En République française, nombreux sont les dissidents politiques et médiatiques traqués, persécutés, bâillonnés, condamnés à des morts économiques, sociales, professionnelles certaines, parce qu’ils refusent de baisser la tête, de rendre les armes face à un État qui préfère neutraliser ceux qui luttent pour la défense de l’identité, de la famille, de la civilisation, plutôt que d’assurer la sécurité de nos concitoyens, de protéger nos frontières, de s’assurer que notre mode de vie soit préservé.

Parmi ces dissidents, il y en a deux, plus médiatiques que les autres ces derniers temps, qui dorment en prison ce soir. Marc de Cacqueray, considéré par la République française comme le « leader » d’un groupement de fait, les « Zouaves Paris », sorte d’héritiers parisiens du GUD (Groupe Union Défense). Mais également François-Aubert Gannat, militant de l’Alvarium d’Angers, dissout récemment par le ministre Darmanin.

Le « crime » qui leur est reproché ? Avoir pour le premier, répondu physiquement à une provocation de militants « antifas » de SOS Racisme lors du meeting d’Eric Zemmour à Paris. Pour le second, d’avoir également répondu, physiquement, à une énième tentative de ces milices d’extrême gauche d’attaquer et de nuire au local de l’Alvarium, à Angers, qui était notamment, outre le siège d’organisations de soirées et de conférences, le point de départ de maraudes pour venir en aide aux SDF locaux.

Ces deux jeunes hommes ont réglé, physiquement, ce que tant de spectateurs et de commentateurs en Charentaises, assis bien au chaud dans leurs fauteuils et branchés H24 sur Cnews à fantasmer sur la « guerre civile » qui viendrait, n’osent pas faire, n’oseront jamais faire. Ces deux jeunes hommes ont exprimé avec leurs poings ce que d’autres expriment quotidiennement, avec la plume, ou par la parole.

Parce qu’ils n’en peuvent plus, comme de nombreux jeunes et moins jeunes de ce pays, de subir les menaces, les violences, les agressions, les procès d’intention, les pressions d’une petite minorité protégée et agissante qui entend faire la police politique depuis trop longtemps aux quatre coins du pays.

Avez-vous déjà vu de jeunes identitaires appeler à l’interdiction des manifestations de gauche, intervenir dans leurs meetings, appeler à l’interdiction de rassemblements, de concerts, de toute forme d’expression ? Non, mais par contre, c’est ce qu’ils subissent au quotidien de la part des milices d’extrême gauche, sans la moindre réaction d’autorités trop souvent complices.

Parce qu’également, Marc et François Aubert se sont insurgés contre la fatalité, qui consisterait à assister, sans réagir, à la disparition de notre civilisation, de notre monde. À son effacement, et à son remplacement progressif.

Oui, les méthodes employées choquent, dans une société où l’on apprend plus à se défendre, physiquement, et à répondre y compris par la violence aux agressions que de trop nombreuses personnes subissent, sans réagir, croyant encore dans une Justice républicaine qui démontre quotidiennement qu’elle est faible, passive, et même parfois complice avec les forts, mais impitoyable avec les faibles.

Une société où la victimisation est reine, y compris dans les milieux qui prétendent parfois vouloir « passer un grand coup de balai » dans notre société, sans que l’on comprenne vraiment qui passera ce coup de balai, puisqu’à la moindre incartade, on abandonne des jeunes gens à leur sort, dans les geôles de la République française, en s’empressant en plus trop souvent de hurler avec les hyènes, de dénoncer, de participer au lynchage public de jeunes gens dont le seul tort est d’avoir le courage que leurs bourreaux médiatiques, politiques, judiciaires, n’auront jamais.

Marc et François Aubert sont deux jeunes gens à soutenir. Parce qu’ils ont compris que leurs idées, leur mode de vie, leur avenir, n’étaient pas négociables. Qu’aujourd’hui, il existe encore une mince possibilité de faire face à des adversaires, que dis-je, à des ennemis, qui préparent déjà nos tombeaux, et qui l’assument ouvertement.

Ils veulent voir disparaitre l’homme blanc. Ils veulent voir s’éteindre la civilisation européenne. Ils veulent détruire la famille traditionnelle. Ils veulent encourager la submersion démographique de leur continent avec des masses venues du monde entier. Ils veulent interdire de parole, de travail et d’expression tous ceux qui ne partagent pas leurs idées, leurs visions sociétales délirantes et mortifères.

Et bien ils trouvent encore des hommes courageux, comme Marc ou François-Aubert, qui sont prêts à tout sacrifier, jeunesse et avenir compris, pour leur barrer la route. Et pour, le cas échéant, les renvoyer physiquement dans les poubelles de l’Histoire.

Rien que pour cela, ils ont tout mon soutien, et ils devraient avoir celui de tous les hommes et les femmes libres de ce continent.

Les barricades n’ont que deux côtés. Liberté pour tous les camarades emprisonnés !

Julien Dir

source : Breizh-info.com

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