En Hongrie, les hommes politiques se succèdent pour dénoncer les nuisances du milliardaire cosmopolite George Soros.
Le député Andras Aradszki, membre du parti au pouvoir Fidesz-Union civique hongroise, a pris la parole à la tribune du Parlement le 9 octobre pour dénoncer le plan Soros qu’il a appelé «l’ultime assaut de Satan» contre la Famille.
Dans un discours largement relayé par les médias hongrois, Andras Aradszki pointe du doigt la responsabilité du milliardaire Soros dans le financement de divers organismes ayant vocation de détruire la famille. «Nous pouvons le voir avec le développement de l’avortement, du mariage homosexuel et de la théorie du genre», a énuméré le député.
Andras Aradszki a également accusé le milliardaire hongrois et ses alliés de s’attaquer en outre «à la grande famille européenne» en cherchant à «diluer l’Europe chrétienne» parmi des dizaines de millions d’immigrés.
«Se battre contre Satan est un devoir chrétien. Oui, je parle d’une attaque de Satan», a martelé le député. «D’un bout à l’autre, ils nient ce qu’ils ont prévu de faire, même quand cela devient évident. Ils disent nerveusement : « il n’y a pas de quota, il n’y a pas d’implantation obligatoire, le plan de George Soros n’existe pas »», a-t-il poursuivi.
Pour contrer le «plan satanique» dont il accuse George Soros, le député a avancé une première solution d’ordre religieux : «Le rosaire est l’arme la plus efficace contre le mal et elle peut changer le cours de l’histoire». Mais il a aussi appelé ses concitoyens à remplir en ligne la «Consultation nationale sur le plan Soros».
Le gouvernement du Premier ministre Viktor Orban a en effet entrepris, depuis le 1er octobre, de consulter les Hongrois sur le «Plan Soros». La formule le projet du milliardaire mondialiste de faire accepter l’arrivée d’«au moins un million de migrants» par an dans l’UE. A l’image de précédentes consultations organisées par le gouvernement, l’opération combine l’envoi de milliers de questionnaires dans les foyers hongrois et une campagne d’affichage dans le pays et les médias pro-gouvernementaux.
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