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Le projet de loi du premier ministre Castex, la voix de son (ou ses) maître, que le gouvernement voulait faire voter en procédure accélérée pour pérenniser l’état d’urgence sanitaire et transformer ainsi les non vaccinés en citoyens de seconde zone a du plomb dans l’aile, et ce grâce à la contestation populaire via Twitter.

La fronde générée sur le réseau social par ce texte qui instituait dans les faits le vaccin contre le covid obligatoire, extrêmement liberticide, a fait reculer le gouvernement… pour l’instant. Notons, et est-ce un simple hasard ?, que ce projet de loi qui était mis au calendrier de l’Assemblée Nationale le 12 janvier prochain est précédé de la présentation de « diverses dispositions du droit électoral dans la perspective de la prochaine élection du président de la république ». 

Quelques tweets parlants, une analyse pertinente, et bien des silences qui en disent longs de la part de la gauche plurielle, écolo, bobo, (in)soumise…

Francesca de Villasmundo 

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toto
toto
il y a 4 années

Les dictateurs sont très légalistes. pour que leur conscience les laisse dormir tranquilles, il faut qu’ils pondent des lois « sur mesure ». Une fois que la loi est pondue, le peuple qui est encore plus légaliste, obéira sans broncher.
Quand on présentera les non-vaccinés (comme les non-porteurs de masque) comme des dangers publics, le peuple se chargera de les lyncher.

Louis
Louis
il y a 4 années
Répondre  toto

Bien d’accord, hélas ! Je rentre d’une sortie en ville, jour de marché et de tempête en bord de Manche, pas un quidam sans masque même sur la plage avec un vent à décorner le diable ! Il s’agit de « covidiens », pas d’êtres humains !? Le « covidisme » est cette secte dangereuse qui croit au port du masque permanent et obéit à ses gourous en toutes choses, prête à dénoncer les non adeptes.
Pour cette loi en projet, ce n’est que partie remise, sous une forme ou sous une autre et la censure est incroyablement efficace. Les médecins sensés sont désignés comme complotistes et charlatans tandis que les vaccineurs à tout rompre sont admirés des foules hypocrites qui se souhaitent de bonnes fêtes, pressées et consommer avant le reconfinement imminent.