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Tyrannie sanitaire au Canada : Une athlète paralympique née sans mains expulsée d’une librairie parce qu’elle ne portait pas de masque… qu’elle ne pouvait pas enfiler seule

Canada, Colombie-Britannique – Trois églises protestantes canadiennes de la province de la Colombie-Britannique se sont récemment vu infliger des amendes totalisant 18400 $ pour la tenue d’offices religieux en présence de fidèles, qui sont actuellement interdits en vertu des règles COVID-19 de la province.

Dans un communiqué de presse expliquant les accusations, les autorités régionales ont déclaré qu’elles avaient pour rôle d’«éduquer» les ministres des cultes.

Plusieurs associations ont par ailleurs écrit au ministre de la Santé de la province, Adrian Dix, pour les implorer d’annuler l’interdiction de services religieux.

En novembre, la Colombie-Britannique a interdit l’assistance aux offices religieux dans le cadre d’un plus grand confinement dans la province au nom de la prétendue lutte contre l’épidémie de COVID-19.

En octobre, le Dr Stephen Malthouse, qui pratique la médecine familiale en Colombie-Britannique, avait  fait la une  des journaux pour avoir dénoncé la politique de confinement contre le COVID-19.

Le Dr Malthouse déclarait qu’il «ne semble y avoir aucune preuve scientifique ou médicale» de l’utilité de la poursuite des confinements, des masques faciaux, de la distanciation sociale, de la fermeture «arbitraire» d’écoles et d’entreprises et de «la fermeture des lieux de culte ».

Il avait également déclaré récemment à LifeSiteNews que les faibles taux de grippe au Canada  cette année pourraient être attribuables à  diverses raisons, mais qu’attribuer une telle baisse du nombre de grippes aux vaccins contre la grippe, « qui, selon lui, sont tout au plus efficaces à 60% » semble peu probable.

La tyrannie sanitaire qui sévit au Canada se manifeste particulièrement en Colombie-Britannique. Une autre illustration en a été fournie tout récemment avec une athlète paralympique née sans mains qui a été expulsée d’une librairie parce qu’elle ne portait pas de masque, alors qu’elle était physiquement incapable d’en enfiler un sans aide.

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