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Mais qu’est-ce qu’une « vraie femme » ?

A la lecture de  notre article concernant le cas du Dr Victor ACHARIAN « Un gynécologue sanctionné par l’Ordre des médecins de six mois d’interdiction d’exercer pour avoir refusé d’examiner un homme en transition« , un de nos lecteurs nous a adressé la lettre ouverte qu’il avait envoyé au journal Ouest-France le 21 novembre dernier intitulé « Transgenres et discrimination ».

Voici le texte de cette lettre que son auteur nous demande publier :

Dans votre édition du lundi 11 novembre dernier, page Santé – Bien-être, figurait un article intitulé Soigner les transgenres sans discrimination. Vous y donniez à lire une interview de Christine Louis-Vahdat, « conseillère éthique et déontologie à l’Ordre national des médecins », qui commentait le « rappel [par l’Ordre national des médecins] d’une prise en charge sans discrimination des personnes transgenres ».

Madame Louis-Vahdat y dénonçait « le sentiment », partagé par les deux tiers des personnes transgenres, « d’être discriminées par des médecins ». Et elle rappelait « l’affaire médiatisée d’un gynécologue de Pau (Pyrénées-Atlantiques) ayant refusé une consultation à une femme transgenre sous prétexte qu’il ne prenait en charge que de « vraies femmes«  ».

En citant ainsi sans nuance les propos de Madame Louis-Vahdat, et conformément à votre ligne éditoriale « progressiste », vous laissez entendre que le « refus de soin » de ce gynécologue reposait sur un « prétexte ».

Or prétexter (voir le Larousse) signifie invoquer une fausse raison. Mais qu’est-ce qu’une « vraie femme » ?

Et qui a autorité pour le dire ? Il semblerait que la question ne puisse plus être posée. Mais est-ce à la justice, est-ce à l’administration de dire le vrai en la matière ? Est-ce à chacun de définir souverainement ce qu’il est, de l’identifier à ce qu’il veut être et d’imposer publiquement sa propre « vérité » à autrui ? 

Face au déni du réel qui caractérise l’esprit de notre temps, est-il encore permis, par exemple, de penser la différence des sexes avec Aristote et de constater que la femme engendre dans son propre corps, tandis que l’homme engendre dans le corps d’autrui ?

Oui ou non, la question reste-t-elle ouverte à l’ère de la  « vérité alternative » et de la « post-vérité »  ?  

Yves TEXIER / 44115 – Basse-Goulaine

Merci à M. Texier de ces pertinentes questions à Ouest-France.

Aura-t-il une réponse ? Nous en doutons fortement.

Rastignac

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toto
toto
il y a 1 mois

Les terroristes de la pensée unique et perverse ne publient pas les opinions qui contredisent leur folie hystérique. L’Ordre des médecins est devenu un des politburos des terroristes de la pensée unique. Ils se sont largement discrédités lors de la fausse pandémie covid.

gaudete
gaudete
il y a 1 mois

Ben oui jusqu’à présent un homme est un homme est une femme et vous pouvez supprimer ou rajouter ce que vous voudrez ça ne change rien, la nature est ainsi faite et Dieu a créé l’homme et la femme pour qu’ils soient complémentaires et non égaux ce qui ne veut pas dire que l’un domine l’autre mais qu’ils se complètent mutuellement