Elle avait eu son heure de gloire en 1990 avec la chanson Nothing compares 2 U (2 U = to you), qui fut le disque le plus vendu aux Etats-Unis, en Australie, en Irlande et au Royaume-Uni. La chanteuse irlandaise Sinead Marie-Bernadette O’Connor vient d’annoncer qu’elle se convertissait à l’islam sous le nom de Shuada Davitt. De part des convictions, elle était l’exact négatif de la chanteuse Dolores O’Riodan, même si O’Connor a accusé son père de l’avoir forcé à avorter. O’Riodan venait du prolétariat irlandais et O’Connor de la bourgeoisie. Suite au divorce de ses parents, elle est confiée à sa mère qui la martyrise et va même jusqu’à lui infliger des sévices sexuels. Elle fut ensuite envoyée dans un pensionnat religieux où la discipline stricte fut un échec avec elle.
Violente, elle se battit avec le chanteur portoricain Prince, probablement plus petit qu’elle, quand elle ne retournait pas sa violence contre elle-même, comme en témoigne ses tentatives de suicide. Se prétendant rebelle, elle eut longtemps le crâne rasé (pour la plus grande joie des humoristes la surnommant « Skinhead O’Connor ». Elle poursuivit de sa haine l’église catholique (peut-être une contamination de sa possédée de génitrice, qui est aussi à l’origine des revendications lesbiennes de Sinead), notamment en déchirant le 3 octobre 1992 lors de l’émission Saturday Night Fever en déchirant la photo du Pape Jean-Paul II, ce qui lui valut de subir les foudres de nombreux catholiques irlandais indignés par son attitude.
Elle qui se prétendait rebelle, féministe, lesbienne et trouvant l’église catholique trop dure, porte désormais le voile et va découvrir rapidement la « tolérance » de sa nouvelle religion. Pour elle, cette conversion est « la conclusion naturelle du parcours de tout théologien intelligent ». Son parcours n’est pas sans rappeler celui de la rappeuse chypriote Diam’s (Mélanie Georgiades à l’état-civil), qui voulait donner des leçons de progressisme et de féminisme à Marine Le Pen et qui vit maintenant dans la très extrémiste Arabie Saoudite. Incroyable ce rôle de « voiture-balai » qu’est l’Islam, racolant toutes les éclopées de la vie, qui, prétendant fuir la grippe, se livrent corps et âme à la peste. L’Islam, c’est l’étape finale de la désagrégation mentale des filles dégénérées de la bourgeoisie. Filles éblouies par la « lumière » coranique, lumière qui chez elles n’est pas présente à tous les étages…
Hristo XIEP
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