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Le cas des clandestins embarqués sur le bateau des gardes-côtes italiens, le Diciotti, continue à susciter des réactions hostiles à la politique anti-immigration du gouvernement italien.

C’est au tour d’une association financée par l’Open Society Foundation du milliardaire cosmopolite Georges Soros, l’Asgi (l’association des études juridiques sur l’immigration), de partir en guerre contre les dispositions prises par le ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini concernant les clandestins débarqués à Catane.

L’Asgi essaye d’arrêter le transfert, de l’Italie à l’Albanie, d’une partie des « migrants » du navire DiciottiLe président de l’Association prétend que cela serait un « éloignement forcé ».  Il soutient que ce transfert ne peut être possible que si les clandestins choisissent volontairement d’aller en Albanie et objecte également que ce pays n’étant pas membre de l’Union Européenne son système de protection internationale n’est pas conforme à celui de l’Europe bruxelloise. C’est pourquoi l’Asgi conteste le transfert en le décrivant comme « totalement illégitime et irresponsable ».

Matteo Salvini ne s’est pas laissé intimider par cette nouvelle attaque des partisans de l’immigration-invasion. Il leur a répliqué vertement :

« Pour le président de l’Asgi, pour porter les immigrés du Diciotti en Albanie il faut leur consentement, autrement ce serait un ‘éloignement forcé’. Mais qu’est-ce à dire ? Ils disent qu’ils fuient la guerre et ils font les délicats concernant le lieu où aller ??? Nous frisons le délire ! »

Délire mais aussi renversement des valeurs. Voilà des clandestins qui débarquent illégalement en Europe mais à qui les gouvernements européens, pour être dans la légalité, devraient demander leur consentement pour les transférer dans tel ou tel pays ! Le monde à l’envers, les clandestins illégaux faisant en somme la loi… Et puis, puisque le président de l‘Asgi évoque leur consentement, ne faudrait-il pas d’abord demander leur consentement aux Italiens avant de leur imposer ces immigrés illégaux ? En votant aux dernières élections en faveur de La Ligue, les Italiens ont d’ailleurs donné leur réponse à tous ces humanitaristes mondialistes : c’est Non à l’immigration !

Francesca de Villasmundo

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Alexandre Sanguedolce
Alexandre Sanguedolce
il y a 6 années

Des actes, au moins, Salvini tient fermement ses promesses.
C’est un véritable homme d’État.

Louis d'Hautan
Louis d'Hautan
il y a 6 années

Et ce n’est que le début. L’Europe n’a pas fini de saigner.

Mirage
Mirage
il y a 6 années

Des migrants du Népal ???!!!

Daniel Daflon
Daniel Daflon
il y a 6 années

Ces bonobos ne sont pas encore débarqués qu’ils utilisent déjà la violence pour imposer leur volonté. Cela présage t-il d’une conduite respectueuse, calme et disciplinée s’ils descendent sur le sol italien ?
Couler ces bateaux après trois sommations dès qu’ils entrent dans les eaux territoriales, servirait d’avertissement salutaire aux futurs candidats à l’invasion qui seraient de suite beaucoup moins nombreux à tenter l’aventure.
Les bobos bisounours manifesteraient bruyamment et la police leur caresserait les côtes à grands coups de matraques pour leur remettre les idées en place.
Bien entendu, selon la formule consacrée et usée jusqu’à la trame, le « machin » condamnerait fermement le traitement infligé aux « réfugiés ». On l’enverrait se faire voir chez les…..Chez qui au juste ? Chez ceux à qui ont louerait leurs plus vieux cargos pour transporter les macaques entrés illégalement précédemment jusqu’à un îlot désertique des îles Kerguelen, où ils se retrouveraient tous entre eux à manger des berniques, et peut être quelques uns de leurs copains, en respirant un air iodé pur et vivifiant. La belle vie.
Et le problème d’invasion de l’Europe serait réglé à un coût minima pour les contribuables (Ce qui est bien l’essentiel).
Avec un peu de volonté politique, aucun problème n’est insoluble.

Petit Marguerite
Petit Marguerite
il y a 6 années

Il y a la guerre en Palestine, au Yemen, en Lybie notamment. Même si ce sont des conflits où ne s’affrontent pas « les grands », comme en Syrie.