Rendus publics dans la presse locale avec retard, les faits datent du 9 septembre et se déroulent à Saint-Pol-sur-Mer.
Un immigré érythréen, malade du sida en phase terminale et atteint de la tuberculose, a tenté d’agresser sexuellement dans la rue une fillette de 10 ans. L’enfant a réussi à s’échapper, et sa famille a averti la police.
Mais l’immigré – pardon le « réfugié » – hébergé au foyer Adoma de Saint-Pol-sur-Mer n’en est pas resté là. Rentré au foyer, il a tenté de violer la directrice.
L’individu a été placé en garde à vue mais il avait déjà été libéré vendredi soir.
En quittant le CHD où la Justice voulait le faire hospitaliser, cet immigré a récidivé une agression dans son foyer d’accueil. Huit policiers ont été nécessaires pour le maîtriser.
Le laxisme étant sans limite, il est ressorti libre de sa garde à vue, mardi vers 13 h. Toujours logé au même foyer d’accueil, il a cette fois tenté de violer la sous-directrice. A la suite de quoi il a une fois de plus été placé en garde à vue. La justice – si on peut encore l’appeler ainsi – devait statuer sur son sort ce jeudi. Nous ne connaissons pas encore sa décision.
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