Un prêtre jésuite, Jorge Costadoat, connu par sa position en faveur de la communion aux divorcés-remariés, avait écrit un article dans un journal chilien il y a quelques mois dans lequel il soutenait que l’un des fruits du Synode de la Famille devait être la communion pour les divorcés. Cette position est scandaleuse du fait qu’elle est contraire à l’enseignement catholique.
Ce prêtre s’était alors interrogé publiquement sur la possibilité que l’Église Catholique change sa doctrine en faveur des divorcés. Il a en outre affirmé que « le document final ouvre les portes aux catholiques, dont le premier mariage a échoué, fin qu’ils puissent s’approcher à la communion ».
Fort heureusement, peu après la publication de l’article, il a été démis de ses fonctions de professeur de l’Université Pontificale du Chili.
Un avocat catholique, Tomás Henríquez, a publié un article en réponse aux déclarations de ce jésuite conciliaire dans lequel il constate que certains hommes d’église n’enseignent plus l’intégralité de la foi catholique.
Dans cet article, il parle de « la beauté de la doctrine catholique qui s’érige sur la vérité », mais il dénonce la position des Kaspéristes, qui « ne cessent de croire que tel enseignement n’existe pas ou qu’il ne peut pas être appliqué à notre époque ».
Cet avocat démontre, par son expérience personnelle, puisqu’il est issu d’une famille divorcée-remariée, que la doctrine de l’’Eglise Catholique est pérenne, et que ce n’est pas l’Église qui doit s’adapter au monde, mais le monde qui doit suivre l’enseignement de l’Église afin de trouver le salut éternel.
Nous attendons avec impatience la réponse du jésuite reconnaissant qu’il s’est trompé et qu’il condamne le synode.
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