Le Jubilé de la Miséricorde sera «l’année du pardon et de la réconciliation» nous dit-on.
Dans une longue interview à la revue officielle italienne de l’Année Sainte Credere, le pape François explique les motivations qui l’ont mené à décider une année de la Miséricorde.
Il veut que ce soit une année de pardon et de réconciliation dans un monde de brutes. Et il promet qu’un vendredi par mois il accomplira «un geste différent de Miséricorde pour témoigner la miséricorde de Dieu, un geste qui sera comme une caresse, celle que les parents font à leur enfant pour lui dire Je t’aime.»
Après le geste « paternel », selon Mgr Fellay, qui permet à la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie-X d’avoir une juridiction ordinaire pour les confessions pendant cette Année Sainte, faut-il s’attendre à un geste de réconciliation un vendredi du Jubilé, jubilé fondé sur une miséricorde tronquée de la « communion pour tous » et sur la commémoration festive d’un concile qui détruit l’Eglise depuis 50 ans ?
Francesca de Villasmundo
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