Le violeur migrant – c’est-à-dire immigré clandestin – se présente
comme un mineur et dément tout caractère forcé de l’acte sexuel.
Les faits dénoncés ont été commis le 12 novembre 2022 dans un parc de La Pommeraye (Mauges-sur-Loire) dans l’ouest du département. Le suspect, un jeune migrant africain « mineur » hébergé dans un centre de la commune, a été rapidement interpellé. Il a été mis en examen pour viol sur personne vulnérable et placé en détention provisoire.
L’enquête ouverte a rapidement permis d’identifier les deux personnes qui se trouvaient dans le parc avec la plaignante. Il s’agit de deux hommes hébergés au CPAR (Centre de préparation au retour volontaire) de La Pommeraye.
L’enquête a rapidement permis à la gendarmerie locale d’interpeller le violeur présumé et celui qui l’accompagnait ce soir-là. Il s’agirait de deux migrants «de type africain», qui étaient hébergés au CPAR (Centre de préparation au retour volontaire) de la ville. Ils avaient été accueillis dans cet organisme après avoir été expulsés de camps de migrants du département du Nord et de la région parisienne, même s’ils ne semblaient pas vouloir faire de démarche pour retourner volontairement dans leur pays d’origine.
Au-delà de la procédure judiciaire engagée, le mis en examen ne peut donc pas faire, en l’état, l’objet d’une procédure d’expulsion. Une telle procédure pourrait être engagée si le tribunal de Paris apporte la preuve de sa majorité et si une éventuelle demande d’asile est rejetée.
Douce France où il n’y a pas encore longtemps faire le lien entre immigration et délinquance vous valez la joie de passer devant la XVII° chambre correctionnelle pour appel à la discrimination et incitation au racisme.
Sources : Ouest-France / Le Figaro
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