Il se fait appeler « Brigid » Klyne-Simpson, est un transsexuel en surpoids et a décidé de s’identifier comme une femme. S’étant inscrit à un centre de Fitness à Parksville, sur l’île de Vancouver au Canada, il a voulu s’installer à la salle de sport réservée aux femmes alors qu’il en existe une autre mixte. Le personnel de la salle de port refusant de lui accorder une inscription à la salle réservée aux femmes, le trans menace maintenant de porter plainte pour violation des droits de l’homme.
La propriétaire de la salle de sport, Dale Nagra, a déclaré que Klyne-Simpson est autorisé à utiliser la salle de sport mixte, où il y a des vestiaires neutres : « Nous voulons que Klyne-Simpson se sente à l’aise, mais nous devons aussi nous soucier des jeunes filles. Comment leurs parents vont-ils se sentir s’ils constatent que cette grande personne à la voix masculine entre dans les vestiaires pour femmes ?«
Pour la directrice du centre de fitness, l’inconfort de Klyne-Simpson ne devrait pas être la principale préoccupation : « Alors maintenant, si on privilégie le confort de l’homme qui s’identifie comme une femme… ensuite n’importe qui pourra entrer dans les vestiaires pour filles en disant : « Hello, moi, je m’identifie comme une femme et je veux aussi pouvoir y entrer ». Alors choisit-on le confort de la personne transgenre, qui ne se sent peut-être pas aussi à l’aise dans la salle de sport mixte mais qui dispose au moins de cette alternative, ou choisit-on le confort et la sécurité des jeunes filles ?«
La réponse devrait aller de soi mais l’affaire est devenue très médiatique au Canada.
Curieusement les féministes et les Metoo s’expriment peu sur le sujet…
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On y est presque: le transexuel qui s’identifie à une femme, se met dans le vestiaire de jeunes filles, et qui drague par qu’il est « homosexuel » femme.
La directrice a bien répondu. Quand on tient tête aux petits merdeux transgenres cela peut donner des idées à tous ceux qui se font marcher dessus par ces capricieux égocentrés.
les déchets font la loi;
c’est une norme de la Révolution nihiliste, de l’ inversion des valeurs.
Il y a quelques années, ce type de personnes étaient enfermées à vie dans des établissements psychiatriques sécurisés, mais aujourd’hui, elles obtiennent des emplois au gouvernement et dans les médias.
Quelle classe ! Je voterais volontiers pour un type de ce genre !
À l’Élysée, sur les timbres et en visite officielle, il incarnerait tant l’honneur et le prestige perdus, que ce ridicule préservé, cultivé, financé, imposé, à tout migrant désireux de s’adapter…