Traités comme des lapins
Il y eut un grand saint que l’on nommait François
A présent c’est un Pape qui s’est nommé François.
Tout le monde espérait
D’un nom qui promettait.
Saint François aimait bien tendrement les lapins,
Et tous les animaux, d’un grand amour divin.
Ils l’écoutaient sagement, tous par lui rassemblés
Autour d’un bon pasteur, telles des brebis groupées
Auprès du vrai berger qui protège des loups.
Surtout accroissez-vous et multipliez-vous
Avait, dans la Genèse, prescrit le Créateur,
De tout être vivant, le seul et vrai Seigneur,
Le Dieu des deux François,
Seul Dieu de notre Foi.
Ce message s’adressait par essence aux humains
Mais le Pape François ne voit là que lapins.
Cette étrange misère
Pour nous est grand mystère
Contre ses propres ouailles, c’est une dérision
Qui reprend la moquerie des loups et des moutons,
Egorgeurs et victimes pour l’heure réconciliés.
Aux catholiques ainsi, bien décontenancés
Il redit qu’il était de nouveau mal compris,
Que des grandes familles, il connaissait le prix,
Les souhaitait seulement « responsabilisées »,
Ce qui n’encourage pas l’héroïque pauvreté
De ceux qui cherchent à suivre la Divine Volonté
Dans le don qu’Elle leur fait de la fécondité
Cette étrange misère
Pour nous est grand mystère
Pour plaire aux égarés de « la périphérie »
Doit-il désespérer le troupeau des brebis ?
A familles nombreuses
Vocations religieuses,
Évêque en son diocèse, n’en a guère préparé,
Mais fidèles frères du saint, par lui furent condamnés …
Cette étrange misère
Pour nous est grand mystère
Jeannot
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !