“Ne laissez pas le Covid dominer votre vie” lançait Donald Trump dans un tweet hier, annonçant son retour à la Maison Blanche pour le même soir à 18 heures.
Dans un point de presse, le chef de son équipe soignante déclarait que le président n’avait plus de fièvre depuis 72 heures, que sa légère toux avait disparu et que, presque entièrement rétabli, il était en condition de continuer sa convalescence chez lui tout en reprenant son activité.
Sur CNN, l’organe de propagande des démocrates et mondialistes de gauche, ce n’étaient que pleurs et grincements de dents à l’annonce de cette bonne nouvelle.
Les soins donnés au président, disait-on en substance, ne sont pas du tout les mêmes que ceux que reçoit l’Américain ordinaire qui n’a accès ni au transport en hélicoptère, ni aux traitements expérimentaux. Comme ce régénéron donné à Trump, un cocktail d’anticorps allié au Remdésivir et à des stéroïdes. Quelle irresponsabilité de la part d’un président que de conseiller à ses concitoyens de ne pas redouter le Covid ! Trump était décidément encore plus dangereux après avoir été contaminé qu’avant, car il donnait aux Américains le mauvais exemple d’une insouciance criminelle.
Les nouveaux tests qui lui avaient été administrés étaient tous négatifs, avait déclaré l’équipe médicale mais, pour les journalistes de CNN, ce n’était pas suffisant. Comment le président osait-il quitter le milieu hospitalier et rentrer infecter tout le monde autour de lui ? Il aurait dû rester à l’hôpital pour y être suivi pendant encore une semaine, jusqu’au 13 octobre. La chroniqueuse du Washington Post Jennifer Rubin avait eu des propos incendiaires contre l’équipe médicale de Walter Reed, allant jusqu’à demander de retirer tout financement public à cet hôpital. Elle s’était également lancée dans une diatribe contre le président, le traitant de “menace pour tout son entourage.”
Quant à Hollywood, il s’était déchaîné contre le message du président. Une actrice l’appela “Idiot-en-chef” dans un de ses tweets, insulte permise à l’endroit d’un suprémaciste blanc, surtout de sexe (pardon… genre!) masculin, l’espèce la plus honnie par les temps qui courent. Une autre “célébrité” l’accusa de feindre sa guérison. C’était un torrent de tweets rageurs et orduriers, aux relents marxistes, qui lui reprochaient d’exploiter ses privilèges en se moquant des pauvres noirs et autres défavorisés n’ayant pas accès aux mêmes soins que lui. Le virage à gauche de l’Amérique était palpable. Il y a 20 ans, l’idée d’une lutte des classes se jouant sur le sol américain aurait été impensable. Elle était à présent une réalité, accélérée par la pandémie du Covid et son autre volet : le virus racial.
A 18h36, heure locale, Trump apparaissait au haut de l’escalier de l’hôpital où il avait reçu ses soins et, sans aide, le descendait d’un pas ferme pour se diriger vers l’hélicoptère qui l’attendait. Après un dernier salut, il s’y engouffra.
Au bout d’un vol de quelques minutes, l’hélicoptère se posait sur la pelouse sud de la Maison Blanche, tout près de là où s’était déroulée, aux accents de l’Ave Maria, la cérémonie de clôture de son acceptation de la nomination républicaine. C’était ici aussi, dans le “Rose Garden”, que s’était tenue la réception donnée la semaine dernière en l’honneur de sa candidate choisie pour le poste de juge à la Cour Suprême, durant laquelle il aurait contracté le virus, selon de nombreuses spéculations.
Le président descendit de l’hélicoptère, gravit les marches jusqu’au balcon de la Maison Blanche sans difficulté apparente puis, arrivé au haut de l’escalier, se tourna pour faire face à la pelouse et aux reporters qui le guettaient. Il retira aussi son masque, le mit dans sa poche, indiqua par un geste de ses deux pouces relevés que tout allait vraiment bien et fit le salut militaire comme pour marquer qu’il était toujours aux commandes. Puis il se retira.
A CNN, on s’étranglait de fureur. Les journalistes se mirent à compter les morts : 210.000 à ce jour et le président avait encore l’indécence de narguer un virus aussi mortel ?
Mais si le virus était aussi contagieux qu’on essaie de le faire croire, cela fait belle lurette que Trump et son équipe auraient été tous morts, avec toutes les réunions et rallies politiques auxquels ils ont pris part, sans masque, depuis des mois.
Le procureur-général William Barr, qui avait été testé négatif mais avait été en contact avec le président à la fameuse cérémonie, s’était mis par prudence en quarantaine jusqu’à aujourd’hui. Mais ce n’était pas assez pour calmer les esprits : on estimait qu’il aurait dû la prolonger jusqu’au moins lundi 13, qui était le lendemain de la date prévue pour la confirmation par le Sénat de la juge nommée par Trump.
Toujours fidèles à la politique des deux poids deux mesures, les journalistes “libéraux” qui trouvaient à redire à une quarantaine trop courte pour le procureur-général, ne semblaient guère s’offusquer du refus de la présidente démocrate de la Chambre, Nancy Pelosi, de se faire tester au Covid-19.
Refus qui faisait d’autant plus tache que l’équipe du président Trump et son entourage se prêtaient, quant à eux, à des tests quotidiens.
Il est clair que les enjeux ne sont pas sanitaires, ou si peu. Les démocrates essaient par tous les moyens de retarder l’investiture de la candidate catholique pro-vie et mère de sept enfants Amy Coney Barrett, espérant gagner l’élection présidentielle pour installer une juge conforme à leur idéologie pro-choix. Le poste à pourvoir est celui de feu la juge Ruth Bader Ginsburg, défenseur zélée du droit à l’avortement, y compris jusqu’au terme de la grossesse, et de l’idéologie de genre. Les Républicains misent, quant à eux, sur la présence d’une juge pro-vie pour battre en brèche la jurisprudence née de l’arrêt historique de “Roe v. Wade”, rendu par la Cour Suprême en 1973. Une juge “conservatrice” pourrait en outre s’avérer utile au camp républicain dans la bataille post-électorale qui s’annonce âpre.
Le drame qui se joue sur fond de crise sanitaire porte donc toutes les marques d’une lame de fond communiste à l’assaut de l’Amérique. On croyait le communisme mort après l’écroulement de l’Union soviétique? Il ne l’était pas.
Il n’avait pas non plus été vaincu en Amérique durant l’ère du maccarthysme, mais s’était métamorphosé en une nouvelle gauche, une contre-culture, le mouvement des droits civils, des anti-guerre, de la libération de la femme… Et, plus tard, en une foule d’ONGs libéralo-progressistes oeuvrant avec la collaboration des médias à saper la famille et les fondements traditionnels et religieux de la société. Un collègue de Bella Dodd et cadre haut placé du Parti communiste américain dans les années 30 et 40 avait promis que le communisme reviendrait en Amérique. On lui donnerait un autre nom, un joli nom et personne ne s’en méfierait : libéralisme, droits de l’homme, humanitarisme… Un jour, avait-il prophétisé, les Américains se réveilleraient pour découvrir qu’ils vivaient à l’ombre d’un communisme qu’ils n’avaient pas vu venir.
Il semble bien que nous y soyons, avec ce totalitarisme hygiéniste qui, sous prétexte de sauver des vies, a brisé des familles et réduit quantité de gens au désespoir. Il ne reste sans doute qu’un ultime rempart qui nous en sépare : la réélection de Trump. L’Amérique et le monde auraient alors un peu de répit.
Il ne faut cependant pas s’imaginer que la solution soit d’ordre politique. Notre-Dame de Fatima nous a prévenu, dès 1917 : si la Russie ne lui était pas consacrée, elle répandrait ses erreurs dans le monde. Elle a réapparu à la voyante Lucie, devenue Carmélite, tout au long de 30 ou 40 ans. En 1946, son message s’était fait plus précis et insistant. A défaut de la consécration de la Russie, c’est le monde entier qui deviendrait communiste, et pas seulement les pays du bloc de l’Est. “Même l’Amérique?” avait demandé Lucie. “Même l’Amérique”, fut la réponse de la Sainte Vierge.
Le président Trump a placé sa réélection sous la protection de la Vierge Marie en faisant chanter l’Ave Maria durant sa cérémonie d’acceptation de la nomination républicaine le mois dernier. Auparavant, il avait multiplié les gestes pour la défense du christianisme et des chrétiens persécutés. Il a aussi été le premier président américain à descendre dans la rue pour participer en personne à une marche pro-vie. Autant de gages donnés au Ciel, qui ne font pas de son élection une affaire purement politique et c’est ce qui permet d’espérer en une aide venue d’en Haut.
Le répit en ce moment serait concrètement que soit accrédité un remède pour le Covid, qui porterait un coup d’arrêt à la pression vaccinale et rendrait inutiles les mesures de confinement drastiques, qui sont le prélude à l’instauration d’un gouvernement mondial à caractère communiste.
Le remède au Covid existait déjà, il s’appelait hydroxychloroquine. Trump l’avait même pris durant deux semaines à titre préventif et pour convaincre de son innocuité. Mais de puissants intérêts s’étaient acharnés à le faire interdire. La carte gagnante ou “trump card » s’appellerait-elle régénéron ?
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