellement ! Paradis, Purgatoire, Enfer ?
Un seul miracle, lequel ? en parle-t-on quelque part ? Alors qu’il fallait au moins 5 miracles, une non décomposition du corps, un parfum de sainteté à la mort, et une vie à essayer au moins de convertir ceux qui ne sont pas de notre religion, et pour ce faire, y laisser sa vie (peut-être) ! c’est quand même autre chose…d’autres preuves certaines de la sainteté de la personne. V II a définitivement mis au rang de la ringardise (si je puis m’exprimer ainsi) toutes ces preuves nécessaires, qui s’accumulaient lors des procès en canonisation…
Mais, seul DIEU, peut dire si tel ou tel est réellement SAINT.
@zézé — un autre point de vue…
Combien d’entre nous ont demandé l’intercession de Mère Teresa pour une guérison ? Car pour qu’il y ait plus de deux miracles de reconnus, il faudrait commencer par s’adresser à elle afin qu’elle en offre d’ autres. Si vous n’avez aucune requête à formuler pour vous-même, demandez pour une personne souffrant autour de vous. Mère Teresa est l’une des femmes les plus généreuses que la terre ait portée. A l’Image du Christ, elle a offert sa vie aux autres, aux souffrants méprisés. L’Amour véritable était son leitmotiv, et c’est Lui qui sanctifie.
Rectification doctrinale élémentaire : il n’y a pas d’amour véritable en dehors de la vraie religion, et »mère » Teresa professait une fausse religion. QED.
Le terme ultime des dérives Vatican II, ce sera de vouloir canoniser des non-catholiques…
quand l’Amour n’est plus encadré par l’Esprit, l’Amour se prostitue à toutes les sauces.
les femmes avortent par amour de leur job, de leur liberté
les dépravés sexuels le font aussi par amour,
les soldat tuent par amour de leur patrie,
les divorcés se marient par amour.
les Vallsseries sont faites par amour de la France,
la miséricorde et la justice sont deux faces d’une Même médaille…
mais la pensée de DIEU est bien au-dessus de celle des Hommes.
Jésus a montré que seules les valeurs humaines comptent. Souvenez-vous, le Sermon sur la Montagne.
Il me semblait avoir lu jadis, dans le Nouveau Testament, que Jésus était venu pour, uniquement, remettre les Israélites sur le bon chemin. Je ne retrouve plus ce passage avec la Samaritaine, aussi je me demande si le NT n’a pas été trafiqué depuis l’époque où j’ai lu cela ? Cela dit, apparemment seuls les Israélites avaient une vie déviante.
Malheureusement le message de Jésus a été détourné par un certain Saint Paul… et le savoir ancien a été progressivement caché, puis détourné en dogmes dingues.
On voit que tu n’es pas très familier avec l’écriture. Lis-le dans le texte original, sans traduction avant de dire des stupidités pareilles, et accuser les autres de « traffiquer ». Jésus dit qu’il est venu pour les pècheurs, non les israélites. Il envoie ses disciples envoyer sa parole partout dans le monde, il dit que le « prochain » et le frère du juif n’est pas forcément le juif mais celui qui suit sa parole. Mais il aurait fallu que tu lises au lieu de faire de la propagande stérile et mensongère sur Paul que tu n’as ni lu, ni compris.
« Je suis le Chemin,la Vérité et la Vie,nul ne va au Père que par moi! »
C’est assez clair me semble t-il,Mère Térésa a sans aucun doute réalisé une oeuvre extraordinaire de charité,cependant cette religieuse comme tant d’autres,tant de bon prêtres et de pieux laïcs, a été trompée par des « théologiens » pour lesquels le concile a servi de portes ouvertes pour la mise en place de toutes les erreurs condamnées par tous les papes jusqu’au Vénérable Pie XII .
L’Eglise est infestée au plus haut degré par la maçonnerie!
Paul VI a été béatifié par le pape Bergoglio,pourtant c’est bien ce même pape qui a mené à son terme Vatican II alors qu’il aurait du le stoper afin que les dérives ne s’aggravent,il avait beau jeu de dénoncer les fumées de Satan!
Le Saint Padre-Pio avait raison lorsqu’il déclarait qu’ils étaient devenus totalement fou à Rome.
Cependant demeurons fidèles dans la vrai foi et totalement abandonnés à la Divine Providence,de ce grand mal sortira un plus grand bien!
Pouvez-vous svp indiquer la source de la citation attribuée à Mère Teresa.
D’avance merci.
Nous sommes aujourd’hui le 29 janvier, et je n’ai toujours pas la réponse à la question que j’ai posée le 21 décembre.
Je repose donc ma question :
Pouvez-vous svp indiquer la source de la citation attribuée à Mère Teresa.
D’avance merci.
Les élites corrompues et soumises à ( installé par ) l’Occident ont fait leur show. C’était le temps de l’implantation à coup de millions des chrétiens par des écoles et des hôpitaux. Tout le monde n’a pas loué Mère Theresa en Inde, à son époque. Les indiens se sont vite rendus compte que les fonds allaient au Vatican et pas aux pauvres pour 80% d’entre eux. Mémé tiroir caisse si j’ose dire. Ou bien les files de soins » gratuites » si on se converti sur le champ à Jésus. L’emploi du mot Mère que les Hindous considèrent sacré. Marketing de masse. Pas jojo tout çà.
En Inde il y a des centaines de » mères » et » Pères » Hindous qui servent repas, réconfort scolarisation et abris aux plus démunis, tous les jours. Je ne vois pas de louanges; de médias reporter l’évènement. Surement de mauvais chrétiens…
Mensonges ! Tu parles l’hindi? Mère Teresa est très respectée en Inde. Tu y as mis les pieds?
En tout cas toi tu n’es pas de Dieu, car tu ne considères pas odieux de colporter des choses dont tu n’as pas la connaissance! Fais la moitié de ce qu’elle a fait et que personne n’avait fait puisque les gens crevaient dans la rue. Et personne n’a dit qu’elle était la seule à faire de saintes choses.