Est-ce parce que les élections sont passées, que les autorités officielles osent avouer qu’il s’agit bien d’un attentat terroriste, sans toutefois parler d’attentat islamiste ?
La sécurité renforcée auprès des écoles depuis l’état d’urgence, n’a pas été suffisante pour prévenir la volonté meurtrière des islamistes. Dans son numéro de fin novembre, la revue francophone de propagande de l’Etat islamique, Dar-el-Islam, s’en prenait violemment aux enseignants de l’Education nationale qualifiés d’ « ennemis d’Allah » qui « enseignent la laïcité » , « en guerre ouverte contre la famille musulmane ».
Un plan des établissements doit être transmis à la préfecture et chacun d’entre eux doit veiller à ce que « la mallette plombée », qui contient notamment un talkie-walkie, une torche électrique, des biscuits de survie, soit en bon état. C’est l’hôpital qui se moque de la charité alors que les imams de la confrérie de Frères musulmans, dans les mosquées, poursuivent la création de leur cinquième colonne d’Islamistes en guerre contre la vraie France. On reconnaît le double-langage mondialiste des socialistes, qui a cours en France comme en Syrie.
Faut-il croire que les 10% de votants qui se sont mobilisés au second tour des régionales, hier, étaient principalement issus de l’électorat musulman qui a déjà permis l’élection de François Hollande à la présidence? Une étude détaillée des résultats permettra d’en savoir davantage, si toutefois une analyse objective des chiffres est possible…
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