Elle dénonce l’espionnage de masse « par un gouvernement qui en deux mois a détruit nos droits fondamentaux, naturels, constitutionnels » et « qui a livré l’Italie aux lobbies nationaux et internationaux. »
Elle vilipende « le bombardement médiatique » utilisé « comme outil de propagande pour conditionner les esprits des Italiens en faisant levier sur leur atavique peur de mourir et en censurant tous ceux qui osaient relever la tête et dénoncer ces abus ».
Elle attaque les politiciens présents à la Chambre des Députés qui ont exécuté « les politiques néo-libérales prédatrices des 30 dernières années », fossoyeuses de l’hôpital public italien.
Elle fait un lien entre les « campagnes vaccinales » et les « pollutions environnementales » dont celle « électromagnétique » et l’ampleur du phénomène Covid-19.
Sara Cunial ne s’arrête pas là malgré les collègues parlementaires outrés : elle tient à rappeler que « tous ces décrets de premier ministre sont anticonstitutionnels. Nous le savons bien. Ils sont le symbole de l’autoritarisme d’un régime sanitaro-médiatique entaché de rouge-sang de nos droits naturels constitutionnels ».
Et, tout en déchirant ces « décrets anticonstitutionnels à la face des ministres, de conclure en accusant le gouvernement Conte d’avoir « sacrifié l’Italie, et notre charte constitutionnelle en nous soumettant au jeu néo-géopolitique entre USA et Chine ».
Une charge contre cette dictature sanitaire qui pourrait tout autant être adressée au gouvernement de Macron et de son premier ministre Edouard Philippe.
Francesca de Villasmundo
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