La folie de notre temps amène à des situations inattendues. Prenons le cas de Dora Moutot, très engagée depuis plusieurs années dans la mouvance féministe et plutôt du genre à prendre la défense des homosexuels et des lesbiennes. Jusqu’il y a peu, elle avait donc tout pour plaire aux idéologues du nouvel ordre mondial sexuel.
Mais rien ne va plus depuis qu’elle s’est mise en tête de rappeler qu’un transgenre n’est pas une femme. Avec tous les sujets que cela entraîne : un transgenre ne devrait pas pouvoir participer aux compétitions sportives féminines et rafler les trophées destinés à une femme, un transgenre ne devrait pas être autorisé à se rendre dans les douches des femmes, etc.
Sur un plateau télé, Dora Moutot a même refusé de considérer le maire transgenre de Tilloy-lez-Marchiennes comme une femme, sous le regard offusqué de Léa Salamé. Depuis lors, Dora Moutot est accusée de « transphobie ». Des associations LGBT ont déposé plainte contre elle. Et des menaces de mort lui sont adressées par des transgenres qui montrent leur côté violent dont les médias se gardent bien de parler.
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