La soi-disant «identité sexuelle» semble être devenue un problème d’ordre majeur dans le monde si on prend en compte l’importance que de nombreux gouvernements, parlements et conseils municipaux accordent à cette question sous les pressions du lobby LGTBQI. Sous prétexte de lutte contre de prétendues discriminations, ce lobby a déjà obtenu la dénaturation du mariage, l’adoption d’enfants et la promotion de la théorie du genre. Mais ce lobby veut plus, beaucoup plus. Un exemple de cette dérive occidentale : la Commission des droits de l’homme de la ville de New York a publié une liste de 31 identités sexuelles différentes et précise que les entreprises peuvent être sanctionnées par des amendes allant jusqu’à un million d’euros si elles ne respectent pas cette folie.
Et des aberrations semblables se propagent dans d’autres endroits, comme dans l’état allemand de Brandebourg où le parlement a débattu d’une proposition du Parti Vert pour faciliter et élargir l’égalité entre les genres et pour que les gens se sentent mieux identifiés. Le meilleur moment du débat est venu lorsque le parlementaire du parti AfD, Steffen Königer, est monté à la tribune pour présenter la position de son groupe sur cette question et, par une intervention ingénieuse, a tourné en dérision la proposition de la gauche. A la place des salutations traditionnelles, le parlementaire a commencé: «Mesdames et messieurs, chers gays et lesbiennes …». Et il a continué avec les dizaines d’ »identités sexuelles ». Durant plus de deux minutes, Steffen Königer a salué les, « androgynes », « les pansexuels », les « bigenres », les « asexués », les membres du «troisième sexe», les transgenres, etc. Des dizaines de catégories loufoques ont été citées par le député allemand, avant d’être interrompu par le président de la Chambre régionale, à qui Königer a répondu qu’il n’avait pas encore fini de saluer les membres des différents «genres». Après cette entrée en matière ridiculisant la proposition des Verts, il a seulement ajouté: «l’AFD rejette la proposition ». Et il s’est assis.
La vidéo de cette intervention parlementaire s’est rapidement répandue sur les réseaux sociaux. Königer a expliqué qu’il n’a pas eu à chercher bien loin pour trouver cette liste : il s’agit tout simplement des catégories d’identités sexuelles proposées par Facebook aux utilisateurs localisés aux Etats-Unis.
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !