Ce choix bergoglien a déclenché une vague de colère dans les milieux catholiques de la péninsule, fort justement scandalisés.
Madame Fedeli est un drôle de zozo, franchement pas catholique ! Indépendamment du fait qu’elle veut imposer aux écoliers italiens l’orthographe « inclusive », la dernière lubie des officines genderophiles, que nous nous refusons à user même en parlant d’elle, elle est une femme de gauche et une féministe acharnée. Par ailleurs, une homosexualiste déclarée : elle est une des proches de l’autre pasionaria italienne des droits des gays, madame Cirinà, instigatrice de la loi sur les unions civiles entre personnes de même sexe. Que madame Fedeli avait voté avec plaisir.
En 2014, Valeria Fedeli avait présenté également un dessein de loi qui demandait « l’introduction à l’éducation du genre et des prospectives de genre dans l’actualité et dans les matériaux didactiques des écoles » parce que « cette notion d’égalité (…) peut être instillée aux enfants dès la plus tendre enfance ». Maintenant qu’elle est à la tête du mammouth italien, l’idéologie du genre va pouvoir s’épanouir librement des maternelles aux lycées et pervertir, presque dès le berceau, les chères têtes blondes et brunes.
Les défenseurs de la famille traditionnelle et naturelle la considèrent donc à bon escient comme un ministre gender. Le fait qu’elle préface le livre du pape François édité qui plus est par Marcianum press, une maison d’édition « dans les mains » de l’évêque Francesco Moraglia, que l’on croyait plus conservateur, a soulevé leur indignation. Est-ce l’enseignement de ces nouvelles « réalités » anthropologiques défendues par le ministre que le pape François souhaite apprendre aux jeunes ? On peut se le demander face à cette collaboration entre lui et madame Fedeli, propulsée ainsi figure de proue des milieux bergogliens dans le domaine de l’éducation !
Cette contribution de la lgbtiste Fedeli au livre de « papa Francesco » a la saveur d’une « sacrée » provocation et le goût amer de la destruction systématique de tous les repères naturels…
Francesca de Villasmundo
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !